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EXTRAIT DU MESSAGE DU GM DU 18 MAI 2007

...Quand Jésus m’avait confié sa mission, Il m’avait dit beaucoup de choses que je vous enseigne aussi au fur et à mesure. Il m’avait dit : « Fais ton travail, n’aies pas peur des hommes de la terre, ils ne te feront rien. Je t’ai confié la mission d’aider toute l’humanité souffrante parce que ce sont tous des hommes de Dieu, c’est ce que Dieu t’a confié comme mission. » Jésus m’avait dit de ne pas avoir peur des hommes de la terre, il disait : « ils ne te feront rien, si tu as peur d’eux, nous renforcerons leur haine contre toi afin qu’ils te fassent encore plus souffrir. Cependant si tu leur tiens tête, nous allons t’épargner de toutes les souffrances et nous allons nous occuper nous mêmes de ceux qui persisteront à vouloir toujours te faire du mal ; nous allons les rayer définitivement de la surface de la terre fin que notre mission aille de l’avant et que cela soit conforme à ce à quoi tu as été soumis. Nous voulons que notre mission confiée à toi soit connue partout afin que le monde entier soit sauvé. » C’est Jésus qui me l’avait dit.
 
           En 1978, fuyant les persécutions dont je faisais l’objet à Pointe Noire, j’étais retourné à Loudima afin de prier mon Dieu et ce jour là, Dieu avait envoyé trois anges qui étaient venus me chercher afin de m’emmener au Ciel. C’est ainsi que j’étais resté deux semaines durant au Ciel. Vous connaissez aussi que c’est moi-même qui avais demandé de revenir sur terre. Je suis seulement en train de vous rappeler car vous connaissez toutes les dates. Etonné de ma demande, Jésus avait dit : « Ah Emile qui aime tant les hommes ! Laisses-les là bas et nous les auront ici. » J’avais répondu : « Non, non Papa, laisses moi repartir parce que j’y avais laissé ma femme en grossesse. » Et l’enfant c’est Ismaël que vous connaissez.

Nombreux disent : « Mais Emile, ce n’est qu’un pauvre type ! » Oui, je ne suis qu’un ver terre, un vaurien, un Mbua-nkanda.  Seulement, du retour des Cieux, car je vous l’ai dit, j’avais quitté Pointe Noire, à cause des persécutions, pour Loudima où je devais aller prier mon Dieu et Ce Dernier m’envoya trois anges qui m’avaient enlevé vivant jusqu’aux Cieux. J’étais vivant, pas mort, j’avais mes vêtements et ma torche que j’avais ramenés de Pointe Noire et j’avais fait près de deux semaines là bas aux Cieux. Sur mon chemin de retour, arrivé sur une haute montagne, j’avais vu Papa Abraham, celui dont il est question dans la Bible.

Il m’attendait afin que je vienne diriger l’Assemblée. A 20h, je m’étais mis à escalader cette montagne, j’étais très fatigué car depuis mon retour de Pointe Noire et mon séjour dans les Cieux, je n’avais rien mangé. C’était bien Papa Abraham, celui dont on parle dans la bible. Ce que  je vous dis, ce n’est pas des on-dit, je ne suis pas comme ceux là qui disent : j’ai rêvé, Dieu est venu me donner une vision ou encore j’ai eu des visions, … non ! Je ne suis pas un homme des rêves ou moins encore des visions. J’étais vivant le jour où Dieu m’avait confié sa mission. Je n’étais pas dans le sommeil, je ne dormais pas, je ne rêvais pas, ce n’était pas des visions, non ! J’étais vivant et Dieu vient souvent me voir en tant que homme vivant, pas dans un quelconque rêve, non, non et non ! Nous l’entendons chez certains, que Dieu est venu me donner une vision ou encore que j’ai rêvé. Avec moi Emile, ce ne sont pas des rêves, non, non et non ! C’est-à-dire quand Jésus vient me voir, je suis vivant et lui aussi est vivant.

Je revenais donc du Ciel ce jour là, arrivé sur une haute montagne à 20h, j’ai vu Papa Abraham qui m’attendait pour que je vienne diriger une assemblée. Quand je me suis approché de lui au sommet de la montagne, il était assis sur un rocher, un beau rocher au bord de la route, il m’attendait et dès qu’il m’avait vu, il était rentré dans une grande joie et il me dit : « C’est toi que nous attendions pour diriger cette assemblée. » Il avait levé sa main droite pour me saluer, je lui avais aussi tendu la mienne et on s’était salué. Entre temps j’étais très fatigué et j’avais dirigé cette assemblée de 20h jusqu’à 5h30 du matin. Il y avait une foule immense, on pouvait voir là où elle commençait mais non là où elle s’arrêtait, tellement qu’elle s’étendait jusqu’à perte de vue. On ne remarquait que le noir des têtes qui allait jusqu’à l’horizon. Après cette assemblée, nous nous étions encore salués de la main pour nous séparer. Papa Abraham, le médiateur entre les enfants d’Israël et Dieu le Père, c’est lui qui avait levé sa main droite en premier pour me saluer car il m’attendait pour diriger l’assemblée. Le Papa Abraham dont nous lisons dans la bible, il était monté au ciel où il vit ; je vous dis qu’on s’était salué à la main avec lui....

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