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LA PASSION DU GRAND MAITRE DE L’OPH DU 22 DECEMBRE 1979 AU 08 JANVIER 1982

1) PREFACE :

Ce document que je mets à votre connaissance n’a aucune ambition ou idée de vengeance, bien au contraire il doit être un élément de réflexion pour les frères et sœurs qui voudraient sincèrement évoluer en spiritualité.
Sa présentation très modeste doit freiner l’esprit d’analyse qui nous incite quelque fois à formuler des critiques inhumaines.
Instruisez vous frères et sœurs en lisant attentivement ces écrits de votre Grand Maître qui déballe le déroulement d’une horrible passion.
Que ces souvenirs vous servent de marchepied pour atteindre le salut éternel.
En avant vers la Gloire du Seigneur Jésus Christ.
Paix profonde du Christ à tous les frères et sœurs.

 

Votre Aimé et Cher Grand Maître
Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO
2) AU DEBUT DE 1975

Je devais installer 2 bureaux de notre Organisation au niveau de DUO et MAHOUTA, deux quartiers de Pointe Noire, ceci pour me faciliter la tâche. Au même moment, c'est-à-dire à la même période je devais me rendre à LOUDIMA (ville située dans le département de la LEKOUMOU, chef-lieu).
3) VERS LA FIN DE 1975 et 1976
Comme toujours, je me suis rendu à Pointe Noire pour continuer à travailler.
Arrivé à Pointe Noire, j’ai trouvé une situation très alarmante au sein des 2 bureaux qui s’étaient organisés avant contre moi EMILE.
Les gens qui formaient ces deux bureaux s’étaient détournés de mon enseignement en adoptant des paroles contraires aux miennes. Compte tenu de la situation qui prévalait à cette époque, je me suis rendu aussitôt, de nouveau, à LOUDIMA.


Deux jours après mon arrivée, je reçus une visite d’un frère du groupe qui me dira : « les deux bureaux se sont entendus, ils cherchent à te faire périr pour bénéficier de tes miracles. Ils disaient : « Le soit disant Grand Maître vous freine dans votre évolution spirituelle, quant à nous, il nous a tout donné et sommes capables de vous avancer rapidement en spiritualité mais LOUFOUA nous gêne dans l’évolution spirituelle. Il faudrait donc l’éliminer physiquement »


Parmi les meneurs qui prodiguaient ces conseils, un avait signé un pacte avec une maison mystique et devait mourir dans 3 jours qui suivaient le jour où il m’a rencontré. Selon les renseignements fournis par ses propres collaborateurs, cette mort devait arriver après épuisement de l’échéance relative au pacte signé. Pour le sauver, le défunt Monseigneur de l’époque était incapable d’arrêter les esprits qui venaient pour réclamer son âme. Même le réputé Pasteur du pays de l’époque était également incapable de sauver la vie de ce dernier. S’étant sentis incapables, notre meneur devait être refoulé simplement chez lui.


Lorsqu’ils l’ont amené chez le Magori EMILE, ce dernier était sauvé et ce jusqu’à présent. Parlant toujours des meneurs, l’ami de celui qui a été sauvé aspirait à la fonction de féticheur. Le fétiche qu’il voulait manipuler s’appelle le NKOKO. L’initiateur de ce dit NKOKO, lui avait demandé, pour son épanouissement, des âmes pour qu’il devienne féticheur de NKOKO comme lui.
Certainement, ce dernier avait honoré les vœux de l’initiateur de NKOKO ! Preuve ? Il y en a plusieurs.


Après il fit ma découverte et est venu me voir. Il demanda à Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO de lui venir en aide sur beaucoup de problèmes dont il souffrait. Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO est venu à son aide, et après ce dernier lui demanda de l’introduire dans son Organisation : Chose faite. Par la suite, ce dernier était passé adhérent de l’Organisation que représente LOUFOUA CETIKOUABO Guy Emile.


Ces meneurs ingrats dont la vie était déjà terminée, qui seraient aujourd’hui poussière comme le commun des mortels, après leur avoir accordé des secours appréciables jusqu’à retrouver leur vie, se sont entendus pour me faire périr physiquement par simple jalousie. Les prétendus sages et hommes très avancés en spiritualité étaient incapables de résoudre leurs problèmes. Pour réussir leurs manœuvres diaboliques, ils avaient acheté des machines à écrire pour recopier les réponses de Notre Organisation, rappelons en passant que dans le passé notre Organisation nous répondait par écrit. 

 

C’était un moyen de prendre les sacrifices d’autrui afin de les utiliser à leur fin. Ils fomentaient tout ce qu’il fallait fomenter pour noircir le nom, la réputation et la vie de Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO. Ma photographie était placée partout, exposée partout, pour que je sois au vu de tout le monde et pour que n’importe qui, même de la rue, me reconnaisse en cas de recherche au moment opportun.

 


Chose qui était faite par les 2 dirigeants des bureaux de l’année 1976-1979. Ces deux présidents de l’époque avaient qualifié notre O.P.H de « Magori » et surtout son Représentant.


Les conseils de détournements devaient être prodigués aux frères et sœurs qu’ils encadraient en disant « LOUFOUA vous trompe, vous vole, c’est un escroqueur, un malfaiteur, TUONS LE…Nous sommes très capables de le relever, de vous amener rapidement à l'élévation spirituelle. Ce soit disant Maître nous gêne, faisons tout pour l’éliminer physiquement »


Rassasiés de leurs conseils, les plus proches de ces deux présidents toujours avertis de leurs manœuvres qu'ils organisaient pour m'éliminer, me mettaient constamment au courant sans que les chefs du complot, les concernés, ne le sachent.


A Pointe Noire, les réunions se tenaient à ces propos, c'est-à-dire ils ne priaient que l’élimination d’Emile. Ils allaient brûler des bougies sur les montagnes tour par tour, tout ceci uniquement pour arriver à éliminer un pauvre type comme LOUFOUA qui leur a rendu des services jusqu’à sauver leur vie.


4) En 1977 et début 1978
Je me suis encore rendu à Pointe Noire.En arrivant, l’atmosphère semblait plus émouvant, je cherchais à tenir une réunion entre les deux bureaux pour régler leur conflit. Dans leur finesse les deux bureaux ont manifesté devant les frères et sœurs qu’ils ne s’entendaient pas, or au fond c’était une bonne cuisine des loups, une ruse pour me faire venir à Pointe Noire afin de m’avoir et accomplir leur sombre mission.


Le soir même de mon arrivée à Pointe Noire, j’ai essayé de voir le 1er et le 2ème Présidents d’une manière inattendue. Je voulais savoir la cause fondamentale de leur mésentente. En réponse on m’adressa des menaces dans des tons ahurissants. Les frères et sœurs préparés pour la circonstance ne voulaient plus me sentir en me disant que vous devez être Grand Maître pour les autres mais plus jamais pour nous. Ceci se passait à MAHOUATA au 1er bureau. Désolé, j’étais sorti de la case pour rentrer à mon domicile. Dans la rue, les jeunes commençaient à m’indexer et criaient en disant : « tu as toujours été protégé mais maintenant tu es livré par tes propres membres. Ta fin approche, c’est fini, tu es livré par tes propres membres. Ta fin est approche, c’est fini, tu ne repartiras plus jamais à LOUDIMA où tu as toujours l’habitude de te cacher. »


Déçu, tout tremblant, j’ai fait un effort pour partir. Etant à pied et ne pouvant plus arriver à DUO c'est-à-dire au domicile du 2ème Président, je suis allé chez moi à VOUNGOU dans la nuit.


Le lendemain, samedi matin donc, devant ma porte, le sol était labouré par plusieurs traces de beaucoup de marques de chaussures. Deux jours après, le soir du dimanche à lundi, je me rendis vers le mont LOUSSALA, près de KM4, à Pointe Noire, où j’eus passé la nuit.

 

Le lendemain je suis allé voir le doyen BAKALA Nicolas. Ce dernier m’avait réconforté et après je devais aller chez le frère Hubert passer la nuit. Le lendemain, j’avais demandé aux 3 frères qui étaient venus me rendre visite d’aller me déposer à HINDA Gare CFCO chez mon ami pour me reposer.


A la gare de HINDA, vers 6 heures du matin, j’avais vu autour de moi 4 jeunes en train de parler en me montrant du doigt et disant tout en s’interrogeant : «  C’EST LUI » ? Les autres acquiesçaient : « OUI C’EST BIEN LUI ». Suffoqué d’émotion, puisque j’étais accompagné d’un certain BOUNKAZI Séraphin que nul parmi les anciens de l’OPH n’ignore, j’avais donc dit à mon compagnon qui était le 1er promoteur en divulguant tout ce qu’il savait de mauvais que fomentaient contre moi les deux bureaux anciens DUO et MAHOUATA. Ne voulant pas demeurer sur place, je demandai à mon compagnon d’avancer à pied tout doucement jusqu’à ce que nous ayons l’occasion de rentrer à Pointe Noire. Tout en progressant dans la marche à pied avec le 1er, à quelques mètres de la gare de HINDA, sur la Nationale 1 qui relie Brazzaville et Pointe Noire, une foule de jeunes gens avait barré la voie. Sans crainte nous avions avancé à proximité, près du groupe de jeunes, ils disaient à haute voix en m’indexant, sautillant de joie : « Grand Maître aujourd’hui samedi, tes intestins seront dehors et broyés ». Chacun avait à la main un coupe-coupe ou un bâton. Le groupe se composait au moins de 30 personnes, tous, des garçons. Je continuais à avancer en passant au milieu d’eux. Après quelques dizaines de mètres, nous fûmes arrivés dans un village mon ami et moi. Nous nous étions arrêtés pour attendre le car afin de nous rendre à Pointe Noire. Ce fut un jour de samedi.

 


Compte tenu des menaces que proférait la foule des brigands qui en voulait à ma vie, je ne pouvais plus continuer à faire la distance à pied. Que racontaient les gens à haute voix ! Ceux qui constituaient la foule : «  aujourd’hui Emile ne repartira plus jamais vivant à LOUDIMA là où il a l’habitude de fuir. Nous attendons notre chef qui vient derrière pour accomplir notre mission. Tout ceci se disait à haute voix. Aujourd’hui c’est fini, ta vie est terminée. Tu nous as trop menti et volé des sacrifices.
Les 2 bureaux t’on écarté et vendu. Nous avions reçu les instructions et tous les droits de te tuer. Ces jeunes parlaient à haute voix. Très désolé, je disais : Seigneur Dieu le Créateur depuis ma naissance jusqu’à ce moment précis si j’avais fait du mal à mon prochain, ou si j’avais menti un frère, une sœur ou d’autres personnes consciemment ou inconsciemment, Seigneur laisse et donne la force et le courage à ces jeunes de me faire mourir ; mais si c’est par la jalousie des gens, Seigneur aide-moi.


Démoralisé et très touché du fait que les frères sur lesquels j’avais mis tout espoir et confiance me jouaient un coup qui coûterait ma vie terrestre et un instant, j’avais demandé à mon Dieu de m’aider très sérieusement.


Le groupe s’étant calmé, sur le champ on voyait venir une Land Rover bien chargée de bois de chauffage. Je demandai à mon compagnon de l’arrêter. Ce dernier me répondit qu’elle est trop chargée et qu'il eétait impossible qu’elle puisse nous transporter.


J’insistais et l’ami fit signe. Le véhicule s’arrêta et nous prit à bord. Le chauffeur nous interrogea où devrions nous descendre ?
A Pointe Noire, avions nous répliqué. Arrivés au marché de MBOTA nous descendîmes et avions pris aussitôt une voiture taxi jusqu’à DUO où je devais me reposer. On était chez le Président du bureau de DUO. La salle où on s’était rassemblé était pleine des gens qui parlaient à voix basse. Dès qu’ils s'étaient rendus compte que j’étais déjà dans leur milieu une panique les gagna. Certains étaient presque étourdis. Je commençais de faire le compte rendu de tout ce que j’avais vécu et enduré au cours de ma sortie. L’Assemblée n’osait pas m’écouter, me suivre et me comprendre. A cette époque, mon épouse enceinte et à terme était abandonnée chez ce frère Président de DUO. Compte tenu des menaces que je franchissais, j’avais préféré laisser ma femme pour qu'elle accouche à Pointe Noire. Comme le Président de DUO souhaitait la garder chez lui jusqu’à l’accouchement, j’avais accepté et la conclusion était tirée sur cette affaire.

 


Au lendemain matin, un dimanche, je devais voyager sur LOUDIMA où j’habitais eu égard au comportement des frères et sœurs à Pointe Noire à l’époque. La première scène s’était passée le samedi de 8 heures à 10 heures du matin.


A mon absence de Pointe Noire, la clique des ambitieux racontait des choses invraisemblables à voix basse à mon endroit. Un des conspirateurs, toujours averti des démarches diaboliques qu’ils organisaient viendra à LOUDIMA pour me tenir informé de vive voix de tout ce qui se tramait.


Quelques jours plus tard mon épouse accouchera d’un garçon nommé Ismaël Dieu merci.


5) Au début du mois d’octobre 1979
Mon épouse me rejoindra à LOUDIMA. Comme le climat devenait de plus en plus malsain entre les 2 bureaux, mon épouse était obligée d’écourter son séjour à Pointe Noire bien qu’ayant accouché récemment. La mésentente sournoise n’avait pas d’autres buts que de m’avoir. Je m’étais décidé de me rendre à Pointe Noire pour la circonstance.


6) Le 22 décembre 1979
Je réalisais de nouveau le voyage sur Pointe Noire pour voir ces frères afin de tenter encore une réconciliation. Arrivé à l’aérodrome de cette capitale presque tout Pointe Noire était au courant selon les gens qui parlaient en pleine rue quand je passais à pieds. J’étais passé voir 2 frères qui travaillaient dans une même compagnie. L’un de ces frères m’accompagna jusqu’au siège de MAHOUATA. Parvenus au lieu quelques minutes plus tard l’atmosphère au sein des frères et sœurs commençait à se ternir. A peine un moment le président de ce siège arrivera et me dira bonjour tout furieux. Il rentra dans sa chambre, sortit pour aller s’entretenir avec les frères et sœurs qui se trouvaient dehors.


La causerie terminée, il rejoignit la maison où je me trouvais c'est-à-dire au salon de sa propre maison. En un tour de main, les frères et sœurs se regroupaient et se parlaient à voix basse. Il faisait déjà 13h puis 13h 30mn et enfin 15h. A cette heure-là l’atmosphère se ternissant de plus en plus. J’étais alors devenu une bête noire à leurs yeux. Emotionné par le langage du président et ses proches collaborateurs, je ne comprenais plus ce qui devait m’arriver. Vers 17h, un hôtel devait m’être proposé en ville de Pointe Noire et le numéro de la chambre était « 62 ». Vraiment, devant cette situation éblouissante, j’étais plus que menacé. Pour partir de ce lieu, je leur avait demandé d’aller au cinéma mais le groupe ne voulait pas m’accorder cette permission. C’était par insistance que je réussis à y aller non pas à bord d’une voiture proposée pour mes courses disait-on mais à bord d’une voiture d’un frère que je ne voudrais pas révéler le nom ici.


Dans la salle de cinéma j’avais retrouvé tout le monde qui se retrouvait au siège de MAHOUATA cette soirée-là. Le film qui nous était présenté correspondait à la scène qui m’attendait en cette période difficile. Vers minuit, nous étions sortis du cinéma et nous nous sommes rendus à l’hôtel pour annuler la chambre déjà payée par eux. La chambre dans laquelle je devais passer la nuit. Les quelques heures qui restaient pour voir le jour, ont été écoulées ailleurs. La troisième nuit, je m’étais déplacé du lieu où je me trouvais pour aller passer la nuit sur une certaine montagne. Quand je quittais ce lieu, après, un groupe de gens vint me chercher aux environs de 3 heures du matin pour les intentions qu’ils connaissaient.


Celui qui m’apporta l’information devait me faire connaître le programme arrêté. Cette fois-ci ce fut un autre qui m’accompagna. Pas celui du mois d’octobre. Mon compagnon était resté au lieu où je dormais. Aux environs de 3 heures du matin, il était dérangé par un groupe de gens qui frappaient fortement à la porte en disant : « Faites-nous sortir ce grand voleur, l’escroqueur, le faux Maître, le Magori féticheur, voire même Magicien » Comme ils insistaient, mon compagnon ouvrit la fenêtre, remarqua dans le groupe la présence du président de MAHOUATA à l’époque parlant et éclairant la chambre qui m’a été destinée avec une lampe de poche ; heureusement que j’étais absent cette nuit-là, sinon j’étais bon, je serais mort. Chacun d’eux possédait un bâton qu’il brandissait. N’étant pas satisfait, le groupe va ouvrir la porte pour vérifier si réellement j’étais absent.


Le lendemain matin, mon compagnon vint m’apprendre la nouvelle odieuse et dramatique. Paniqué en moi-même je ne savais où aller et que faire. La majorité des frères et sœurs devenaient discrets et les autres me fuyaient. J’étais resté très déçu. Les slogans allant dans le sens de la critique destructive faisaient rage. J’étais très, très abattu. Sincèrement, j’étais resté seul et sans parole aucune. Ceci se passait entre les dates du 22 au 23 décembre 1979.


7) Au matin du 24 décembre 1979
La passion était plus que jamais dure. Je ne me permettrais pas de tout raconter parce que c’était plus que lamentable et très triste. La passion continuera du 24 décembre 1979 au 8 janvier 1980. On m’enferma dans une maison où un groupe de gens me gardait. Tous ceux qui me gardaient étaient devenus mes ennemis. Imaginez lorsqu’un ennemi te garde et surveille sur place, quelle idée peut-on avoir ? Tout en me gardant, ils se moquaient et faisaient tout ce qui leur semblait bon à mon endroit. Ce que je relate maintenant, les frères et sœurs des 2 bureaux de l’époque ne l’ignorent pas. J’étais bien enfermé dans une maison, celle d’un président de notre Organisation choisi par moi-même. Cette maison du président de l’époque se situait au bord de la grande circulation bien goudronnée qui mène au fond de NTIE-NTIE et à la ville de Pointe Noire dans le quartier DUO. J’étais gardé et ensuite transporté à l’abattoir lieu qui était destiné pour me faire mourir et brûlé sans tombeau. Ce que je me permets d’écrire ici étaient bien les paroles qu’avançaient les meneurs, les auteurs du mouvement ou attentat de 1979 à 1980.


Nul de Pointe Noire n’ignore cette situation dramatique qu’a connu LOUFOUA CETIKOUABO Guy Emile en cette période très pénible. Actuellement, je remarque que la façon de sensibiliser les adeptes change chez les autres membres. Ce n’est pas étonnant parce qu’au moment où le Seigneur Dieu avait fait partir de la Belle Cité son premier ange Lucifer qui s’enorgueillissait et ne voulait plus jamais obéir à l’Eternel Son Dieu qui lui avait octroyé cette puissance, en le chassant des Cieux, Lucifer qui était devenu SATAN avait dit : Je veux tout faire pour détourner tout le monde afin que tous soient à/de mes côtés et l’Eternel répliqua: " ça ne fait rien même si on trouvait un seul sur la terre qui nous soit fidèle, il nous suffira pour prêcher la Bonne Nouvelle.


Il en sera de même pour tous ceux-là qui tentent de détourner les enseignements de notre Organisation LOUZOLO. Seulement qu’ils comprennent que chaque acte mérite toujours un salaire. Qu’ils s’attendent à des récompenses. Les gens qui m'en voulaient et qui continuent à m’en vouloir appartiennent à beaucoup de maisons mystiques, fétichistes et autres. Ont-ils cherché à éliminer physiquement ( tuer) leurs premiers initiateurs ?


Pourtant malgré les sommes d’argent versées par eux à ces maisons, ils n’avaient jamais des résultats satisfaisants. Pourquoi ne cherchaient-ils pas à réclamer leur argent ? Maintenant qu’ils ont à faire à un Congolais, ils s’activent pour me faire du mal. C’est une lâcheté. Notre O.P.H. à travers son Représentant les avait aidés efficacement jusqu’à obtenir la guérison de leurs maladies, la résolution de leurs multiples problèmes mais malgré ce bienfait,  en récompense ils tentent toujours de me faire du mal.


C'est ce que pensent ceux-là. Si tous ceux qui avaient sollicité l’aide spirituelle pour leurs multitudes problèmes ont été aidés jusqu’à recevoir les résultats tant attendus, il est aussi possible de les remettre à là où ils ont été trouvés et Dieu rendra justice.


Nous pouvons nous tromper entre nous mais au grand jamais nous pouvons tromper Dieu. Je redemande à toutes et à tous de se retirer librement si la voie ne leur plaît plus au lieu d’enliser les autres dans leur comportement.


Posez votre problème librement sans tapage et je vous remettrai ce que vous avez dépensé pour l’Organisation au lieu de chercher ma mort. Sache bien frère/soeur que tu ne seras pas Eternel sur cette terre et Dieu notre Grand Dieu rendra justice. Jamais tu n’échapperas à son épée. La justice est demandée et déclarée.


Chacun aura sa réponse exacte même s’il pense seulement au fond de lui-même le mal de Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO.


La justice Divine est déjà déclarée.

 

Chacun doit faire son examen de conscience. Dieu donnera la récompense à chacun d’entre nous. Voilà à peu près frères et sœurs les raisons qui ont fait que cette fête des enfants du 24 décembre de cette année 1982 soit pour moi Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO mon premier anniversaire de ma passion organisée et déclanchée par mes proches collaborateurs qui étaient dans leurs difficultés au seuil de la mort et que j’ai sauvé la vie.


Cet anniversaire sera célébré chaque année en mémoire de la passion du Grand Maître GuyEmile LOUFOUA CETIKOUABO.
douloureux événement chaque année du 22 décembre au 8 janvier.


Lisons dans Psaume 100 : 1-5
1 Psaume de louange. Poussez vers l`Éternel des cris de joie, Vous tous, habitants de la terre!
2 Servez l`Éternel, avec joie, Venez avec allégresse en sa présence!
3 Sachez que l`Éternel est Dieu! C`est lui qui nous a faits, et nous lui appartenons; Nous sommes son peuple, et le troupeau de son pâturage.
4 Entrez dans ses portes avec des louanges, Dans ses parvis avec des cantiques! Célébrez-le, bénissez son nom!
5 Car l`Éternel est bon; sa bonté dure toujours, Et sa fidélité de génération en génération.
Que la Paix vous soit donnée de la part du Seigneur Jésus Christ Notre Dieu.

AMEN
Votre Frère en Christ Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO