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Le lieu de l'attentat et la photo de Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO après l'attentat


Association de Bienfaisance 
A Caractère Spirituel
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ASSOCIATION LOUZOLO-AMOUR OPH 
VERITES DIVINES DE L'HEURE: Guy Emile
LOUFOUA CETIKOUABO
"HOMME DE DIEU"
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Sommaire:
1) La visite de l'ange de l'Eterne entre 1973
2) Son enlèvement au Ciel le 08 octobre 1978
3) Sa passion
4) Son message de décembre 2000 annonçant son attentat
5) Son attentat
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1) La visite de l'ange de l'Eternel
entre 1973 et 1975
Note circulaire  n°086/GELC/GM-OPH/PF/ASLA-OPH/06
  KIBOSSI le 06 octobre  2005
NOTE CIRCULAIRE :
   A l’attention des frères et sœurs en Christ
   Des sections de l’ASLA-OPH du Congo 
  Et du monde entier.
   
  Objet : Dénomination de la Permanence de MOUKONDO
Mes bien-aimés dans le Seigneur,
C’est avec une grande joie que je  vous annonce la dénomination de notre permanence de l’Association Louzolo  « Amour »-OPH. De MOUKONDO sise 2, Rue DELAMARD à Brazzaville.
  A compter de ce jour, la  permanence de MOUKONDO s’appellera CHARAN d’UR en CHALDEE. Cependant, je ne  saurais vous donner la signification profonde de ce nom sans vous en révéler la  genèse. En effet, de retour à Brazzaville venant de Pointe Noire, accompagné de  deux grandes personnes, j’étais visité par un Ange de l’Eternel entre 4 et 5  heures du matin. Je n’étais pas endormi ; Cela se passait un Dimanche  matin entre les années 1973 et 1976.
  Les deux grandes personnes qui  m’accompagnaient n’avaient jamais connu ni Brazzaville, notre Capitale, ni la  partie Nord de notre pays, Ainsi, à notre arrivée à Brazzaville le vendredi,  j’avais jugé utile de faire avec mes deux compagnons, une balade touristique le  samedi dans la partie Nord du pays, jusqu’à 200km de Brazzaville. Revenus donc  à Brazzaville, après avoir partagé quelques bouteilles de  « BIERAMYCINE », nous nous étions reposés jusqu’à 4 heures du matin.
  C’est à cette heure là que nous  sommes réveillés. Nous étions assis devant la baraque en tôles que vous aviez  connue, préparant du café et causant joyeusement.
  Or l’Ange était passé à coté de  mon ami qui se trouvait alors sur la route, Mais celui-ci n’avait pas fait  attention. Il lui dira ceci : « Je cherche un homme qui  s’appelle Emile, il revient de Pointe Noire ». Mon ami lui répondra :  « Moi aussi, je vais au travail ». Mon ami appela son fils qu’il  chargea d’accompagner celui qui me cherchait, donc l’Ange. Il fit ce que son  père lui avait dit. C’est à ce moment qu’on vit venir un petit enfant qui  s’écria :
  « Eh Tat’Emile est là, le  voilà assis sur une petite chaise ». L’enfant précisa que ce n’étaient pas  ces deux personnes là, mais celui qui était assis à côté d’eux.
  L’Ange vint vers nous et resta  avec nous au moins pendant 30 minutes pendant que nous causions longuement.
  Après quoi l’Ange  s’exclama : « Ah, mon fils, Dieu m’a envoyé vers toi et je te cherche  depuis 3 jours déjà ». Je répondis : « Ah c’est moi que  vous cherchez ». Puis nous nous sommes levés, l’Ange et moi pour aller en  arrière de la Baraque, l’endroit où l’on pouvait bien causer. Dans la causerie,  il me révéla beaucoup de choses et me dit ceci : « Ne refuse pas de  recevoir tous les malades et de les guérir. C’est Dieu qui t’a confié cette  mission ne t’abandonnera point et rien ne t’arrivera ». Après qu’il ait  fini de me révéler d’avantage des choses, il dit : « Tu as  compris ? », et je répondis : « Oui, j’ai  compris ». Ensuite l’Ange s’empressa de partir en me disant : « Je  vais vite parce que ton frère va aller à l’école ». Je lui demandai  pourtant d’attendre encore quelques instants, le temps de lui préparer un petit  café.
  En définitive, je disais que  j’étais  arrivé avec deux grandes  personnes à Brazzaville revenant de Pointe Noire. J’étais menacé sous plusieurs  formes et, étant en quelque sorte dépassé, j’avais décidé de ne plus répartir à  Pointe Noire et de ne plus recevoir les malades. Dieu n’avait pas apprécié  favorablement cette décision et c’est pourquoi il m’avait envoyé cet Ange.
  Vous comprenez maintenant  pourquoi dans la chanson intitulée « Je suis incompris », j’avais dit  en substance ceci dans les couplets 6 et 7.
  6ème couplet : MU  MIFIOTOKOSO ZA BANTU BA NTOTO
                        NA BANZA MU BEMBIKA SALU  NA DE
                        MU NKUAMUSU YE NTOTOLO
                        YA ZOLO BIKA MU SADISA
  7ème couplet :  KANSI BILUMBU BIA LANDILA
                        YA MONA NTUMA YA ZOLE YA  NZAYISA
                        SADISA BANTU, KUTI NI KO
                        NZAMBI WA KU VANA SALU  KIO WENA YAKU.
  L’Ange était vêtu de blanc et  avait des cheveux blancs. Il était très bien habillé et ne portant pas de  chapeau. Seulement, je ne me rappelle plus dans quelle langue, il me parlait,  mais je comprenais tout ce qu’il me disait. Il me dit : « Ne crains  rien, personne ne te fera du mal. Je fus réconforté car j’avais pris la  décision de cesser. J’eus à nouveau confiance en la mission qui m’avait été  confiée.
  Je viens maintenant pour vous  donner l’explication de cette dénomination, c'est-à-dire : « CHARAN  D’UR EN CHALDEE ». En effet, ce nom veut dire que : C’est d’ici que  Dieu m’a révélé tout ce que je dois faire, toutes les recommandations  nécessaires à ma mission, car j’avais décidé de ne plus recevoir les malades et  les guérir.
Voilà, mes chers frères et soeurs en Christ, les informations que je tenais à mettre à votre disposition.
Daigne YAHVE l'Eternel vous accorder Son esprit de sagesse afin vous puissez exceller spirituellement dans cette voie du salut
 
  Votre frère en Christ, Le Représentant légal de l'O.P.H sur terre
Le Grand Maître de  L’OPH, Missionné du Christ Jésus,
   GUY EMILE LOUFOUA CETIKOUABO
   
   

2) Son enlèvement au Ciel le 08 octobre 1978
A mes très, très  aimés et respectés,
  Mes gros, gros,  gros des gros chefs,
  A ma très chère  aimée et respectée,
  Maman  Vice-présidente,
  La sœur MAHOUNGOU  NKELA Caroline,
Cette  cassette est la 3ème que je vous envoie, veuillez la faire écouter  lors des grandes fêtes de l’OPH. 
  Veuillez  demander à tous les frères et sœurs de faire des copies et de les garder  soigneusement chez eux afin qu’ils les écoutent tous les jours s’ils veulent  bien.
  De  même vous aussi devez faire des copies et conserver l’original vu qu’une  cassette peut se détériorer au fil de temps.
  Ce  message (cette troisième cassette) n’est pas très important, il est moins  important mais, je souhaite que vous le fassiez écouter lors des fêtes.
  Vous  vous poserez certainement la question suivante : mais comment se fait t-il  que j’adresse cette cassette à Maman MAHOUNGOU NKELA Caroline vice-présidente  du BCI alors qu’il y a le comité directeur ?
  Non,  le comité directeur est au dessus de tout et le BCI est un de ses organes qui a  une mission internationale bien précise. Le BCI est un organe d’exécution c’est  pour cela que je m’adresse directement à elle.
  Comme  on a les gros KALAKA qui boudent ! Mais oui c’est comme ça  toute administration a bien une hiérarchie et  chacune de ses sections a un rôle bien définit !
  Voilà  pourquoi ces derniers temps je m’adresse au BCI. Comme papa OGOUCHI est à  Pointe Noire et Maman NKELA est à Brazzaville (non loin de là où je suis), il  n’y a qu’à elle que je puisse m’adresser en urgence.
  Ici,  je n’ai pas de choses très importante à vous livrer, c’est moins important  mais, je veux que vous les connaissiez. Je ne vais pas m’étendre mais je vais  m’appuyer sur quelques points essentiels pour que vous les maîtrisiez. Il va de  soi que je ne vais pas aborder la genèse mais, quelques points saillants.
  En  effet, il y a fort bien longtemps que je projetais de vous livrez ce message  mais je me disais à quoi va-t-il servir ? Mais aujourd’hui, ma conscience  m’interpelle et je me dois de  vous le  dire moi-même. 
  Il  est vrai que les gens ont appris mon histoire par ci par là mais, je vais vous  la relater moi-même.
  Premièrement  je vais dire ce qui suit :
  Beaucoup  de gens disent qu’Emile est un illettré, il ne sait pas parler correctement  français, il n’a jamais été à l’université (grandes écoles) et comment peut-il  se dire Grand Maître ? Mais Comment, comment, comment, beaucoup de  comment !
  Mais  oui ! C’est vrai je ne suis pas cultivé…
  A  mon époque, il n’y avait que 4 classes (4 niveaux d’études). Tout le cursus  n’était limité qu’à 4 ans :
Et  point final.
  Ce  n’est que bien après qu’au sein de l’armée du salut il y a eu les cours  élémentaires. 
  A  mon époque, comme j’étais salutiste, je vous le dis toujours et je vous le  dirai toujours que je suis salutiste et je resterai salutiste quoi que je sois  les BATELE ET LES BASIDI (BTLBSD), à MAKAKA vers 1941 il y avait le premier  poste de l’armée du salut, je précise bien le premier poste de l’armée du salut  au Congo fut à MAKAKA (région du pool). 
  Les  premiers enfants inscrits dans cette école furent nous. J’étais encore petit et  je revenais du nord du Congo où mon père m’avait confié à son neveu direct que  beaucoup de gens connaissent mais ici je ne peux pas dire son nom.
  Quand  je suis parti de chez lui, je suis venu faire les 4 années d’études   c'est-à-dire :
Mais  il y a un détail que je veux bien soulevé :
  En  fait, je n’étais pas assidu aux cours c'est-à-dire dans une année, je manquais  au moins 6 mois de cours (une semaine de cours par mois). Les moniteurs et  d’autres élèves étaient contraints de me ligoter car je manquais abusivement  les cours.
  J’étais  un enfant bizarre mais, je ne me présentais qu’aux jours où il y avait les  compositions de passages en classes supérieures (lorsque mes amis me tenaient  informé). Curieusement, je réussissais et je passais en classes supérieures.
  Une  chose est vraie, je ne comptabilisais que moins de 3 mois en tout d’assiduité  durant l’année et ma mère s’étonnait, elle me posait la question  suivante :
  Mais  où est ce que tu acquis toutes ces connaissances alors que tu n’es pas  assidu ? Si ma mère était encore vivante, elle témoignerait. 
  Je  manquais tellement les cours qu’il était impossible de réussir dans ces  conditions. Je préférais aller dans la brousse pour poser mes piéges de rats  car mon père me disait toujours que l’ « on ne se nourrie pas de  papiers mais des produits de la chasse » autrement dit, il n’y a aucun  intérêt en allant à l’école, cela n’a aucune importance et quelque soient ses  connaissances scolaires, si quelqu’un meurt, il ne les amène pas avec lui. 
  Je  répète qu’à mon époque il n’y avait que 4 classes et nos enseignants étaient  des blancs, deux femmes Londoniennes étaient nos monitrices. Plus tard, on nous  ajouta 2 moniteurs noirs (africains), il y avait au total 4 moniteurs. Il y  avait un examen de passage pour passer d’une classe inférieure à une classe  supérieure. 
  Il  y avait également à GOMA TSIE-TSIE (village), le vieux GOMA TSIE-TSIE situé  après le pont du DJOUE (fleuve du sud du Congo) une école catholique où il n’y  avait que 4 années d’études (4 classes), les mêmes cours que chez nous les salutistes.
  Je  redis que durant les 4 années d’études je n’ai comptabilisé que moins de 3 mois  d’assiduité disant 2 mois d’assiduité et par la suite je disparaissais. 
  Curieusement,  les moniteurs m’aimaient bien parce que j’étais un bon élève (intelligent) et  lorsque les examens de passages s’approchaient, ils courraient me chercher. Ils  me ligotaient le matin pour m’amener à l’école. Ils me jetaient dans l’eau les  pieds et les mains liés (pour le bain) et m’embarquaient sur leurs épaules au  vu des autres élèves.
  Voilà  pourquoi les gros chefs disent que je suis un vaurien, que je ne connais  rien  et que je n’ai pas fait des longues études!
  Mais  Dieu dans sa sagesse m’a instruit autrement en me faisant faire des longues  études. Quand je suis rentré de mon séjour du nord du Congo, après les études  que j’ai faites (4 ans), Dieu m’avait inscrit dans son école à lui. 
  En  effet, j’étais mort dans la rue un matin et suis resté 3 ans et demi dans une  sorte de coma, tout mon corps était immobile et plus rien ne fonctionnait. Un  monsieur récupéra mon corps car il se disait : cet enfant doit appartenir  à un homme comme moi. Si vous lisez les documents, vous serez informés que  j’avais dit tout ceci au Roi David.
  Le  Roi David avait transcrit tout ceci dans des brochures mais malheureusement à  LOUZOLO, les frères et sœurs les déconsidèrent alors que ce sont des choses  qu’ils devaient connaître et maîtriser car il viendra un temps où on leur  posera des questions. Mais si on vous pose des questions à ce sujet et que vous  êtes ignorants, comment allez vous répondre ?
  Vous  déconsidérez ces choses croyant que les vraies choses viendront du Ciel !  Ah ! Non, puisque vous êtes à LOUZOLO, vous devez connaître son histoire  et surtout celle du président fondateur. 
  Dieu  m’a inscrit dans son école pendant 3 ans et demi, j’étais un homme mort car je  ne bougeais plus tout mon corps ne fonctionnais plus (coma) hormis des  battements au niveau du cou qui avaient un rythme irrégulier. Le monsieur qui  m’avait récupéré, en allant au travail s’inquiétait de mon sort, il  croyait qu’il se pourrait que je meures derrière lui. 
  Mes  parents avaient oublié qu’ils avaient un enfant que ce soit du coté de ma mère  ou de mes oncles que ce soit du coté de mon père. Mes parents maternels  croyaient que je me trouvais chez mes parents paternels comme j’avais  l’habitude de rester chez mon père. De même mes parents paternels pensaient que  j’étais chez mes parents maternels et durant tout ce temps personne ne s’est  inquiété. 
  Personne  n’avait l’idée de me chercher selon la volonté de Dieu. Pendant trois ans et  demi je dis bien ! Dieu a fait que je reste dans le coma ! Vous vous  rendrez compte qu’il ne me restait plus que des os mais,  malgré tout, ce monsieur me gardait. Ce papa  était originaire des abords du chemin de fer, vers le nord aux environs de  marchant (gare du chemin de fer). Je ne le connaissais pas et lui non plus. Ce  n’est qu’au moment où je me suis rétabli que nous nous sommes connus. Ce papa  est déjà mort et s’appelait Fidèle, il se prénommait Fidèle, monsieur fidèle.  Il était charpentier.
  Ce  monsieur s’est par la suite marié et…Je ne peux pas vous dire la suite car il  ne reste plus assez de bande. C’était l’école de Dieu pendant trois ans et demi  vous le lisez dans les brochures écrites par le Roi David et il y a beaucoup de  choses dans le grand livre écrit par le Roi David, mais, Dieu m’avait dit de le  garder pour le moment.
  Deuxièmement,
  Vous  aviez appris que j’avais disparu à LOUDIMA gare, en fait c’est ici le message  que je voudrai bien porté à votre connaissance.
  J’ai  commencé par vous parler de mon cursus scolaire pour affirmer que je n’ai pas  fait des longues études terrestres mais Dieu m’a lui-même inscrit dans son  école à lui pendant trois ans et demi. Je ne respirai pas du tout pendant trois  ans et demi mais seulement il y avait des battements au niveau de mon cou.  Enfin, je laisse tomber la suite pour revenir au message du jour.
  En  1978 j’avais envoyé quelqu’un à Brazzaville auprès des Papas :
Ces  derniers ne savaient pas comment prier dans LOUZOLO, personne ne savait y  compris le défunt NKOUNKOU Joachim qui était le premier membre du Congo. Comme  à Pointe Noire j’avais appris comment il fallait prier, j’avais délégué  quelqu’un de là bas pour aller me représenter à Brazzaville. Ce fut ce monsieur  que j’avais envoyé auprès des papas cités ci-dessus.
  J’avais  donc envoyé ce monsieur à Brazzaville pour qu’il aille chez Papa NKOURISSA leur  apprendre comment nous prions à LOUZOLO. Ils devaient tous demeurer  fraternellement ensemble pour apprendre auprès de ce frère.
  Ce  monsieur était bien arrivé à Brazzaville où il avait été bien reçu,  escorté…Vous pouvez vérifier mes dires auprès des Papas NKOURISSA, BIZA  BOUNTSANA, YOULOU Antoine, MBEMBA, PASSI MOUNZEMBELLE. Ils confirmeront tout  ceci. 
  C’est  bien moi qui avais envoyé ce monsieur à Brazzaville parce qu’en quittant  Brazzaville, j’étais conscient que ceux qui y étaient  restés ne savaient pas comment prier à  LOUZOLO. C’est pour cette raison que j’ai envoyé quelqu’un de Pointe Noire pour  leur apprendre.
  Tellement  qu’il avait été bien reçu, escorté…Papa MBEMBA Etienne, pardonnez moi, voulait  même passez tout de suite membre confirmé. 
  Papa  MBEMBA Etienne disait au frère que j’avais envoyé qu’il ne voulait rien savoir,  il avait de l’argent et était prêt à payer pour passer MC. Alors que le frère  insistait sur le fait qu’il faut d’abord bien connaître l’OPH avant de passer  membre, mais celui-ci ne voulait rien savoir.
  Papa  MBEMBA avait tellement insisté que ce frère était contraint de revenir à  LOUDIMA me poser la question de savoir s’il est possible que Papa MBEMBA passe  du coup membre confirmé. Ma réponse était OUI car c’est  la volonté de tout un chacun !
  Ce  frère retourna à Brazzaville fit tout ce qu’il fallait faire (les courriers)  pour que Papa MBEMBA passe membre confirmé. 
  Il  lui a été signalé qu’à son retour à LOUDIMA, des présents et d’autres affaires  dont de la nourriture devaient lui être confiés pour moi.
  Lorsqu’il avait  fini son travail à Brazzaville, on lui remit tout ce qu’il fallait et il  retourna à Pointe Noire.
  Arrivé  à Pointe Noire il s’est dit :
  Ah !  Quel bonheur ! J’ai été bien reçu et escorté…C’est à moi qu’ils ont fait  tant d’honneur ! Combien à plus forte raison lui-même Emile ? 
  Le  jour où lui-même Emile mettra les pieds à Brazzaville… Alors il concerta les  gens, ils se sont entendu…C’est le début de ce que vous connaissez concernant  la passion du Grand Maître. C’est le point de départ de ma passion. 
  La  bonne réception de ce frère à Brazzaville par les Papas NKOURISSA, BIZA,  NKOUNKOU Joachim, PASSI, MBEMBA et les cotisations faites pour lui l’avaient  inspiré. Il s’est dit, c’est seulement moi qu’ils ont reçu, mais, le jour où  lui-même viendra…
  Il  s’était allié avec un autre président de Pointe Noire où j’avais institué deux  bureaux, vous les connaissez certainement par écrit. 
  Je  redis ces choses pour que vous vous rappeliez comment a débuté ma passion  et quel en était le but, la motivation…
  C’est  parce ce frère avait été  bien reçu et on  lui avait certainement donné beaucoup d’argent…Il s’est dit mais « ça  c’est seulement moi mais le jour où lui-même viendra ça sera plus que  cela ». C’est pour cela qu’ils se sont réunis pour faire ce qu’ils  voulaient faire comme vous le lisez dans la passion du GM. 
  En  1978, la même année, je quittais LOUDIMA pour aller à Pointe Noire voir comment  fonctionnaient les deux bureaux. Arrivé à Pointe Noire, les gens sont venus à  ma rencontre pour me dire « ici ça ne va pas bien, rien ne va ici ».  Je leur ai demandé ce qui s’y passait réellement. Ils me diront qu’il y a des  mésententes, les 2 frères présidents ne s’entendent plus et se chamaillent tout  le temps. Or, c’était une ruse : c’était un piège tendu pour m’avoir.  C’est comme à Brazzaville, les gens créent des situations  incongrues pour que les frères et sœurs se  séparent et ne s’entendent plus afin de me faire du mal.  Faire du mal à Emile c’est idiot !  « Ca je vous ai toujours dit : ici c’est chez vous mais chez nous,  dans notre pays, personne ne passera sans me voir » retenez cela une bonne  fois pour toute.
  J’ai  pris le défunt BARON et je l’ai invité à me suivre pour aller voir les deux  frères en conflit. Nous sommes partis pour MAWATA (quartier de Pointe Noire) à  18h les deux  présidents y étaient bel et  bien présents car j’avais au préalable demandé au président de TSIE TSIE (un  autre quartier de Pointe Noire) de venir.
  Il  y avait beaucoup de problèmes, ils accouchaient beaucoup de problèmes. Certains  disaient Emile est peut être votre Grand Maître mais,  plus jamais le nôtre, en claquant les portes.  Par la suite, j’ai dit au défunt BARON allons y et nous sommes partis. Le  défunt BARON m’accompagna chez moi à MVOUNGOU (quartier de Pointe Noire) et il  rentra chez lui à MBOTA (quartier de Pointe Noire).
  Le  lendemain matin avant d’aller au travail, le défunt BARON était venu me voir  pour me remonter le moral et surtout pour voir si tout allait bien. Il me dit  qu’il allait au travail et moi je lui ai signalé que je rentrai à LOUDIMA le  soir.
  Mais,  je n’avais plus voyagé ce soir là, comme on était  des amis, je lui avais par la suite confié  que je partais plutôt pour LOUDIMA au matin et qu’on devait laisser tomber les  histoires de Pointe Noire. J’y avais donc passé deux jours et au matin j’ai  pris le train et je suis arrivé à LOUDIMA à 15h.Entretemps, un frère de LOUDIMA  que j’avais présenté à ces deux présidents étaient déjà à Pointe Noire avant  moi et avait entendu tout ce qu’on fomentait à mon encontre. Quand je suis  arrivé à LOUDIMA les gens étaient entrain de m’indexer en disant c’est bien  lui, c’est lui. Et ce frère, le frère SERAPHIN que vous connaissez par écrit  avait propagé la nouvelle à LOUDIMA en disant que «  ce type là on va le  liquider à Pointe Noire, car j’en viens et j’ai entendu parler de lui en  mal ».Une maman viendra alors à ma rencontre et me disant : Mon fils  es tu arrivé ? Je lui ai répondu oui. Elle s’étonnait parce qu’elle avait  appris qu’il allait m’arriver une situation catastrophique. Elle me  disait : Papa Séraphin nous a tout raconté. Je lui avais répondu, maman ça  ne fait rien.
  Je  m’étais rendu chez le frère MAMPOUYA GOTHARD SAMUEL que vous connaissez, il est  vice-président de « BUCOREP » président de la section de NKAYI  et BTLBSD.
  Celui-ci  m’informa dira que chez moi il y avait des étrangers qui venaient du village et  comme il n’y avait plus de place, tu dormiras ici chez moi dans la chambre  réservée aux étrangers. Comme il n’y avait plus de crochet du coté intérieur de  la porte, pour fermer la porte à clé, Papa GOTHARD me dira qu’il était dans  l’obligation de m’enfermer c'est-à-dire qu’il devait fermer la porte de  l’extérieur, retirer la clé pour la remettre le lendemain matin avant d’aller  au travail. Il était le directeur des deux écoles de LOUDIMA. Il me plaça dans  cette chambre, ferma la chambre, retira la clé puis s’en alla dormir. Cette  chambre n’avait pas de fenêtre car c’était une chambre de passage réservée aux  étrangers.
  Après  son départ, je m’étais assis sur le lit puis j’ai posé le sac que j’avais sur  la chaise qui était juste à coté.
  J’étais  resté assis et une tristesse terrible me saisit je me lamentais : Les gens  à qui je fais du bien me rendent le mal alors que beaucoup d’entre eux étaient  dans des situations difficiles et critiques ! J’y pensais sans cesse. Ce  jour là c’était dimanche, il était 20h. Tellement que cela me chagrinait, Dieu  m’envoya trois (3) anges blancs comme on les voit dans les images.
  En  1978, 3 anges étaient venus me chercher à 20h. Le premier était devant, je le  suivis et les deux autres étaient derrières. Nous partîmes ensemble. Ils me  transportaient sur une haute montagne. Ils me demandaient de m’agenouiller, je  m’agenouillai. Les 3 anges m’entouraient. Je ne vais pas tout raconter  tellement que c’est long. J’y avais passé trois nuits sous un soleil brûlant,  consumant. Mon corps n’avait plus d’eau et de sang car ils s’étaient évaporés.  J’ai su que je n’avais plus de sang lorsque j’ai essayé de bouger ma langue en  vain. 
  Après  nous sommes partis, j’avais ma tenue rouge bordeaux. A l’époque cette tenue  était vendue au marché à Pointe Noire et il y en avait de plusieurs sortes.  J’avais acheté ma tenue rouge bordeaux comportant une chemise manches courtes  et un pantalon. Son tissu était très souple. A l’occasion j’avais aussi acheté  mes sandales (MUCHUN’ YA BATA) car je ne porte que ça comme chaussures.
  Après  les 3 jours, nous sommes montés au Ciel, j’y étais monté avec le corps que vous  voyiez à la montagne. Vous me voyiez à KIBOSSI et oui c’est bien le corps que  vous voyiez qui était parti au Ciel « vivant ». Nous sommes arrivés  là bas et ils m’ont placé quelque part où il y avait de la joie en tout cas une  joie indescriptible. J’y suis resté et quelques jours après je me suis souvenu  que j’avais laissé ma femme enceinte. Je me disais mais, si elle met au monde  un enfant, que lui dira ma femme s’il lui demande où est son père ! 
  C’est  ce souvenir qui me poussait à revenir sur terre et je me disais qu’il était  mieux que je me manifeste en demandant la permission pour aller rassurer ma  femme et revenir. 
  Je  m’étais agenouillé, c’était un mercredi et, j’avais vu Jésus qui revenait d’un  lieu que j’ignorais. Il était très loin sur une haute montagne, il marchait  lentement avec ses mains croisées dans le dos. Ses cheveux, sa barbe blanches  tombaient jusqu’à la terre et nous humains, marchons sur sa chevelure et sa  barbe blanches. Sa barbe et sa chevelure sont sur cette terre, elles sont  répandues sur cette terre. C'est-à-dire Jésus est grand et sa chevelure, sa  barbe débordent et tombent jusqu’à la terre. Il passait au loin, lentement,  lentement  et marchait en regardant  devant lui, « tout droit »…
  Arrivé  en face du lieu où j’étais, « il était en haut et moi j’étais en  bas », il était sur une haute montagne et je ne sais pas où il se  dirigeait. Il s’est retourné et en me voyant il dira :
  Ah  Emile ! Emile qui aime les humains ! Veux tu repartir sur terre alors  que les humains ne t’aiment pas ! Laisses les nous les aurons tous ici. Je  lui dit : Papa, pardon, Jésus Pardon ! Je vais tout simplement y  retourner pour dire à ma femme de ne pas s’inquiéter car quoique je ne sois pas  sur terre, je vis de l’autre coté. Je dis bien c’était Jésus lui-même, je l’ai  vu avec mes yeux, quand vous me voyiez à KIBOSSI, j’avais déjà vu Jésus de mes  propres yeux. En 1978, je l’ai vu avec ce corps au Ciel, au Ciel je dis bien  car ils m’avaient pris pour m’amener là bas au Ciel, je dis bien au Ciel.  J’étais monté au Ciel avec ma tenue, mes sandales, ma montre BRACELET et une  torche que j’avais à la main. Je suppliais avec insistance Jésus pour  qu’il  me permettre de retourner sur  terre. C’était bien Jésus, ce Jésus, ce que je vous dis en ce moment, on vous  le redira le jour où nous allons nous revoir au Ciel. Jésus disait : Ah  Emile qui aiment tant le monde mais laisse les, car ils t’aiment pas, nous les  aurons tous ici. C’était Jésus qui le disait ! Et moi j’insistais en le  suppliant de me laisser partir rassurer ma femme. Après m’avoir parlé, il s’en  alla, marchant lentement, lentement, je ne sais pas où était t-il descendu. Aussitôt  après sa disparition, les 3 anges étaient revenus et m’ont relevé car j’étais à  genoux.  
  Là  bas au Ciel, là où j’étais il y a eu une joie indescriptible. Il fait très beau  là bas, la lumière qui s’y trouve est merveilleuse et extraordinaire. Un beau  temps, la lumière avait une couleur tendant vers  le jaune avec quelque fois une tendance vers  un peu de rouge, bref ! Une lumière extraordinaire.
  Les  trois anges m’avaient dit que c’est le moment de repartir sur terre. Comme  toujours, un ange était devant moi et les deux autres derrière moi. Je suivais  celui qui était devant moi. Je ne sais plus combien de pas avons-nous  fait ! Je ne sais pas si nous avions fait deux pas ou trois. Mais, en  marchant, en faisant deux pas, l’ange qui était devant moi s’était retourné  pour me saluer, il m’avait tenu la main, me saluant en me disant va en paix  (bon retour), un des deux anges qui étaient derrière moi s’avança et me saluait  en me disant va en paix, le troisième s’avant et me saluait en me disant va en  paix. Lorsqu’ils sont parti, à l’instant même, je me suis retrouvé ici sur  terre. C'est-à-dire Ah ! Mes gros chefs il y a des miracles ! Les  miracles existent, la puissance existe…Je ne sais pas si le Ciel est ici sur  terre ou ailleurs car nous n’avions fait que deux ou trois pas en partant de là  bas et eux, avaient déjà su que nous étions arrivés sur terre. Le premier ange  qui était devant moi se retournait pour me saluer, le deuxième s’avançant  devant moi me saluait et le troisième s’avançant devant moi me saluait. Ils  m’ont salué à la main je dis bien (une précision) et quand ils s’étaient  retourné aussitôt, je me suis retrouvé ici sur terre. 
  Alors,  pendant tout ce temps là, mes oreilles étaient inactives, je n’entendais plus  rien et mes yeux ne voyaient plus rien du tout. Après j’entendais un bruit  monotone dans mes oreilles et je commençais à me plaindre en disant : Ah  Père Eternel mon Dieu, où suis-je ? Que m’arrive t-il. Or, ils m’avaient  déposé sur une haute montagne de LOUDIMA une haute montagne car à LOUDIMA il y  a un endroit renfermant des hautes montagnes parsemées des hautes herbes.
  Je  m’étais dit comment vais-je faire tellement que j’étais fatigué. Pendant tout  ce temps, je n’avais pas manger c’est dire depuis mon départ de Pointe Noire et  mon séjour au Ciel, je n’avais rien mangé. Tellement qu’il y avait la joie  j’avais complètement oublié les habitudes terrestres mais, bien plus tard, je  m’étais souvenu que j’avais laissé ma femme enceinte et que j’avais des  inquiétudes pour l’enfant qui allait naître. Et donc l’enfant pour lequel  j’étais revenu sur terre s’appelle ISMAEL, LOUFOUA Ismaël vous le  connaissez, KADI Ismaël pourquoi KADI ? Kadi est le président de la  section qui avait logé ma femme lorsque j’étais menacé. J’avais donc laissé ma  femme chez le président KADI en lui disant que, quand ma femme accouchera, tu  donneras ton nom à l’enfant. Le premier nom de l’enfant devra être KADI puis  LOUFOUA. Cet enfant s’appelle KADI LOUFOUA Christian Ismaël. C’est à cause de  cet enfant que j’étais revenu sinon je serai définitivement parti et vous ne  m’auriez pas connu. A Brazzaville aussi, je ne serais pas connu des frères et  sœurs.
    
  Sur  cette montagne, tellement que j’étais épuisé, je m’étais endormi jusqu’au  lendemain matin. Après m’être réveillé, je me disais, où vais-je aller ?  Je craignais de me déplacer le jour car il m’avait été interdit de me faire  voir aux humains. Je me disais que vais-je faire ? Parce que je n’avais  plus le premier corps celui qui était sorti du ventre de ma mère mais un nouveau  corps. Mon corps terrestre avait été enlevé pour être remplacé par un nouveau  corps, le corps que vous voyez et est un autre. On m’avais changé de sang et  d’eau tout est nouveau ce n’est plus le même corps. 
  J’y  avais passé 2 nuits et la troisième nuit, j’avais entendu les sifflements du  train provenant de la gare de LOUDIMA. J’avais repéré la direction de la  provenance du son et je m’étais mis en route pour aller vers la gare mais, en  route j’avais vu, fait, et vécu beaucoup de choses que je ne peux pas vous le dire.  Je vais vous raconter autre chose :
  En  rentrant à LOUDIMA, vu qu’il y avait beaucoup de montagnes, J’ai entendu  dire : Emile, c’est toi que nous attendions ! J’ai vu un peuple  immense sur l’une des montagnes, c’était un peuple de Dieu. Il y avait Papa  Abraham, je l’avais vu moi Emile, j’avais vu Papa Abraham. C’est lui qui  disait : Emile, nous l’attendions ici car c’est toi qui doit diriger cet  assemblée. De mon vivant, je dis bien que j’étais vivant, je gravissais,  gravissais, gravissait cette haute montagne où il y avait un immense peuple de  Dieu. C’était Papa Abraham je l’avais bien vu moi Emile, il faut que je vous  dise ces quelques vérités quoique je ne veuille pas tout dire.
  Donc,  Papa Abraham m’avait dit : c’est toi que nous attendions pour diriger  cette assemblée. Je leur avais demandé pardon en leur expliquant que j’étais  très fatigué. Par la suite, nous avons fait tout ce qu’on nous avait demandé de  faire.
  Nous  avions tout clôturé et au matin, j’étais descendu de cette montagne en les  voyant rassemblés, je leur avais dit au revoir et eux, m’avaient répondu, va en  paix.
  J’étais  descendu de la montagne, ce n’est pas un rêve que je vous raconte mais une  réalité, j’étais bien vivant. En marchant,… je vais couper d’autres parties à  cause de la bande qui va bientôt finir.
  J’avais  traversé trois fois les alentours de LOUDIMA puis je suis arrivé à la gare non  loin de chez papa GOTHARD.
  En  partant du chemin de fer (rails), mon point de repère, en remontant, j’étais  arrivé à un point d’eau et je m’étais souvenu que c’est à cet endroit que l’on  venait puiser de l’eau. Je m’étais posé trois fois la question de savoir  comment allais-je faire pour m’orienter ! En continuant de remonter,  j’étais arrivé à un endroit où nous achetions du pain. J’avais reconnu la boulangerie  et je m’y étais dirigé pour me renseigner. Arrivé sur les lieux, je leur avais  demandé s’il connaissait la maison d’un Monsieur nommé MOUANDZA. Ce monsieur  vendait du café et c’est chez lui que je me rendais souvent pour boire mon  café, comme sa maison est grande, je m’étais dit, partant de là, je pourrai  facilement me diriger vers ma destination.
  Ils  m’avaient renseigné et je m’étais rendu chez Papa MOUANDZA. Arrivé chez lui,  j’avais frappé à la porte, comme il revenait de la pêche, il répondait :  « qui est ce ? » et j’avais répondu : « C’est moi  Emile ». Il étais étonné et me disait : »Emile ! Mais nous  sommes entrain de te chercher partout, tous les moniteurs sont préoccupés par  ta disparition ; Les gens téléphonaient partout pour savoir où tu étais et  même papa Gothard s’inquiète et ne sait quoi dire à ta famille car c’est de  chez lui que tu étais. Papa Gothard disait : « que vais-je dire  à sa famille car c’est de chez moi qu’il a disparu et c’est moi qui avais fermé  la maison à clé! ». Renseignez vous auprès de Papa Gothard MAMPOUYA  Samuel pour vérifier mes dires. Demandez lui si « OUI ou NON je vous  divertis ! ».
  Ils  me cherchaient…
  Après  avoir pris connaissance de ce qui s’était passé, j’avais dit à Papa MOUANDZA,  permettez moi de me changer d’abord et puis je vais aller chez Papa Gothard. Il  me disait : Ici, nous sommes tous entrain de te chercher partout, tout le  monde te cherche et cette disparition défraie la chronique. Tous les soirs,  tous les moniteurs allaient s’enquérir de l’évolution de la situation auprès de  Papa Gothard. Ce soir là, ils se trouvaient réunis dans son grand salon quand  nous étions arrivés chez lui. 
  Arrivés  chez lui, nous avions frappé à la porte et Papa Gothard disait : Qui est  là ? Papa MOUANDZA lui répondait : c’est moi Papa MOUANDZA. Papa  Gothard lui demandait : Qu’est ce qui se passe ?
  Papa  MOUANDZA : La personne que nous cherchions est bien vivante et nous  l’avons retrouvé !
  Papa  Gothard : a-t-il réapparu ?
  Papa  MOUANZA : oui il est réapparu et il est ici présent.
  Alors,  les moniteurs sortaient de son salon un à un sans mot dire, il y avait un  silence de mort. Pour eux ce n’était pas possible que je réapparaisse après  tant de jours d’absence. Comme je ne pouvais pas approcher les gens, je les  fuyais, j’étais contraint d’entrer dans son salon et je m’étais installé dans  un coin.
  Papa  Gothard me regardait, moi aussi.
  Papa  MOUANZA nous laissa, les moniteurs aussi, je suis resté qu’avec :
J’étais  assis dans un coin, sur une chaise et eux étaient sur le canapé. 
  Je  leur avais demandé s’il y avait des mangues. Papa Gothard me confirmait que les  mangues étaient déjà presque mures. Je leur demandais de me les préparer comme  suit :
  Les  éplucher, les couper en morceau puis les piller en les mélangeant avec beaucoup  de piment.
  Ils  me les avaient préparées rapidement, ils m’avaient servi puis j’avais mangé.
  Je  ne vais pas m’étendre tellement que le récit est long, je vais aller à  l’essentiel.
  Après  avoir mangé, je lui avais dit que je devais m’en aller. Papa Gothard n’était  pas d’accord pour que je parte. Il me disait : Non, je ne veux pas que tu  partes de peur que tu ne disparaisses encore ! Non tu restes ici. Je lui  avais rassuré que je m’en irai plus.
  Il  me proposait de nouveau la même chambre où les anges étaient venus me chercher,  il m’y installait et j’ai dormi. 
  Au  matin, Dieu me dira : Tu resteras un mois et demi  dans cette chambre, tu ne sortiras point et  tu ne verras personne, les gens non plus ne viendront pas te voir ou te rendre  visite. Tu y demeureras pendant un mois et demi.
  J’y  étais resté durant un mois et demi. Après ce délai, Dieu me dira : Tu peux  maintenant sortir et te faire voir aux humains.
  C’est  ainsi qu’était ma disparition chez Papa Gothard. Dieu m’avait envoyé 3 anges  parce que j’étais tellement triste et je me disait : Malgré tout le bien  que je fais aux gens, ceux-ci me rendent le mal ! C’est alors qu’une  mélancolie me saisissait, mon chagrin montait vers Dieu et il m’envoyait 3  anges pour venir me chercher.
  J’étais  parti au Ciel avec ce corps, celui ci.
  Donc  voilà mes gros chefs, mes frères et sœurs, ce que j’avais à vous dire.  Tellement que c’est long, j’ai résumé pris l’essentiel pour que vous  connaissiez cette histoire. 
  Beaucoup  de gens avaient appris que j’avais disparu sans savoir où j’étais parti et  comment c’était déroulé!
  Voilà  pourquoi je vous raconte cela, à présent réfléchissez :
  Jésus  avait refusé que je revienne sur cette terre en me disant : « Tu  aimes les gens mais les gens ne t’aiment pas ; Laisse-les, nous les  aurons ici » C’étais Jésus qui parlait  et il passait sur une grande montagne. Il disait : tu aimes les gens mais  les gens ne t’aiment pas laisse-les nous les auront ici. Je suppliais le  Seigneur en lui disant : Permets moi d’aller seulement rassuré ma femme  car je l’ai laissé en état de grossesse ; que répondra ma femme à l’enfant  lorsqu’il va naître, celui-ci lui posera la question de savoir où est son père.
  Ah  Emile ! Qui aime les gens alors que les gens ne l’aiment pas mais laisse  les !
  Voilà  mes gros chefs ce que j’avais à vous dire. Ce message-ci sera écrit dans la  brochure intitulée : la prédication selon Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO (à  l’orée du troisième millénaire) mais, tout un chacun devra faire la copie de ce  message (cassette) pour l’écouter chez lui pour savoir comment les choses  s’étaient passé.
  Après  avoir fait un mois et demi, j’avais encore décidé de retourner à Pointe Noire.  C’est vers la fin de l’année 1978 et début 1979 que s’était passé ce que vous  lisez. Je crois que vous m’avez compris.
  Cette  cassette doit être écoutée lors de toutes les grandes fêtes de l’OPH. Il faut  que les gens fassent des photocopies de ce message pour l’écouter chez eux.
  Je  m’arrête là !
  Je  vais voir s’il me reste encore un peu de bande pour vous proposer au moins une  chanson.
  Il  en reste un peu.
   Mes gros chefs!
  Mes  très, très, très cher aimés et respectés, Mes gros KALAKA,
  Si  tu veux prier Dieu, va prier ton Dieu mais, n’examines pas d’abord la vie  d’Emile ! Alors qu’Emile est un pauvre type, il n’est pas intellectuel, il  n’a pas fait des longues études. Si tu examines ces choses, tu ne prieras plus.  Parce que, par rapport à ce que vous êtes, vous n’allez plus me considérer et  direz : ah ! C’est un pauvre type.
  Mais  oui, je suis un pauvre type mais, en 1988 à l’ancienne montagne qu’on  appelait  N’LOU c'est-à-dire MONGO WA  N’LOU en langue, quand il y a eu des problèmes provoqués par des gens qui  avaient dit ce que vous connaissez, je vous avais dit oui, pour tout ce que  vous avez dit, pour tout ce que vous avez fait, pour tout ce qui se passe ici, 
Si  j’avais dit ces deux phrases en 1988 à l’ancienne montagne par rapport à tout  ce qui s’était passé là bas, tout ce qui était dit là bas et le comportement  affiché par des frères et sœurs qui y étaient , c’est parce que Dieu était  irrité.
  Nous  ne devons pas badiner avec Dieu. Lisons la Bible pour nous rendre compte que  les israélites se moquaient du prophète et Dieu fit ouvrir la terre pour les enterrer  vivants. Ce jour là c’était ce qui allait advenir. En voyant cela, j’ai supplié  Dieu en lui disant : Oh Seigneur, mais si cela arrive comment serai je moi  ton serviteur ? 
  Non,  mes frères et sœurs, non mes gros KALAKA si tu veux être à LOUZOLO, reste. Mais  si tu ne veux pas rester à LOUZOLO, va librement mais ne provoque pas des  histoires que tu ne pourras assumer. Ce qu’ils ont provoqué là bas, à  l’ancienne Montagne, qui avait exaspéré   Dieu, mais s’il advenait que Dieu fasse sa volonté, Ah ! Tous ceux  qui étaient à la montagne seraient ensevelis ! Il ne faut pas badiner avec  Dieu. J’ai toujours dit, je répète et je le répèterai toujours je  cite : «  si tu constates que LOUZOLO ne te convient pas déposes  les armes et va t-en tranquillement mais, ne cherches pas des problèmes à Dieu.  Dieu n’est pas notre petit frère. Dieu n’est pas…Je ne sais pas moi ! 
  Lorsque  Dieu donne, Il donne, lorsqu’Il parle, Il parle. Mais nous les humains sommes  orgueilleux, vaniteux [parce que « je suis comme ceci, je suis comme  cela » devant les gens…«parce  que  les gens vous côtoient …bon écoutez… »] Ah non !
  J’aime  tout le monde, j’aimerai toujours tout le monde jusqu’au dernier jour du  Seigneur. Jésus m’avait dit : Tu aimes les gens mais les gens ne t’aiment  pas, laisse les nous les aurons tous ici. C’était Jésus qui me l’avait dit,  lorsque j’étais parti au Ciel avec tout ce corps, lorsque les 3 anges m’avaient  emmenés vivant, j’étais vivant.
  Jésus  m’avait dit : Tu aimes les gens mais les gens ne t’aiment pas laisse les  nous les aurons ici. Oui, mes frères et sœurs, mes gros KALAKA, mes gros chefs,  pardonnez moi, si tu constates que LOUZOLO est une association qui ne te  convient pas va-t-on tranquillement ne cherche pas de problèmes à Dieu. Ce  n’est pas à moi que vous cherchez des problèmes mais à Dieu puisqu’Emile a été  envoyé pour propager la bonne nouvelle de Dieu. Je suis un petit KAPITA je vous  l’ai toujours dit.
  Si  tu cherches les problèmes, ce n’est pas à Emile que tu les cherches mais à  Dieu. Mais, qui est l’homme de la terre par rapport à Dieu ! Qui a le  pouvoir sur l’autre ? Qui peut faire du mal à l’autre ? L’homme ou  Dieu ?
  Non,  ne cherchons pas des problèmes à Dieu, nous sommes ses créatures et devons le  craindre. Lorsque Dieu établi quelqu’un pour vous enseigner ses vérités,  l’homme de la terre est libre de les écouter et de les mettre en pratique ou de  ne pas les écouter…Si tu ne veux pas écouter va-t-en doucement, tranquillement  et librement mais, ne cherchez pas des problèmes.
  Lisez  dans la Bible, les israélites étaient nombreux mais, sur SIX CENTS et quelques  MILLE (600 000 environs) sortis d’Egypte combien étaient arrivés à la  terre promise là où coulaient le lait et le miel? Ce n’est pas DEUX ?
  C’est  DEUX (2) ! 2 personnes seulement étaient entrées à CANAAN, la terre  promise. 2 personnes seulement étaient arrivées à CANAAN c’était JOSUE et CALEB  parce qu’ils observaient et mettraient en pratique les lois et commandements.  En revanche, les gens « comme nous autres » sommes restés loin  derrière et ne sommes jamais arrivés. Lisons la Bible, les gens disaient mais  MOISE est un pauvre type…mais nous les humains…
  Fin  du message
Traduit et écrit par : La sœur Liliane MIKOUNGUI et le frère Baz MIKOUNGUI inspecteurs spirituels et itinérants Union Européenne.

LA PASSION DU GRAND MAITRE DE L’OPH DU 22 DECEMBRE 1979 AU 8 JANVIER 1982
1) PREFACE :
Ce document que je mets à votre  connaissance n’a aucune ambition ou idée de vengeance, bien au contraire il  doit être un élément de réflexion pour les frères et sœurs qui voudraient  sincèrement évoluer en spiritualité.
  Sa présentation très modeste doit  freiner l’esprit d’analyse qui nous incite quelque fois à formuler des  critiques inhumaines.
  Instruisez vous frères et sœurs  en lisant attentivement ces écrits de votre Grand Maître qui déballe le  déroulement d’une horrible passion.
  Que ces souvenirs vous servent de  marchepied pour atteindre le salut éternel.
  En avant vers la Gloire du  Seigneur Jésus Christ.
  Paix profonde du Christ à tous  les frères et sœurs.
Votre Aimé et Cher Grand Maître
  Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO
  2) AU DEBUT DE 1975
Je devais installer 2 bureaux de  notre Organisation au niveau de DUO et MAHOUTA, deux quartiers de Pointe Noire,  ceci pour me faciliter la tâche. Au même moment, c'est-à-dire à la même période  je devais me rendre à LOUDIMA, ville située dans le département de la LEKOUMOU.
    3) VERS LA FIN DE 1975 et 1976
  Comme toujours, je me suis rendu  à Pointe Noire pour continuer à travailler.
  Arrivé à Pointe Noire, j’ai  trouvé une situation très alarmante au sein des 2 bureaux qui s’étaient  organisés avant contre moi EMILE.
  Les gens qui formaient ces deux  bureaux s’étaient détournés de mon enseignement en adoptant des paroles  contraires aux miennes.
  Compte tenu de la situation qui  prévalait à cette époque, je me suis rendu aussitôt de nouveau à LOUDIMA.
  Deux jours après mon arrivée, je  reçus une visite d’un frère du groupe qui me dira : « les deux  bureaux se sont entendus, ils cherchent à te faire périr pour bénéficier de tes  miracles. Ils ont choisi comme prétexte ce qui suit : « Le soit disant Grand Maître vous freine dans votre évolution  spirituelle, quant à nous, il nous a tout donné et sommes capables de vous  avancer rapidement en spiritualité mais LOUFOUA nous gêne dans l’évolution  spirituelle. Il faudrait donc l’éliminer physiquement » 
  Parmi les meneurs qui  prodiguaient ces conseils, un avait signé un pacte avec une maison mystique et  devait mourir dans 3 jours qui suivant le jour où il m’a rencontré. Selon les  renseignements fournis par ses propres collaborateurs, cette mort devait  arriver après épuisement de l’échéance relative au pacte signé. Pour le sauver,  le défunt Monseigneur de l’époque était incapable d’arrêter les esprits qui  venaient pour réclamer son âme. Même le réputé Pasteur du pays de l’époque  était également incapable de sauver la vie de ce dernier.
  S’étant sentis incapables, notre  meneur devait être refoulé simplement chez lui.
  Lorsqu’ils l’ont amené chez le  Magori (fétiche) EMILE, ce dernier était sauvé et ce jusqu’à présent. Parlant  toujours des meneurs, l’ami à celui qui a été sauvé aspirait à la fonction de  féticheur. Le fétiche qu’il voulait manipuler s’appelle le NKOKO. L’initiateur de  ce dit NKOKO, lui avait demandé, pour son épanouissement, des âmes pour qu’il  devienne féticheur de NKOKO comme lui.
  Certainement, ce dernier avait  honoré les vœux de l’initiateur de NKOKO ! Preuve ? Il y en a  plusieurs.
  Après il fera ma découverte. 
  Il viendra me voir. Il demandera  à Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO de lui venir en aide sur beaucoup de problèmes  dont il souffrait. Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO viendra à son aide, et après ce  dernier lui demandera de l’introduire dans son Organisation : Chose faite.
  Par la suite, ce dernier était  passé adhérent de l’Organisation que représente LOUFOUA CETIKOUABO Guy Emile.
  Ces meneurs ingrats dont la vie  était déjà terminée et finie, qui seraient aujourd’hui poussière comme le  commun des mortels, après leur avoir accordé des secours appréciables jusqu’à  retrouver leur vie, se sont entendus pour me faire périr physiquement par  simple jalousie.
  Les prétendus sages et hommes  très avancés en spiritualité étaient incapables de résoudre les problèmes qui  étaient les leurs.
  Pour réussir à leurs manœuvres  diaboliques, ils ont acheté des machines à écrire pour recopier les réponses de  notre Organisation, rappelons en passant que dans le passé notre Organisation  nous répondait par écrit.  C’était un  moyen de prendre les sacrifices d’autrui afin de les utiliser à leur fin. Ils  fomentaient tout ce qu’il fallait fomenter pour noircir le nom, la réputation  et la vie de Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO. Ma photographie était placée  partout, exposée partout, pour que je sois au vu de tout le monde et pour que  n’importe qui, même de la rue, me connaisse en cas de recherche au moment  opportun.
  Chose qui était faite par les 2  dirigeants des bureaux de l’année 1976-1979. Ces deux présidents de l’époque  avaient qualifié notre O.P.H d’un « Magori » et surtout son  Représentant.
  Les conseils de détournements  devaient être prodigués aux frères et sœurs qu’ils encadraient en disant  « LOUFOUA vous trompe, vous vole,  c’est un escroqueur, un malfaiteur, TUONS LE…Nous sommes très capables de le  relever, de vous amener rapidement en vous élevant spirituellement. Ce soit  disant Maître nous gêne, faisons tout pour l’éliminer physiquement »
  Rassasiés de leurs conseils, les  plus proches de ces deux présidents toujours avertis des manœuvres  d’élimination qu’ils organisaient me mettaient constamment au courant sans que  les chefs des complots ne le sachent.
  A Pointe Noire, les réunions se  tenaient à ces propos, c'est-à-dire ils ne priaient que l’élimination d’Emile. Ils  allaient brûler des bougies sur les montagnes tour par tour, tout ceci  uniquement pour arriver à éliminer un pauvre type comme LOUFOUA qui leur a  rendu des services jusqu’à sauver leur vie.
  4) En 1977 et début 1978
  Je me suis encore rendu à Pointe  Noire. 
  En arrivant, l’atmosphère  semblait plus émouvant, je cherchais à tenir une réunion entre les deux bureaux  pour régler leur conflit. Dans leur finesse les deux bureaux ont manifesté  devant les frères et sœurs qu’ils ne s’entendaient pas, or au fond c’était une  bonne cuisine des loups, une ruse pour me faire venir à Pointe Noire et de  m’avoir afin d’accomplir leur sombre mission.
  Le soir même de mon arrivée à  Pointe Noire, j’ai essayé de voir le 1er et le 2ème  Présidents d’une manière inattendue. Je voulais savoir la cause fondamentale de  leur mésentente. En réponse on m’adressa des menaces dans des tons ahurissants.  Les frères et sœurs préparés pour la circonstance ne voulaient plus me sentir  en me disant que vous devez être Grand Maître pour les autres mais plus jamais  pour nous. Ceci se passait à MAHOUATA au 1er bureau. Désolé, j’étais  sorti de la case pour rentrer à mon domicile. Dans la rue, les jeunes  commençaient à m’indexer et criaient en disant : « tu as été toujours protégé mais maintenant  tu es livré par tes propres membres. Ta fin approche, c’est fini, tu es livré  par tes propres membres. Ta fin est approche, c’est fini, tu ne repartiras plus  jamais à LOUDIMA où tu as toujours l’habitude d’aller te cacher. »
  Déçu, tout tremblant, j’ai fait  un effort de partir. Etant à pied et ne pouvant plus arriver à DUO c'est-à-dire  au domicile du 2ème Président, je suis allé chez moi à VOUNGOU dans  la nuit.
  Le lendemain, samedi matin donc,  devant ma porte, le sol était labouré par plusieurs traces de beaucoup de  marques de chaussures. Deux jours après, le soir du dimanche à lundi, je me  rendis vers le mont LOUSSALA, près de KM4, à Pointe Noire, où j’eus passé la  nuit. A la veille j’étais allé voir le doyen BAKALA Nicolas. Ce dernier m’avait  réconforté et après je devais aller chez le frère Hubert passer la nuit. Au  lendemain, j’avais demandé aux 3 frères qui étaient venus me rendre visite  d’aller me déposer à HINDA Gare CFCO chez mon ami pour me reposer.
  A la gare de HINDA, vers 6 heures  du matin, j’avais vu autour de moi 4 jeunes en train de parler en me montrant  du doigt et disant tout en s’interrogeant : «  C’EST LUI » ? Les autres  acquiesçaient : « OUI C’EST  BIEN LUI ». Suffoqué d’émotion, puisque j’étais accompagné d’un  certain BOUNKAZI Séraphin que nul parmi les anciens de l’OPH n’ignore, j’avais  donc dit à mon compagnon qui était le 1er promoteur en  divulguant tout ce qu’il savait de mauvais que fomentaient contre moi les deux  bureaux anciens DUO et MAHOUATA. Ne voulant pas demeurer sur place, je  demandais à mon compagnon d’avancer à pied tout doucement jusqu’à ce que nous  ayons l’occasion de rentrer à Pointe Noire. Tout en progressant dans la marche  à pied avec le 1er, à quelques mètres de la gare de HINDA, sur la  Nationale 1 qui relie Brazzaville et Pointe Noire, une foule de jeunes gens  avait barré la voie. Sans crainte nous avions avancé à proximité, près du  groupe de jeunes, ils disaient à haute voix en m’indexant, sautillant de  joie : « Grand Maître  aujourd’hui samedi, tes intestins seront dehors et broyés ». Chacun  avait à la main un coupe-coupe ou un bâton. Le groupe se composait au moins de  30 personnes, tous, des garçons. Je continuais à avancer en passant au milieu  d’eux. Après quelques dizaines de mètres, nous fûmes arrivés à un village mon  ami et moi. Nous nous étions arrêtés pour attendre le car afin de nous rendre à  Pointe Noire. Ce fut un jour de samedi.
  Compte tenu des menaces que  proférait la foule des brigands qui en voulait à ma vie, je ne pouvais plus  continuer à faire la distance à pied. Que racontaient les gens à haute  voix ! Ceux qui constituaient la foule : «  aujourd’hui  Emile ne repartira plus jamais vivant à LOUDIMA là où il a l’habitude de fuir.  Nous attendons notre chef qui vient derrière pour accomplir notre mission. Tout  ceci se disait à haute voix.
  Aujourd’hui c’est fini, ta vie  est terminée. Tu nous as trop menti et volé des sacrifices.
  Les 2 bureaux t’on écarté et  vendu. Nous avions reçu les instructions et tous les droits de te tuer. Ces  jeunes parlaient à haute voix.
  Très désolé, je devais  déclarer : Seigneur Dieu le Créateur depuis ma naissance jusqu’à ce moment  précis si j’avais fait du mal à mon prochain, ou si j’avais menti un frère, une  sœur ou d’autres personnes consciemment ou inconsciemment, Seigneur laisse et  donne la force et le courage à ces jeunes de me faire mourir ; mais si  c’est par la jalousie des gens, Seigneur aide-moi.
  Démoralisé et très touché du fait  que les frères sur lesquels j’avais mis tout espoir et confiance me jouaient un  coup qui coûterait ma vie terrestre et un instant, j’avais demandé à mon Dieu  de m’aider très sérieusement.
  Le groupe s’étant calmé, sur le  champ on voyait venir une Land Rover bien chargée de bois de chauffage. Je  demandais à mon compagnon de l’arrêter. Ce dernier me répondra qu’elle est trop  chargée et il est impossible qu’elle puisse nous transporter.
  J’insistais et l’ami fit signe.  Le véhicule s’arrêta et nous prit à bord.
  Le chauffeur nous interrogea où  devrions nous descendre ?
  A Pointe Noire, avions nous  répliqué. Arrivés au marché de MBOTA nous descendîmes et avions pris aussitôt  une voiture taxi jusqu’à DUO où je devais me reposer. On était chez le  Président du bureau de DUO. La salle où on s’était rassemblé était pleine des  gens qui parlaient à voix basse. Dès qu’ils étaient rendus compte que j’étais  déjà dans leur milieu une panique les gagna. Certains étaient presque étourdis.  Je commençais de faire le compte rendu de tout ce que j’avais vécu et enduré au  cours de ma sortie. L’Assemblée n’osait pas m’écouter, me suivre et me  comprendre. A cette époque, mon épouse grosse et à terme était abandonnée chez  ce frère Président de DUO. Compte tenu des menaces que je franchissais, j’avais  préféré laisser ma femme pour l’accouchement à Pointe Noire. Comme le Président  de DUO souhaitait la garder chez lui jusqu’à l’accouchement, j’avais accepté et  la conclusion était tirée sur cette affaire.
  Au lendemain matin, un dimanche,  je devais voyager sur LOUDIMA où j’habitais eu égard au comportement des frères  et sœurs à Pointe Noire à l’époque.
  La première scène s’était passée  le samedi de 8 heures à 10 heures du matin.
  A mon absence de Pointe Noire, la  clique des ambitieux racontait des choses invraisemblables à voix basse à mon  endroit. Un des conspirateurs, toujours averti des démarches diaboliques qu’ils  organisaient viendra à LOUDIMA pour me tenir informé de vive voix de tout ce  qui se tramait.
  Quelques jours plus tard mon épouse  accouchera d’un garçon nommé Ismaël Dieu merci. 
  5) Au début du mois d’octobre 1979
  Mon épouse me rejoindra à  LOUDIMA. Comme le climat devenait de plus en plus malsain entre les 2 bureaux,  mon épouse était obligée d’écourter son séjour à Pointe Noire bien qu’ayant  accouché récemment. La mésentente sournoise n’avait pas d’autres buts que de  m’avoir. Je m’étais décidé de me rendre à Pointe Noire pour la circonstance.
  6) Le 22 décembre 1979
  Je réalisais de nouveau le voyage  sur Pointe Noire pour voir ces frères afin de tenter encore une réconciliation.  Arrivé à l’aérodrome de cette capitale presque tout Pointe Noire était au  courant selon les gens qui parlaient en pleine rue quand je passais à pieds.
  J’étais passé voir 2 frères qui  travaillaient dans une même compagnie. L’un de ces frères m’accompagnera  jusqu’au siège de MAHOUATA. Parvenus au lieu quelques minutes plus tard  l’atmosphère au sein des frères et sœurs commençait à se ternir. A peine un  moment le président de ce siège arrivera et me dira bonjour tout furieux. Il  rentra dans sa chambre, sortit pour aller s’entretenir avec les frères et sœurs  qui se trouvaient dehors.
  La causerie terminée, il  rejoignit la maison où je me trouvais c'est-à-dire au salon de sa propre  maison. En un tour de main, les frères et sœurs se regroupaient et se parlaient  à voix basse. Il faisait déjà 13h puis 13h 30mn et enfin 15h. A cette heure là  l’atmosphère se ternissant de plus en plus, s’amplifiait. J’étais alors devenu  une bête noire à leurs yeux.
  Emotionné par le langage du  président et ses proches collaborateurs, je ne comprenais plus ce qui devait  m’arriver.
  Vers 17h, un hôtel devait m’être  proposé en ville de Pointe Noire et le numéro de la chambre était  « 62 ». Vraiment, devant cette situation éblouissante, j’étais plus  que menacé. Pour partir du lieu, je leur demandais d’aller au cinéma mais le  groupe ne voulait pas m’accorder cette permission. C’était par insistance que  je réussirai à y aller non pas à bord d’une voiture proposée pour mes courses  disait-on mais à bord d’une voiture d’un frère que je voudrais pas révéler le  nom ici.
  Dans la salle de cinéma j’avais  retrouvé tout le monde qui se retrouvait au siège de MAHOUATA cette soirée là.
  Le film qui nous était présenté  correspondait à la scène qui m’attendait en cette période difficile. 
  Vers minuit, nous étions sortis  du cinéma et nous nous étions rendus à l’hôtel pour annuler la chambre déjà  payée par eux. La chambre dans laquelle je devais passer la nuit. Les quelques  heures qui restaient pour voir le jour, ont été écoulées ailleurs. La troisième  nuit, je m’étais déplacé du lieu où je me trouvais pour aller passer la nuit  sur une certaine montagne. Quand je quittais ce lieu, après viendra un groupe  de gens me chercher aux environs de 3 heures du matin pour les intentions  qu’ils connaissaient.
  Celui qui m’apportera  l’information devait me faire connaître le programme arrêté. Cette fois ci ce  fut un autre qui m’accompagnera. Pas celui du mois d’octobre.
  Mon compagnon était resté au lieu  où je dormais. Aux environs de 3 heures du matin, il était dérangé par un  groupe de gens qui frappaient fortement la porte et disaient : « Faites-nous sortir ce grand voleur,  l’escroqueur, le faux Maître, le Magori féticheur, voire même Magicien »
  Comme ils insistaient à toquer la  porte, mon compagnon ouvrit la fenêtre, remarqua dans le groupe la présence du  président de MAHOUATA à l’époque parlant et éclairant la chambre qui m’a été  destinée avec une lampe de poche ; heureusement que j’étais absent cette  nuit là, sinon j’étais bon, je devais mourir. Chacun d’eux possédait un bâton  qu’il brandissait. N’étant pas satisfait, le groupe va ouvrir la porte en  vérifiant si réellement j’étais absent.
  Le lendemain matin, mon compagnon  viendra m’apprendre la nouvelle odieuse et dramatique. Paniqué en moi-même je  ne savais où aller et que faire. La majorité des frères et sœurs devenaient  discrets et les autres me fuyaient. J’étais resté très déçu. Les slogans allant  dans le sens de la critique destructive faisaient rage. J’étais très, très  abattu. Sincèrement, j’étais resté seul et sans parole aucune. Ceci se passait  entre les dates du 22 au 23 décembre 1979.
  7) Au matin du 24 décembre 1979
  La passion était plus que jamais  dure. Je ne me permettrais pas de tout raconter parce que c’était plus que lamentable  et très triste. La passion continuera du 24 décembre 1979 au 8 janvier 1980. On  m’enferma dans une maison où un groupe de gens me gardait. Tous ceux qui me  gardaient étaient devenus mes ennemis. Imaginez lorsqu’un ennemi te garde et  surveille sur place, quelle idée peut-on avoir ?
  Tout en me gardant, ils se  moquaient et faisaient tout ce qui leur semblait bon à mon endroit.
  Ce que je relate maintenant, les  frères et sœurs des 2 bureaux de l’époque ne l’ignorent pas. J’étais bien  enfermé dans une maison, celle d’un président de notre Organisation choisi par  moi-même. Cette maison du président de l’époque se situait au bord de la grande  circulation bien goudronnée qui mène au fond de NTIE-NTIE et à la ville de  Pointe Noire dans le quartier DUO. J’étais gardé et ensuite transporté à  l’abattoir lieu qui était destiné pour me faire mourir et brûlé sans tombeau.  Ce que je me permets d’écrire ici étaient bien les paroles qu’avançaient les  meneurs, les auteurs du mouvement ou attentat de 1979 à 1980.
  Nul de Pointe Noire n’ignore  cette situation dramatique qu’a connu LOUFOUA CETIKOUABO Guy Emile en cette  période très pénible.
  Actuellement, je remarque que la  façon de sensibiliser les adeptes change chez les autres membres. Ce n’est pas  étonnant parce qu’au moment où le Seigneur Dieu avait fait partir de la Belle  Cité son premier ange Lucifer devait s’enorgueillir et n’obéir plus jamais à  l’Eternel son Dieu qui lui avait octroyé cette puissance. En le chassant des  Cieux Lucifer qui était devenu SATAN dira : Je veux tout faire pour  détourner tout le monde d’être à mes côtés et l’Eternel répliquera en disant ça  ne fait rien même si on trouvait un seul sur la terre, il nous suffira de  prêcher la Bonne Nouvelle.
  Il en sera de même pour tous  ceux-là qui tentent détourner les enseignements de notre Organisation LOUZOLO.  Seulement qu’ils comprennent que chaque acte mérite toujours un salaire. Qu’ils  s’attendent à des récompenses.
  Les gens qui voulaient de moi et  qui continuaient à m’en vouloir appartenaient à beaucoup de maisons mystiques,  fétichistes et autres. Ont-ils cherché à exterminer physiquement ou tuer leurs  premiers initiateurs ?
  Pourtant malgré les sommes  d’argent versées par eux à ces maisons ils n’avaient jamais des résultats  satisfaisants. Pourquoi ne cherchaient-ils pas à réclamer leur argent ?
  Maintenant qu’ils ont à faire à  un Congolais, ils s’activent pour me faire du mal. C’est une lâcheté. Notre  O.P.H. à travers son Représentant les avait aidé efficacement jusqu’à obtenir  la guérison de leurs maladies, la résolution de leurs multiples problèmes mais  malgré ce bienfait,  en récompense ils  tentent toujours à me faire du mal.
  Voici ce que pense celui-là. Si  tous ceux qui avaient sollicité l’aide spirituelle pour leurs multitudes  problèmes ont été aidés jusqu’à recevoir les résultats tant attendus, il est  aussi possible de les mettre à leurs places où ils avaient été trouvés et Dieu  rendra justice.
  Nous pouvons nous tromper entre  nous mais au grand jamais n’arriverons nous à tromper Dieu.
  Je redemande à toutes et à tous  de se retirer librement si la voie ne leur plaît plus au lieu d’enliser les  autres dans leur comportement.
  Posez votre problème librement  sans tapage et je vous remettrai ce que vous avez dépensé pour l’Organisation  au lieu de chercher ma mort. Sache bien frère que tu ne seras pas Eternel sur  cette terre et Dieu notre Grand Dieu rendra justice. Jamais tu n’échapperas à  son épée.
  La justice est demandée et  déclarée.
  Chacun aura sa réponse exacte  même s’il pense seulement au fond de lui-même le mal de Guy Emile LOUFOUA  CETIKOUABO.
  La justice Divine est déjà  déclarée. Chacun doit faire son examen de conscience. Dieu donnera la  récompense à chacun d’entre nous.
  Voilà à peu près frères et sœurs  les raisons qui ont fait que cette fête des enfants du 24 décembre de cette  année 1982 soit pour moi Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO mon premier anniversaire  de ma passion organisée et déclanchée par mes proches collaborateurs qui  étaient dans leurs difficultés au seuil de la mort et auxquels j’ai sauvé la  vie.
  Cet anniversaire sera célébré  chaque année en mémoire de la passion du Grand Maître Guy 
  Emile LOUFOUA CETIKOUABO.
  Tous les frères et sœurs  adhérents de l’O.P.H. de génération en génération doivent et devront pénétrer,  vivre et méditer ce douloureux événement chaque année du 22 décembre au 8  janvier.
  Lisons dans Psaume 100 : 1-5
  1 Psaume de louange. Poussez vers  l`Éternel des cris de joie, Vous tous, habitants de la terre! 
  2 Servez l`Éternel, avec joie,  Venez avec allégresse en sa présence! 
  3 Sachez que l`Éternel est Dieu!  C`est lui qui nous a faits, et nous lui appartenons; Nous sommes son peuple, et  le troupeau de son pâturage. 
  4 Entrez dans ses portes avec des  louanges, Dans ses parvis avec des cantiques! Célébrez-le, bénissez son nom! 
  5 Car l`Éternel est bon; sa bonté  dure toujours, Et sa fidélité de génération en génération. 
  Que la Paix vous soit donnée de la part du Seigneur Jésus Christ Notre Dieu.
AMEN
  Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO 
4) Son message de décembre 2000 annonçant son attentat
MESSSAGE DU Grand  Maître de l’OPH Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO
    Congo Brazzaville Décembre 2000
A mes très chers aimés et respectés,
  A mes très chers aimés et respectés,
  A mes très chers aimés et respectés,
  Mes gros, gros, des gros chefs,
  Mes grands, grands, des grands chefs,
  Les gros KALAKA de l’ASLA OPH,
  Les frères et sœurs de l’ASLA du Congo et du monde entier,
Je suis votre bien-aimé Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO Président  Fondateur de l’Association Louzolo Amour OPH, Asscociation de bienfaisance à  caractère spirituel. Demeurant à KIBOSSI GARE CFCO à quelques 38 KM par la voie  ferrée de la capitale Brazzaville.
  Je vous envoie ce message à la  veille de la fête de NOEL commémorant la naissance de Notre Seigneur Jésus  Christ du 24 au 25 décembre 2000.
  Cette fête est toujours celle que  nous fêtions tous les ans.
  A la veille de cette fête, je  vous souhaite une bonne et excellente fête ; Bonne et heureuse année 2001.
  Je suis votre bien-aimé, frère  Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO que vous connaissez.
  Je n’ai pas grand-chose à vous  dire sinon, vous proposer quelques chants, un voire deux chants. Comme je vous  l’avais signalé, depuis quelques années,   j’ai reçus beaucoup de chants. Avant de vous les proposer, je voudrais  repréciser un certain nombre de choses relatif au comportement de mon neveu  MPASI MOUNZEMBELE André.
  En effet, dit-on qu’il voulait me  demander pardon pour la faute qu’il aurait commise à mon égard or, au lieu de  le faire, il est venu me salir.
  En se référant aux messages  contenus dans les cassettes que j’ai reçues à ce sujet, je constate  que son agissement est lamentable.
  Dans ce messages il dit ce qui  suit : « je ne peux pas demander pardon à un frère ou une  sœur… » Je suis outré par les propos d’un chrétien qui lit la Bible !  Quelle Bible lirait-il finalement? Alors que la Bible nous relate que  lorsqu’on a un différent avec son prochain, on doit d’abord s’atteler à lui  demander pardon avant d’aller se présenter devant l’Eternel pour lui demander  pardon ! Mais lui, il dit : « Je le fais à Emile parce qu’il est  le Président Fondateur de l’ASLA sinon je ne suis pas obligé de la  faire ».
  Ah, Quelle Bible lit-il ? Sa  Bible à lui serait peut être différente !
  Si c’est la même Bible que nous lisons tous, alors il ignore  la Parole clef de Jésus Notre Dieu qui disait dans l’évangile selon Mathieu  dans le chapitre 5 versets 23-26 ce qui suit : 
23 Si donc tu présentes ton offrande à l`autel, et que là tu te  souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, 
    24 laisse là ton  offrande devant l`autel, et va d`abord te réconcilier avec ton frère; puis,  viens présenter ton offrande. 
    25 Accorde-toi  promptement avec ton adversaire, pendant que tu es en chemin avec lui, de peur  qu`il ne te livre au juge, que le juge ne te livre à l`officier de justice, et  que tu ne sois mis en prison. 
    26 Je te le dis en  vérité, tu ne sortiras pas de là que tu n`aies payé le dernier quadrant. 
    
Mais lui MPASI dit : Je suis  obligé de le faire parce qu’il est le Président Fondateur de l’ASLA OPH.
  Ah ! Je me demande quelle  Bible lit-il ? Sa Bible serait peut être une autre !
  Ensuite, il a toujours dit,  répété et insisté qu’Emile n’est pas le Représentant Légal de l’OPH sur terre  et que ce serait UN TEL.
  J’en suis vraiment étonné !  Comment peut il s’exprimer ainsi alors qu’il ne connaissait pas OPH le nom  révélé de Dieu. Il ne savait pas que Dieu s’appelait également OPH. 
  Je précise et je signe que nul  humain de cette terre ne savait que Dieu s’appelait aussi OPH.
  Il avance que ce n’est pas moi qui  suis le représentant légal de l’OPH sur terre mais UN TEL et que ce dernier est  l’adjoint de Jésus Christ !
  Même vous aussi, l’auditoire,  séduits par ses divertissements vous l’écoutez et acquissez ses propos. 
  MPASI ne savait pas que Dieu, en  dehors de ses nombreuses appellations, s’appelle aussi OPH !
  Si on se réfère à la genèse de  l’Association:
Par contre moi, ce n’est pas un  homme de cette terre qui m’a nommé mais LUI-MEME DIEU OPH. Il m’a nommé  « petit CAPITA de l’OPH »  c'est-à-dire son Représentant Légal sur terre.
  C’est JESUS CHRIST LUI-MEME qui m’a  confié sa mission secrète et non un homme de la terre.
  C’est LUI-MEME l’Eternel Dieu qui  m’a confié sa mission secrète, c'est-à-dire : Dieu le Père LUI-MEME, Son  Fils et le Saint Esprit car les trois (3) ne sont en réalité qu’UN MEME, SEUL  et VRAI Dieu.
  PERE-FILS-SAINT ESPRIT=1.
  C’est avec ses personnes nominées  par les humains que MPASI veut me comparer.
  Ce que je dis, vous le savez bien  vous êtes de LOUZOLO car tous les lundi à la permanence vous y aller pour  l’écouter.
  Je précise et note que ces personnes  là sont nommées selon les études qu’ils ont suivies, ce seraient peut être des  cours spéciaux à l’issue desquels ils obtiendraient des diplômes pour être  nominées à tel ou tel poste de responsabilité que sais-je ! Mais en ce qui  me concerne moi Emile, personne de la terre m’a formé si ce n’est LUI-MEME  Dieu. Je n’ai pas été formé sur cette terre mais depuis là-haut, loin là-bas,  c'est-à-dire depuis la demeure de Dieu ; L’Eternel YAHVE SABAOTH notre  Dieu ; Le Dieu d’ABRAHAM, d’ISAAC et de JACOB.
  Ce qu’avance MPASI ne sont que  des contrevérités pour vous divertir.
  MPASI ne savait pas que Dieu  s’appelait aussi OPH c’est de ma bouche qu’il l’a appris depuis 1980 quand il a  débuté dans LOUZOLO.
  D’ailleurs au commencement il  n’était pas assez motivé car il croyait que c’était une affaire familiale  puisque je suis son oncle. 
  Ce sont les autres frères comme  Papa NKOURISSA, Papa YOULOU Antoine qui s’intéressaient beaucoup plus à LOUZOLO  que lui.
  Il n’accordait que peu de  considération à LOUZOLO et, c’est seulement longtemps après  qu’il avait « pris goût ». C’est à  partir de ce moment qu’il a entendu parler de l’OPH.
  MPASI que vous connaissez !  Le même change de veste et se met à dire autre chose à savoir : « Le représentant  Légal de l’OPH sur terre c’est UN TEL et non Emile ».
  Vous en êtes bien témoins vous  qui l’écoutez et curieusement, vous acceptez ses contrevérités et en êtes  convaincus !
  Alors que sur cette terre, je dis  bien sur cette terre, personne ne savait que Dieu s’appelait aussi OPH, je suis  le seul au monde à le révéler !
  C’EST MOI QUI AI REVELE QUE  L’ETERNEL DIEU S’APPELLE AUSSI L’OPH.
  Vous vous direz certainement que  c’est JESUS non ! 
  A cette question, je réponds par  l’affirmatif ! OUI, effectivement le Père, le Fils et le Saint Esprit sont  UN et cette vérité, je ne cesse de vous le dire, de vous l’expliquer maintes  fois dans les cassettes, dans les notes circulaires etc.
  Dieu est d’abord le Père et puis  le Fils et enfin le Saint Esprit ce sont trois (3) personnes en une seule  c'est-à-dire que c’est une SEULE PERSONNE : l’Eternel notre Dieu, YAHVE,  le Père de nos ancêtres, le Créateur de toutes choses : Dieu, Eternel.
  En fait, au commencement, il  était le Père et comme les enfants d’Israël cherchaient à le voir et bien, il  est venu naître en tant que Fils de Dieu, Jésus Christ. Vous connaissez la  suite puisque je vous ai déjà expliqué cela à maintes reprises qu’au  commencement était la Parole et la Parole était avec Dieu et la Parole était  Dieu.
  Par conséquent, L’OPH c’est bien  lui-même JESUS et moi je suis Son Représentant Légal, je précise bien : JE  SUIS LE REPRESENTANT LEGAL DE JESUS SUR TERRE, c'est-à-dire le Représentant  Légal de L’OPH SABAOTH YAHVE notre Dieu sur cette terre.
  J’insiste encore que c’est moi  qui ai été choisi pour CONTINUER LA MISSION SECRETE DE JESUS CHRIST sur  terre ; SA MISSION SECRETE.
  Mais pourquoi vous acceptez sans  rechignez les contre vérités de MPASI au lieu de ne pas l’écouter attentivement  et ne pas accepter ses discours.
  Par rapport à ce que je vous ai  relaté concernant le commencement, MPASI ignorait que Dieu s’appelait aussi OPH  c’est de ma bouche qu’il a entendu le Nom de L’OPH.
  Maintenant, il oublie tout le  passé et avance qu’il n’y a qu’un seul représentant de Jésus sur terre qui  s’appelle UN TEL.
  C’est ce qu’il dit chaque fois  dans vos assemblées. 
  On ne doit pas me mettre au même  pieds d’égalité que les personnes qui ont été formées par les humains ; Je  précise et signe que c’est Dieu lui-même qui m’a formé, et prédestiné pour être  SON REPRESENTANT, c'est-à-dire le représentant Légal de l’Eternel Dieu.
  Je vais encore vous rappelez ces  quelques vérités que je vous ai déjà révélées.
  Voici ce que Dieu lui-même m’a  révélé : « Emile depuis  que tu as été crée et ce, jusqu’au jour où tu quitteras cette terre, je n’ai  pas crée une autre créature semblable à toi, c'est-à-dire qu’il n’y a point  d’autres créatures qui ont été façonnées comme toi, en vérité, je te le dis, il  n’y en a pas, TU ES LE SEUL »
  Cette révélation, je vous l’ai  déjà donnée.
  Alors, que MPASI arrête de perturber  inutilement le peuple de Dieu car s’il continue de perturber le peuple de Dieu  de la sorte, Ah ! Hélas….Il ne faut pas badiner avec Dieu.
  Lui-même se rendra compte de la  non considération dont il fait montre à l’égard de Dieu.
  Dieu a ses projets, sa résolution,  ses préceptes, ses commandements…et tient à les tenir par conséquent, il ne  tolère pas que quelqu’un entrave sa mission.
  Mais si MPASI entrave sa mission  en suscitant la confusion dans les esprits de gens, Son Peuple, Le Peuple de  Dieu Ah ! Ce sera fatal pour lui.
  S’il ne manifeste aucun désir de  changement quant à sa mauvaise conduite, Ah ! Revenir aux Pieds de Dieu  lui sera difficile voire impossible.
  Compte tenu de la situation dans  laquelle il s’est délibérément mis, ce sera très compliqué pour lui de se  racheter.
  Je vous ai toujours affirmé que  les disciples de satan connaissent mieux la Bible que les enfants de Dieu ou  les serviteurs de Dieu.
  Satan suggère et donne toutes les  méthodes possibles et inimaginables à ses agents dans le seul but d’égarer le maximum  d’humains car ils ne veulent pas aller seuls en enfer et, ils veulent que le  plus grand nombre les suive.
  Ce n’est pas une mauvaise chose  d’écouter leurs conseils.
  Mais au dernier jour du Seigneur,  ne vous étonnez pas si vous ne méritez pas les Cieux à cause de votre  égarement.
  Je vous ai toujours dit et répété  que sur cette terre il y a déjà des Elus de Dieu et, il ne leur reste qu’à  faire très attention pour ne pas tomber dans un péché impardonnable.
  Mais, contre sensibiliser les  gens pour entraver la mission de Dieu, est UN PECHE TRES GRAVE aux yeux de  Dieu.
  Si MPASI ne fait pas d’effort  Ah ! CE SERA TRES DUR POUR LUI.
  En ce qui me concerne, cela ne me  fait ni chaud ni froid quoique j’éprouve de la pitié dans mon cœur.
  Il dit qu’il ne peut pas demander  pardon à un frère ou à une sœur parce que c’est une personne comme lui c’est la  raison pour laquelle il ne peut demander pardon qu’à Dieu.
  Ah ! Je me demande quelles  connaissances bibliques ont-ils !
  Permettez moi de redire et de repréciser  que : « JE N’AI PAS ETE NOMME PAR UNE PERSONNE HUMAINE, UN TERRIEN,  NON ! CHEZ MOI C’EST INNE.
  C'est-à-dire que je suis né avec  cette fonction. En d’autres termes, Dieu m’a nommé depuis que j’ai été crée,  depuis où je suis sorti, dès le commencement.
  Cette vérité m’a été révélée là  bas…
  Comme je vous le dis et redis  souvent, Dieu m’avait révélé que sur cette terre de péché, il n’y a pas  d’autres hommes qui ont été crées comme je l’ai été, façonnés comme je le suis.  Dieu me dira : « EMILE TU ES LE SEUL A ETRE CREE DIFFEREMMENT. UNIQUE  SUR TOUTE LA TERRE HABITEE JUSQU’AUX EXTREMITES DE LA TERRE. ET LORSQUE TU  QUITTERAS CETTE TERRE, APRES AVOIR ACCOMPLI LA MISSION QUI T’A ETE CONFIEE,  NOUS T’APPELERONS CHEZ NOUS ENSUITE NOUS VERRONS CE QUE NOUS ALLONS ENCORE  FAIRE ».
  Ce sont là les Paroles d’Honneur  de Dieu.
  Alors dites moi s’il vous  plaît : S’il y avait un autre représentant de l’OPH sur terre, admettant  qu’il en ait un, pourquoi c’est à moi que Dieu révèle cela ? C’est à moi  qu’il a dit que si le moment est arrivé, nous allons voir ce que nous allons  faire par la suite.
  Pourquoi les frères et sœurs  « amis d’Emile » ne savez plus que faire ! En écoutant des  contre vérités vous vous égarez sans efforts et entretenez des confusions dans  vos cœurs et dans vos têtes faute de discernement !
  Non, ne soyez pas des « confusionnistes ».
  Dieu m’avait dit «  que  pendant tout ton séjour sur terre, depuis ta naissance, quoique tu sois un  humain, tu n’es pas comme les autres humains de la terre car tu es le seul que  j’ai façonné différemment et ce jusqu’à ce que nous allons t’appeler.
  Le jour où nous te prendrons,  nous allons voir ce que nous projetterons de faire.
  Alors je défis quiconque de me  dire si cette révélation a été aussi faite par un autre représentant de l’OPH comme  le stipule MPASI.
  Ah PITIE.
  Je ne comprends pas ! Je  n’ai aucun problème avec quelqu’un. Mais, seulement, cela me fait de la pitié  quand même lorsque je vois dans quelle situation il s’est mis.
  Et pourtant il était dans une  religion, sa religion d’origine ! Mais qu’attend t-il pour y  retourner ?
  Je rappelle que depuis son  enfance il appartient à cette religion et pourquoi il ne s’y retourne t-il pas ?
  Qu’attend t-il ? Au lieu de  vous induire en erreur.
  Et puis vous aussi, vous qui êtes  à LOUZOLO, vous savez qu’il y a des notes circulaires, des documents, mes  enseignements etc. vous les déconsidérez pour suivre ce que MPASI vous dit.
  Vous acceptez gratuitement que  MPASI vous dise qu’il n’y a qu’un seul représentant légal de Dieu qui est UN  TEL et non Emile !
  Alors que MPASI a connu le nom de  l’OPH par moi Emile.
  Il n’avait jamais entendu parler  de ce nom dans sa religion d’origine. Vous devez le sonder pour savoir si  effectivement, il le connaissait au lieu d’acquiescer !
  Comment est ce que les membres de  LOUZOLO que cous êtes, acceptez les dires de quelqu’un qui vous égare?
  Au lieu de faire attention, de reculer,  vous êtes motivés de l’écouter et de le réécouter à la permanence de MOUKONDO.
  Vous y allez non ! Pour  écouter ses racontars ! NON ! NON ! NON !
  Ecoutez, cela ne me fait ni chaud  ni froid.
  Si je parle de cela, c’est parce  que j’ai en charge le Peuple de Dieu que je dois conduire vers Dieu en leur  prodiguant de bons conseils qui les feront arriver auprès de Dieu le Jour J.
  Heureusement Dieu est prévoyant !  Grand est mon Dieu car il ne m’avait pas permis de révéler un certain nombre de  vérités aux hommes, s’il me l’avait autorisé, plusieurs faussaires comme MPASI  allaient en profiter pour en faire une publicité partout !
  Mais puisqu’ils ne le savent pas !  Ils sont limités !
  Jusqu’à maintenant, personne ne  sait ce que Dieu m’a révélé d’autre ! Selon Sa Volonté je le dirai quand  il m’enjoindra de le faire.
  Si les faussaires à l’instar de  MPASI tombent sur ces révélations, ils vont profiter de l’occasion pour me  discréditer. Comme ils sont très limités, voilà pourquoi ils vous divertissent  en suscitant des confusions.
  Questionnez le tout de même pour savoir si dans sa religion  d’origine MPASI y avait appris le nom de Dieu, OPH ?
  NON, ne soyez pas aussi crédules  à tout moment ! N’acceptez pas toujours que l’on vous mente à tout  moment !
  Et puis vous aussi  acceptez ! OH ! Je ne vous comprends plus ! Ce sont vos oignons,  chacun est libre et le salut est individuel. Ceux qui veulent suivre ses  conseils, c’est une bonne chose et suivre les miens l’est aussi mais à toute  chose il faut considérer la fin or la fin est au dernier jour du Seigneur.
  Je vous ai déjà dit qu’il y a ici  sur terre les gens qui portent déjà leurs chaînes, ils les ont bien qu’étant  vivants sur cette terre.
  De même il y a aussi sur cette  terre ceux qui ont déjà leur Vie Eternelle.
  Car chez Dieu comme je vous le  dis, il y a 2 camps : le camp de ceux qui sont enchaînés par des grosses  chaînes courtes et le camp de ceux qui ont la Vie Eternelle, là où on saute,  chante et on glorifie Dieu dans une joie indescriptible, c’est du jamais  vu !
  C’est depuis cette terre que tout  se joue.
  Je vous rappelle que les Cheveux  de Jésus de couleur blanche ainsi que Sa Barbe blanche ont beaucoup poussé et  débordent. Ses Cheveux et sa Barbe tombent jusqu’à sur la terre et nous les  humains marchons dessus. Vous connaissez ces vérités car je vous les ai déjà  révélées. Je vous le dis parce que personne sur cette terre ne peut échapper au  contrôle divin. Les gens se croient tout permis et ignorent que tout ce qu’ils  font et qu’ils disent n’échappe au contrôle de Dieu. Si les Cheveux et la Barbe  de Jésus sont sur cette terre, cela veut dire qu’il voit tout et sait tout.  Dieu lit dans les cœurs de tous les hommes, de toutes ces créatures, même  celles qui sont enfouies sous l’eau, même celles qui sont au plus profond de  l’abîme.
  DIEU SAIT TOUT ET VOIT TOUT.
  MPASI vous ment, vous les  humains ! Mais il ne peut pas mentir à Dieu.
  Pour se justifier, en ce qui  concerne les finances, il a pris le micro pour vous dire qu’ils avaient ouvert  un compte…Pour moi, Ce ne sont que des échappatoires ! Ce sont leurs  affaires, s’ils avaient ouvert un compte, ce n’est pas à moi qu’ils rendront  compte mais à Dieu.
  Tout ce que je sais c’est que Dieu  nous demande de demander pardon à ceux qu’on a offensés avant de venir lui  demander pardon. Pendant que nous sommes sur terre, il nous donne l’occasion de  nous rattraper en se présentant devant l’assemblée et procéder comme  suit :
C’est seulement en procédant de  la sorte que Dieu mettra de coté votre passé. Pour que votre passé soit  définitivement effacé, il ne faut pas que vous   récidiviez. Car avant d’annuler définitivement votre passé, Dieu vous  surveillera pour attester que vous avez tenu à vos engagements. Dieu veillera à  vérifier, à contrôler la sincérité de votre engagement.
  Dieu saura si c’est une ruse car  à l’instant où il pardonne, il poste ses services spéciaux aux aguets, au tour  de la personne qui a demandé pardon pour le surveiller.
  Effectivement, auprès de Dieu il  y a des services spéciaux qui sont chargés de contrôler tout cela.
  Je ne suis pas contre quelqu’un,  l’homme est libre sur cette terre de faire ce que son cœur lui dicte de faire. 
  Si je parle, c’est parce que  c’est ma MISSION, celle que Dieu m’a confié pour les humains. Je vais donc  terminer mon message par ici et je vais vous dicter quelques paroles de chants.
  Je reviens pour dire que les situations  que MPASI créées sont les mêmes qui se sont déroulées dans le passé et vous le  savez très bien.
  Il avance que l’association est  en retard par rapport aux objectifs à atteindre alors qu’elle existe depuis  longtemps et rien n’avance !
  Et, curieusement, il se plaint du  fait que l’argent cotisé depuis des années soit détourné par le Président  Fondateur alors que moi Emile, ne savait même pas comment étaient gérés les  comptes ; Personne m’informait y compris lui-même en sa qualité de  secrétaire général, gestionnaire de surcroît de ce même argent. 
  Et pourtant ce sont eux les  gestionnaires de l’ASLA et ils connaissent parfaitement l’état des finances.
  Ils créent sciemment des situations  de ce genre pour m’exposer alors qu’eux, se taisent. Ils le font pour  simplement, me discréditer, ternir mon image puisque je suis le Président  Fondateur.
  Ce sont eux qui géraient les sous  et au moment où les gens leur demandent des comptes, ils m’exposent, ils  donnent l’occasion aux gens de me salir et eux restent blanchis dans l’affaire.  Ni le Comité Directeur, Ni le BCI me défendaient, personne n’a pris ma défense.  Voilà en substance ce qu’ils disaient : « voilà cela fait 20 ans  que l’Association existe et qu’au final rien a été fait de concret alors que  les adhérents cotisent en vain ! Où est parti l’argent des collectes, des  dons… ?
  Curieusement eux-mêmes les  gestionnaires de cet argent ne disaient rien ayant crée une situation pour me  faire souffrir moi Emile.
  Cette situation financière du  passé est la même que MPASI veut réitérer d’ailleurs pour la première ils  n’étaient pas parvenus à leurs fins.
  Ah MPASI, ce ne sont que des  futilités et je vous ai toujours dit que agir de la sorte est inutile.
  Ce que je n’ai pas fait ou dit,  de même toutes choses dont je ne suis pas responsable ou dont je ne suis pas  auteur, ne peuvent se retourner contre moi.
  Rien ne m’atteindra puisque je  n’en suis pas l’auteur.
  Je vous rappelle que Dieu connaît  d’avance toutes choses et il sait comment tout régler et, il règle tout malgré  leurs puissances qu’eux-mêmes connaissent, « ils entrent là puis sortent  là bas » pour m’atteindre ou pour me nuire, ils perdent leur temps, c’est  de l’idiotie.
  Ils pensent peut être qu’ils sont  des dieux, mais non, ils se trompent ! Puisqu’il n’y a qu’un Seul Vrai  Dieu, il est là Vivant, Présent et c’est Lui Seul qui a crée toutes choses. Il  est le Seul Juge et il jugera.
  Dieu voit tout et Dieu sait  tout !
  Mpasi est en train de recréer les  mêmes situations que dans le passé. Des situations relatives aux finances  suscitées pour me discréditer, en vain.
  Comme ils n’ont pas pu  m’atteindre par ce moyen, voilà pourquoi Mpasi crée une autre situation cette  fois ci relative à ma mission.
  Il nie maintenant que je sois le  représentant légal de l’OPH sur terre et que ce serait UN TEL.
  Je reprécise que c’est de ma  bouche que Mpasi a connu le Nom de Dieu, OPH car je l’avais appris aux frères  et sœurs de LOUZOLO du monde entier.
  Dieu a beaucoup de noms selon les  langues, les peuples et les nations.
  Chaque peuple, chaque nation et  chaque langue appellent Dieu dans sa langue.
  Non mes frères et sœurs ! Ne  croyez pas à n’importe quoi !
  J’avais dit à Mpasi que s’il veut  être président, qu’il reparte dans sa religion d’origine mais pas à LOUZOLO. 
  Si les responsabilités que je lui  ai données dans l’association lui sont insuffisantes, qu’il démissionne et parte  tranquillement.
  S’il veut avoir plus de  responsabilité dans mon association, il attendra longtemps car cela ne viendra  pas.
  Qu’il retourne dans sa religion  d’origine pour chercher des responsabilités, des titres etc.
  Et puis, je demanderais à tous  les LOUZOLIFIES de ne pas le suivre.
  S’il s’avère que lors des  assemblées Mpasi prend la parole, ne l’écoutez pas et rentrez chez vous.
  Si Mpasi prend le micro pour  parler, sortez de là et partez sans tarder.
  Que tous ceux qui me suivent  puissent quitter les lieux et ceux qui voudront y rester seront les siens, ceux  qu’il a colonisés.
  Je rappelle que toute chose a un  début et une fin or en toutes choses il faut considérer la fin.
  Jésus reviendra et vous le  verrez !
  C’est alors que vous saurez la  VERITE ! 
  Ah ! S’il arrive que vous  vous trouviez dans l’autre camp là où il y a des grosses chaînes courtes, ne  vous plaignez pas en disant que vous étiez ignorant ! Mais l’on vous  répondra : « comment est ce que vous êtes ignorant alors qu’il y  avait un Emile donné qui parlait, avertissait… »
  Comme l’histoire humaine se  répète, aux temps de Jean Baptiste aussi, et pourtant il disait : « repentez  vous le royaume des Cieux est proche ! », les gens, connaissant ses  parents, ne le prenaient pas au sérieux. Ils ne considéraient pas ses  avertissements. Ils disaient : « n’est-il pas l’enfant  d’Elisabeth et de Zacharie ? Que peut il nous apprendre »
  Négliger les avertissements d’un  envoyé de Dieu comme moi Emile fera que beaucoup de gens vont se trouver dans  une situation difficile à la fin des temps.
  Comme Mpasi tient coûte que coûte  me faire du mal, comme il le pense, il ne réussira pas.
  J’avais dit dans mes précédentes  cassettes que j’ai un certain nombre de confidences avec mon Dieu.
  Il m’avait déjà prédit beaucoup  de choses dans un courrier spécial que j’ai mis quelque part. De peur que je  perde le contenu de son courrier, comme celui-ci commençait à se détériorer,  j’avais reproduit tout le contenu dans mon petit calepin qui ne me quitte pas.
  Ce calepin me sert de référence,  c'est-à-dire que lorsqu’une situation se produit, je le consulte pour savoir si  Dieu me l’avait prédit.
  En consultant mon calepin, je me  rends compte que tout m’a été déjà dit, et que ce que fait Mpasi ne m’étonne  guerre car Dieu m’en avait déjà informé dans un courrier. Tout ce qui se passe  m’a déjà été prédit.
  Dans ce courrier, Dieu m’avait  aussi révélé ce qui suit : « Quoique tu sois un être humain sur cette  terre, saches que tu n’es pas comme les autres humains qui vivent sur cette  même terre ».
  Tellement que le contenu de ce  courrier revêt un caractère sacré, j’avais enveloppé et enterré mon calepin  quelque part. C’est quelque part que se trouvent ces paroles sacrées.
  Si je veux m’enquérir, je me  lance à sa recherche pour trouver l’endroit précis où je l’ai enterré puis je  le déterre. Je le consulte et me rends aussitôt compte que tout m’avait déjà  été révélé. 
  Ce n’était pas important que je  vous révèle ces quelques vérités ; si je me dois de vous le dire c’est  parce que Mpasi fait tout pour perturber les frères et sœurs qu’il a trouvés  dans LOUZOLO, ceux qui sont faibles d’esprit.
  Mpasi a colonisé les faibles d’esprit  qui ont oublié que nous avons des notes circulaires, des documents renfermant  tout l’enseignement que je dispense.
  Pour votre information, je vous  rappelle que c’est Mpasi lui-même qui les rédigeaient au commencement  curieusement, ils oublient tout ce qu’ils ont écrit et veulent nous faire  croire que le représentant légal de Dieu est UN TEL car il n’y a personne  d’autres que cet UN TEL là.
  Alors que cet UN TEL a un titre  nominatif c'est-à-dire que c’est un conseil d’hommes qui se réunit et décide de  nommer quelqu’un selon leurs critères que j’ignore d’ailleurs. Pour accéder à  ce poste de responsabilité, il se pourrait que cet UN TEL suive des cours  particuliers ou soit formé par les humains. Or, moi, je ne suis pas formé par  un humain, un homme de cette terre, c’est Dieu qui m’a nommé, JE SUIS LE  CONTINUATEUR DE LA MISSION SECRETE DE JESUS CHRIST, je suis son PETIT CAPITA et  je serai UN ACCUSE REPONDEZ et je précise que je suis le représentant Légal de  l’OPH sur terre, c'est-à-dire le représentant légal de Dieu sur terre.
  L’OPH c’est JESUS c'est-à-dire  Dieu. 
  Personne ne le savait même Mpasi  ne le savait pas. C’est de ma bouche qu’il a su que Dieu avait un autre nom  qu’on appelle OPH.
  Demandez lui si dans sa religion  d’origine on lui avait révélé ce nom ? Posez lui la question pour le  remettre à sa place puisqu’il se permet de vous mentir gratuitement !
  Je n’ai pas de problème avec lui  au contraire, c’est lui qui en a avec moi. Je ne suis qu’en train de lui  remettre à sa place afin qu’il cesse de se comporter ainsi car c’est sa propre  perdition qu’il est en train de susciter, la sienne et celle de ses acolytes.
  Sur cette terre, tout homme est  libre de faire ce qu’il veut mais pas dans mon association LOUZOLO Amour OPH.  LOUZOLO est mon association et je ne tolère pas et je ne tolérerai pas que  quiconque y sème la division. Cette association porte le nom de Dieu car Dieu  est AMOUR par conséquent, il unit les gens et veut que ceux qui le prient  soient unis.
  Or, si parmi nous il y a  quelqu’un qui divise d’où dira t-on qu’il vienne ? Ce ne peut qu’être  celui qui n’est pas de Dieu c'est-à-dire du diable. Or satan le diable aime  diviser, provoquer des querelles…Celui qui se comporte ainsi n’a pas l’esprit  de Dieu mais celui de satan. Cet enseignement, vous le connaissez car je vous  l’ai déjà donné.
  Satan aime diviser, satan aime  provoquer des querelles, des mésententes…L’auteur du mensonge, de la division,  du détournement de la parole de Dieu, des confusions etc. est satan le diable.
  Puisque notre association est de  Dieu, je veille, en tant que Président Fondateur, à ce que cela ne se produise  car je suis le SEUL dans le monde le représentant légal de l’OPH sur terre et  ce jusqu’aux extrémités de la terre.
  Je reçois beaucoup de  correspondance des gens qui allaient se renseigner en Europe, en Amérique, en  Asie bref partout pour savoir où est la direction de l’OPH. Ils voulaient aussi  savoir que veut dire OPH ?
  La réponse à leurs attentes est  la suivante :
  La direction de l’OPH est au  Congo Brazzaville et nulle part ailleurs qu’au Congo Brazzaville. Beaucoup de  gens me l’ont signalé par courriers, cassettes etc. Lorsque je reçois de telles  correspondances, je ris car c’est à l’extérieur du Congo qu’ils apprennent ces  vérités.
  Que feront ils là bas !  Alors que les personnes chez qui ils vont se renseigner leur  disent : « chez nous, nous sommes limités qu’à faire ceci mais,  si vous voulez faire cela, ou approfondir vos connaissances, spirituellement  parlant, vous devez vous rendre au Congo Brazzaville là où est notre direction,  c'est-à-dire la direction de l’OPH. 
  C’est pourquoi actuellement, ceux  qui habitent KIBOSSI voient en permanence les manifestations de Dieu. Dieu fait  ses miracles au mont kari kari. Je précise que ce ne sont que des vrais  croyants c'est-à-dire ceux qui ont un bon cœur et qui prient sincèrement qui  voient ces prodiges. Au moment où je vous parle, il se produit beaucoup de  miracles.
  Surtout le soir, les gens voient  les miracles, les manifestations de Dieu au mont kari kari.
  Il y a une vérité que je ne vous  ai jamais révélée : « Tous les Patriarches de la Bible ainsi que tous  les personnages élus dont nous parle la Bible comme : Abraham, Isaac,  Jacob, Moïse etc. ; C'est-à-dire La Grande Famille de Dieu y compris  lui-même sont venus construire une Grande Cité ici à KIBOSSI, un petit village  situé aux abords du CFCO, au Congo Brazzaville et plus précisément au Mont Kari  Kari.
  Ce qui veut dire que Dieu a  déplacé Tout son Monde, depuis là où ils étaient, jusqu’ici sur terre plus  précisément au Mont Kari Kari. Actuellement, ils y sont tous.
  Estimez vous heureux vous qui  êtes du Congo Brazzaville car toutes les nations, tous les peuples et toutes  les langues y afflueront.
  Alors, ne soyez pas donc pas  perturbés par les paroles mielleuses des enfants de satan ou des serviteur de  satan.
  Chant : Oh mes frères et  sœurs, faisons très attention le moment précédemment annoncé le moment est plus  qu’arrivé.
  Cette chanson, je vous l’ai déjà  apprise et Mpasi la connaît. Mais, curieusement, il feigne de l’oublier parce  qu’il est mécontent.
  En réalité, la vraie cause de son  mécontentement est ailleurs, c’est le fait qu’il n’a plus la main mise sur les  finances de l’association, lui et son monde.
  La raison qui m’a poussé a  remanié cette grande structure de gestion est la suivante : Comme je  n’avais plus les états de finances, j’ignorais complètement comment étaient  gérés les sous de l’association. C’est pourquoi après le remaniement, comme  Mpasi et ses acolytes ne pouvait plus géré l’argent comme dans le passé alors  commencèrent leur mécontentement.
  Ils se plaignent tout simplement  parce qu’avant ils géraient les sous et que maintenant, ils ne les gèrent plus.
  Si je n’avais pas remanié, peut  être qu’ils n’allaient pas non plus créer toutes ses situations.
  Puisque Mpasi n’a plus de moyen  pour détourner les sous de l’association, il crée beaucoup de manigances.
  En agissant ainsi, il est en  train de se mentir lui-même.
  Je n’ai aucun contentieux avec  lui alors, soit il cesse ou soit il démissionne tout simplement !
  Qu’il aille ailleurs s’il veut  créer toutes sortes de rébellion. Qu’il crée son association pour qu’il ait la  main mise sur les finances.
  Le remaniement opéré, consistait  à transférer tout le compte de l’association à Pointe Noire avec un mot d’ordre  suivant : Qu’aucune information relative à ce compte ne soit livrée. Vous  serrez certainement surpris d’apprendre que même moi, je ne connais pas le  montant, je ne sais pas combien avons-nous exactement dans la caisse de  l’association, moi qui suis le président fondateur. J’avais changé cette  situation de finance parce que c’est inacceptable.
  J’avais donc transféré tout le  compte à Pointe Noire.
  Mais pourquoi Brazzaville,  c'est-à-dire le Comité Directeur, le BCI…veulent savoir le montant ?  Pourquoi demandent ils les informations sur ce compte ? Pourquoi ?
  L’argent des membres n’est pas le  leur ! La triste réalité est que ces gros chefs là ne cotisent jamais et  ne pensent qu’à détourner les sous. Faites vous-mêmes des enquêtes et vous vous  rendrez compte que leurs cartes de cotisations statutaires ne sont pas à  jour ! Ils ne cotisent jamais et veulent toujours se servir, détourner  l’argent de l’association pour me salir.
  Ils détournent silencieusement et  malignement  les sous de l’association  pour faire croire aux gens que c’est moi qui le fait. Ils disent que si les  caisses sont vides et bien c’est le président fondateur qui se sert. En outre,  ils disent que si l’association n’avance pas, c’est parce que c’est moi qui  retarde son évolution.
  D’après eux, si depuis 15 à 20  ans ça ne marche pas, c’est à cause de moi ! Alors que je ne savais pas  comment ces gens là géraient l’argent et je n’avais pas non plus la parole.
  Comme la situation financière  était devenue incontrôlable, j’avais donc ordonné au frère TCHINONA MAKOSSO  Christophe de gérer cet argent à Pointe Noire.
  A ce jour, j’ignore combien  l’association a dans ses comptes.
  Si moi-même je ne le sais pas  alors pourquoi eux, veulent savoir ? Mais pourquoi alors ? Sont ils  aussi des coprésidents fondateurs ? 
  Ces hommes là ne versent même pas  un sou, ces mêmes hommes qui vous mentent ! Je doute même qu’ils cotisent  et je vous demande de vérifier mes dires.
  Vérifier leurs cartes de  cotisations au lieu de les écouter.
  En ce qui concerne les cartes  statutaires, je vous rappelle qu’elles doivent être à jour, toujours à  jour ! Les cartes de cotisations statutaires à jour constitue une vraie  quittance sans laquelle l’accès aux cieux est difficile voire impossible.
  Pour vous démontrer ce que je  viens de dire, je vais vous raconter le témoignage d’une des personnes qui sont  menacées au ciel, je dis bien menacées parce qu’elles n’étaient pas à jour en  ce qui concerne leurs cotisations : « Cette personne concernée est  l’enfant de Monsieur MOYO résidant à BACONGO un des quartiers Sud de  Brazzaville. 
  Avant de vous rappeler ce  témoignage que vous connaissez déjà, j’aimerais m’excuser auprès des parents de  cet enfant et auprès de Papa YOULOU Antoine et Maman YOULOU Jacqueline née  DIATOULOU SAMBA Jacqueline (la première femme de Papa YOULOU Antoine).
  Pour commencer, cet enfant était  avant à LOUZOLO, c’est la famille YOULOU qui l’avait sensibilisé et amené à  LOUZOLO puis, plus tard son père le dissuada d’y rester et ils allèrent quelque  part. Un jour, il est mort à Bakongo et était arrivé à la porte du Ciel. Le  témoignage que je vais raconter est connu par Papa et Maman YOULOU. Arrivé au  ciel, cet enfant a vu des gens habillés en tenue LOUZOLO passer, ils marchaient  dans la joie et se dirigeaient vers le lieu de la veillée. Vérifier ce que je  vous dis auprès de Papa YOULOU Antoine et de Maman YOULOU Jacqueline qui est le  premier membre « femme » de LOUZOLO.
  En voyant les gens de LOUZOLO  passer, il a voulu se joindre à eux mais, on le lui empêcha. Comme il ne  trouvait pas d’accès pour se joindre aux autres, il était dans une situation  difficile. Comme il était bloqué, il venait apparaître dans les rêves d’un  certain nombre de personnes pour leur demander de dire à LOUZOLO d’organiser un  DAMBAGE pour lui. Comme son père savait que les gens de LOUZOLO boivent beaucoup  de bières, il ne voulait pas organisé un DAMBAGE qui pour lui est très coûteux  car il faut faire boire une multitude de gens. 
  Se trouvant toujours bloqué,  l’enfant résolu de venir s’adresser à Maman Jacqueline dans la nuit. Dans son  rêve, il lui inspira la chanson suivante (en KONGO) : MONO NZOLELE YA LANDA KWANI TATA EMILE, KI LENDI SOTOKA KO qui veut  dire : Moi, je veux suivre Papa Emile sans faille, je veux le suivre là où  il est et je ne sera pas perdu pas.
  Maman YOULOU chantait cette  chanson dans son rêve et ce, dans la nuit pendant longtemps. Papa YOULOU,  réveillé par ce chant, avait placé un magnétophone pour enregistrer ce chant. Renseignez  vous auprès de la famille YOULOU pour savoir si je mens.
  Ce témoignage a été rendu public  à la permanence de MOUKONDO malheureusement, les gens de LOUZOLO ont une  mémoire très courte, ils oublient vite les bonnes choses ; Ils ne gardent  que des mauvaises choses et non les les bonnes.
  Longtemps après, Papa YOULOU et  Maman YOULOU étaient venus me voir pour m’expliquer ce rêve, ils m’ont montrer  le chant et je suis vite intervenu pour y porter une correction. La correction  consistait à remplacer le nom d’Emile, mon nom, par celui de Notre Seigneur  Jésus Christ afin d’éviter toute mauvaise interprétation.
  Dès que Papa YOULOU avait pris  l’initiative d’organiser un DAMBAGE à MOUKONDO comme demandé, cet enfant avait  pu se libérer, trouver l’accès. A ce DAMBAGE, ce témoignage a été rendu public  devant de nombreuses personnes présentes.
  Avant de continuer, j’aimerai ouvrir  une parenthèse : Si je n’étais pas UN BATELE ET LES BASIDI, cet enfant qui  était mort n’allait pas se manifester dans le rêve de Maman Jacqueline n’est ce  pas ? Voici ce que disait cet enfant : « J’ai vu les gens de  LOUZOLO passer et voulant m’associer à eux, on m’interdit. Malgré mes  complaintes, et malgré le fait que je leur disais que moi aussi fait partie de  LOUZOLO, on m’ordonna de rester là où j’étais car ils me demandaient ma tenue  de LOUZOLO en me disant : Soit disant que tu es à LOUZOLO, où est donc ta  tenue ? ». Voyez vous frères et sœurs, on lui empêcha de se mélanger  avec les gens de LOUZOLO qui s’y trouvent (au Ciel), ceux qui marchaient dans  la joie se dirigeant vers le lieu de la veillée.
  Il est resté là où il était  jusqu’au jour où Maman Jacqueline et Papa YOULOU Antoine prirent l’initiative  d’organiser un DAMBAGE à son honneur à MOUKONDO au 02 rue DELAMART  à l’époque c’était 1 rue DELAMART. C’est au  cours de ce DAMBAGE que cet enfant donna plusieurs messages bibliques par  inspirations aux frères et sœurs présents à ce DAMBAGE. J’avais bien suivi tout  cela par la cassette qui m’a été envoyée.
  Dans ces messages, cet enfant  confirma ce qui suit : « Ca y est ! J’ai pu avoir l’accès,  Ca y est je suis maintenant autorisé à me joindre aux membres de LOUZOLO  d’ici ! Je suis très content et je vous remercie ». Renseignez vous  auprès de la famille YOULOU et auprès de tout ceux qui étaient à ce DAMBAGE,  ils connaissent bien cette histoire.
  C’est vraiment dommage de  constater que les gens de LOUZOLO ne retiennent que des mauvaises choses.
  Voilà mes ami(e)s, les gros  chefs, les ami(e)s d’Emile, les frères et sœurs de l’association LOUZOLO amour  OPH, mes très, très, très chers aimés et respectés ce que j’avais à vous dire  aujourd’hui.
  Excusez moi, j’ai vraiment ri  lors MPasi s’exprimant dans une cassette a dit qu’il ne me demandera pardon que  parce que je suis le président fondateur sinon, il ne pouvait pas le  faire ! Alors que la bible nous dit : si vous savez que vous avez un  litige avec votre prochain, allez y d’abord lui demander pardon. 
  Ce pardon, il me l’avait demandé  devant les gens qui étaient là, qui l’avaient écouté et pris acte.
  Comme si son précieux pardon ne  suffisait pas, il est revenu une autre fois pour créer d’autres problèmes  comme : Emile n’est pas le représentant légal de l’OPH mais UN TEL. Ah  quel mensonge.
  Chant en kikongo : BA KE TUBA BETO KUTANAKA NA EMILE ECOLE MOSI NA  KU LUTA MAITRE, O LUVUNU EMILE N’A JAMAIS ETE DANS UNE MAISON MYSTIQUE qui  veut dire ceci : Ils affirment  qu’ils étaient sur le même banc d’école avec Emile pour devenir des Maîtres, O  quel mensonge, Emile n’a jamais été dans une maison mystique.
  Constatez vous-même ce gros  mensonge !
  Je n’ai pas de problèmes avec mon  prochain mais si je parle, c’est parce que j’ai une lourde responsabilité, de  conduire le Peuple de Dieu par la mission secrète que Jésus lui-même m’avait  confiée.
  C’est Jésus lui-même qui  canalise, oriente et dirige tout dans l’ASLA OPH. En tant que son représentant,  je dois être vigilant et ne pas permettre que le travail de mon Père soit  perturbé par n’importe qui.
  Voilà pourquoi il est temps à  MPasi de repartir dans sa religion d’origine, soit de créer sa propre  association mais, qu’il cesse de perturber LOUZOLO ! Non je ne le  tolérerai pas !
  Tout ce qu’ils fomentent, si  c’est pour chercher ma mort, je vous le jure, si vraiment ils pensent à me  tuer, ils ne resteront non plus en vie sur cette terre.
  Dieu s’arrangera à les prendre un  à un, à les enchaîner en attendant le dernier jugement. Il est grand temps  qu’ils se repentent en laissant leurs mauvaises pratiques mais s’ils  persistent, Ah Dieu est là. Je m’arrête là pour vous proposer quelques chants.
  Je reprécise que je n’ai pas de  problèmes avec les gens. La Bible nous recommande de reconnaître notre faute,  de demander pardon puis de cesser de revenir sur la même faute ! Ceux qui  persistent dans cette voie perverse finiront par rencontrer Dieu lui-même sur  leur chemin. Car Dieu voit tout et sait tout il est le vrai JUGE.
  Dans mes prières je ne cesse de  demander que Dieu leur pardonne, que Dieu pardonne à tous ceux qui agissent de  la sorte, en tout cas que Dieu leur pardonne. Sinon, pour tout ce qu’ils me  font…Ah pitié.
  Je demande toujours à Dieu de  pardonner tous mes ennemis visibles et invisibles car c’est regrettable et  pitoyable pour les croyants qui lisent la Bible. C’est malsain d’agir de la  sorte !
  Bon Dieu, si vous êtes égarés,  mais ressaisissez vous et repentez vous c’est ce que Dieu nous recommande. La  Parole sacrée de Dieu nous dit : « Repentez vous car le Royaume des  Cieux est proche » au lieu de divaguer, empressez vous à le faire !
  Maman NKELA, vous qui m’écoutez,  écrivez toute cette histoire, celle que je raconte maintenant même si les gens  vous menacent en vous disant que Dieu a déjà ses rachetés et que vous, vous ne  l’êtes pas ! Car d’après eux le nombre de rachetés de Dieu est limité et  que vous serez des rachetés d’Emile ou selon Emile ! Que cela ne vous  bouleverse point! Il y a un Dieu vivant qui règle tout, Dieu veille et ce  Dieu là que nous prions vit.
  N’oubliez pas que si les gens  nous maltraitent, c’est parce que Jésus a été maltraité avant nous. Il disait  lui-même que : « Si vous êtes persécutés, sachez que je l’ai été  avant vous ».
  Puisque notre mission est de Dieu  lui-même, et bien, à lui la vengeance !
  Je m’arrête là merci.
  Je reviens pour vous dire que  tout ceci doit être écrit, dites à tous ceux qui savent écrire d’écrire.
  Que Papa MELONTON à qui j’ai  donné cette responsabilité cherche des gens compétents pour traduire en langues  étrangères tous les documents de l’ASLA et de les déposer chez un éditeur.
  Attention la discrétion oblige  qu’il ne faut pas en parler à n’importe qui car vous-mêmes connaissez comment  sont les gens de LOUZOLO. Ils sont tellement jaloux que l’association avance,  ils ne veulent pas que l’association soit connue dans le monde entier.
  Si vous constatez que parmi vous  il y a des indécis, des agents doubles c'est-à-dire des gens qui ont  « DEUX PIEDS » un pied chez Emile et un pied chez Mpasi, faites  attention à vous !
  Faites ce travail avec les  rachetés d’Emile, éditez beaucoup de livres et ne dites rien aux gens car parmi  eux il y en a qui ne sont pas discrets, ils passent de maison à maison pour en  parler, pour raconter.
  Editez tout cela Maman MAHOUNGOU  NKELA Caroline, de même, il faut que tout ce que je suis en train de dire dans  ce message y figure ! Qu’aucune virgule ne manque.
  Evidemment, je souhaitais vous  proposer un chant mais, je me rends compte qu’il ne me reste plus assez de  bande. 
  Maman Vice présidente, veuillez à  ce que toutes mes cassettes soient copiées en plusieurs exemplaires et  dispatchées partout où il y a les structures de LOUZOLO OPH.
  Envoyez les partout, en France,  partout, partout ! Il faut que les gens sachent ce que les faussaires, les  troubles fêtes, les perturbateurs font.
  Ces gens veulent toujours faire  reculer les faibles d’esprit. Ils veulent coloniser les faibles afin de les  manipuler à leur guise.
  Ce n’est pas à LOUZOLO qu’on doit  faire ce genre de choses, jamais à LOUZOLO et ceci, tant que je serai en vie,  même si je ne suis plus dans ce bas monde, je veillerai dans mon LOUZOLO, car  je suis et reste le Président fondateur, PETIT CAPITA de l’Eternel Dieu. Même  si les gens me font du mal aujourd’hui en cherchant ma mort, ils croiront que  je suis mort, je suis parti définitivement et c’en est fini ! NON !
  Dieu s’arrangera à ce que je  revienne visiter mes gens pour continuer mon travail, ma mission, celle qu’il  m’a confié ! C’est ce que les gens ignorent.
  Ils croiront me tuer mais, ils oublient  que c’est seulement ce corps de péché qu’ils vont supprimer, mais je  continuerai de vivre et Dieu me donnera un autre corps et je reviendrai car je  n’ai pas encore commencé sa mission proprement dite quoique je suis avancé en  âge ; Cette mission je ne l’ai pas encore débutée et je dois le faire.
  Personne ne m’empêchera de le  faire, personne ne freinera ma mission.
  Même s’ils me tuent aujourd’hui,  ils perdent leur temps car ils me suivront un à un dans 3 ou 4 jours suivants  ma mort. On les prendra pour les enchaîner et les réserver jusqu’au dernier  jour du jugement.
  Je ne souhaite pas leur mort mais  je veux vous dire que s’ils me font du mal en cherchant ma mort, en me tuant,  Ah vous verrez ce qui se passera ! Tous ceux qui seront concernés,  partiront un à un. Ils payeront avant que n’arrive le dernier jugement.  Puisqu’il y a un Dieu VIVANT, il s’en occupera valablement.
  DIEU SAIT TOUT ET JE SAIS CE QUE  JE DIS ET JE NE MENS JAMAIS.
  JE FAIS CE QUE JE DIS ET JE SUIS  SUR DE CE QUE JE FAIS.
  Ceux qui ne veulent pas reculer,  ceux qui ne veulent pas se repentir en reconnaissant leurs fautes et s’ils  insistent à me faire du tort, à me tuer, cela ne fait rien.
  Mais, ils ne resteront pas en vie  et vous les verrez mourir au fil des jours. Tous ceux qui seraient concernés  par ma mort ! Je dis bien tous quelque soit ce qu’ils sont, ils payeront  car il y a un Dieu qui règle tout !
  On les prendra puis on les  enchaînera quelque part en attendant le dernier jugement. Ce sera très dommage  pour eux, vraiment dommage pour eux.
  Et, au dernier jour, je serai là,  je serai là puisque je suis un petit capita, cette vérité vous devez la  connaître. 
  Sachez que je suis un petit  capita et je dois rendre compte à Dieu qui m’a confiée la mission.
  Que les gens arrêtent de blaguer  comme çà !   
  Qu’ils blaguent avec leurs femmes  mais pas avec moi Emile, Alors ! Zut ! Je suis une personne comme  toute autre non ! Je n’ai pas le droit de vivre librement et de respirer  un tant soit peu ! N’ai-je pas le droit de m’exprimer alors que l’association  est mienne ? J’en suis le président fondateur ? Pourquoi n’aurais je aucun  droit ?
  Je ne voudrais plus entendre ces  manipulations !
  Je ne veux plus entendre les  on-dit NON !
  Libre à eux de quitter mon  association LOUZOLO amour OPH et libre à eux aussi de rester à LOUZOLO ou de la  quitter. S’ils veulent y rester alors, qu’ils changent de comportements et  leurs dires.
  Sensibiliser contrairement à ce  que je dis est ce que je n’accepterai pas de mon vivant, même s’ils me tuent,  qu’ils sachent que eux aussi ne resteront pas en vie.
  Il faut vous que vous le sachiez  et retenez ce que je dis dans ce message.
  Dieu sait tout et connaît  d’avance tous ceux qui seront dans ce lot, c'est-à-dire tous ceux qui seront  concernés, Dieu les connaît déjà.
  Qu’ils se ressaisissent car  pendant qu’ils sont encore sur cette terre, ils ont la possibilité de demander  pardon car ce n’est que sur cette terre de péché qu’il y a le pardon des  péchés. S’ils reconnaissent leurs fautes, le mal fait et se repentent  sincèrement et se ressaisissent, ils sont pardonnables. Le pardon des péchés  n’existe que pendant qu’on est sur cette terre.
  Etant arrivé à la fin de la  cassette, je vais quand même chantez un peu, veuillez écouter le chant que je  vais vous proposer :
  REF : TARA NZAMBE, TARA  NZAMBE E BANI BA
  1° A TARA NZAMBE A ME, TARA  NZAMBE a Guy Emile MU MPARI 2X
  2° A TARA NZAMBE A ME , TARA  NZAMBE A Guy Emile MU PARI
  A NZAMBE A ME YA KUNI TARA Guy Emile  MU PARI
 
  Traduit et écrit par : La  sœur Liliane MIKOUNGUI et le frère Baz MIKOUNGUI inspecteurs spirituels et itinérants Union  Européenne.
 
-Message aux chefs du village de KIBOSSI
MESSAGE DU GM ADRESSE AUX CHEFS DU VILLAGE DE KIBOSSI
A mes très chères  Mamans et à mes très chers Papas,
  A mes très chères  Mamans et à mes très chers Papas,
  A mes très chères  Mamans et à mes très chers Papas,
  Habitants de  KIBOSSI,
  Recevez mes vives  salutations,
  Recevez mes  nombreuses salutations,
  Recevez mes  salutations les meilleures !
  A mes autorités  locales,
  A mes chefs  locaux,
  Aux responsables  locaux,
  Ceux de KIBOSSI et  des villages environnants, partant de MAYONGONGO, de KIBOUENDE, de l’autre coté  du DJOUE, de NTOUNOU, de MAKAKA jusqu’aux autres contrées que je n’ai pas  citées. 
  Je salue tous mes  chefs, tous mes papas et toutes mamans, tous mes frères et toutes mes sœurs,  tous mes amis, tous mes enfants. 
  Recevez mes vives  salutations,
  Recevez mes salutations  fraternelles,
  Recevez mes  salutations les meilleures !
  Que  Dieu du Ciel qui nous a tous crée soit avec vous ! Qu’il vous bénisse,  qu’il vous garde et vous donne bonne santé et longévité.
  Je  suis votre enfant, votre frère et ami, votre père, nommé LOUFOUA CETIKOUABO Guy  Emile qui habite à KIBOSSI et qui est actuellement entre MALENGO et MBAMOU là  où il y le séminaire, c’est vers ces <<hauteurs>> que je demeure.  Je crois que vous savez pourquoi j’y habite maintenant ! J’y suis parce  que mon neveu nommé PASSI MOUNZEMBELLE André ainsi que sa maman nommée  NDEBANI Angélique et ses oncles TA TSIOLA  Léon que vous connaissez et TA KEBIA Jean et leurs neveux, s’étaient entendus  pour me tuer pour le motif  suivant:
  Selon  eux, et la version qu’ils ont donné aux militaires chargés de me tuer, je suis  un SORCIER et que c’est moi qui ai sacrifié tout le village. 
  C’est  pour cette raison que je n’ai plus de paix dans le village. Je crois que les  habitants de KIBOSSI et ceux qui sont aux environs, ont entendu les crépitements  des armes automatiques le 5 février 2002, je précise bien, des armes de  guerres ! C’est sur mon corps qu’ils tiraient. Ils ont commencé à tirer  sur moi de 3h du matin jusqu’à 5h du matin. Ils disaient, si vraiment tu es là,  sors ! Nous ne t’accordons que <<tant>> de minutes. Je  répondais en leur demandant le sort qu’allait connaître ma femme puisque  j’étais avec elle et en leur disant, comment est ce que nous pouvons  sortir de là où nous étions en une   minute car tout est détruit, les portes etc.
  Ma  femme s’était trouvée là par hasard, moi je revenais de loin, comme je n’avais  plus de piles et de cassettes audio qui me permettent de faire mon travail, le  travail que Dieu m’a donné, je suis parti de l’endroit où j’étais pour me  rendre chez moi, à ma modeste maison que j’ai construite, le lieu où je stocke  mon matériel de travail. Je suis arrivé à destination au alentour de 19h. J’ai  ouvert la porte de ma modeste maison constituée de tôles du bas en haut, une  toute petite maison en tôles, après que j’ai pris ce que j’étais venu chercher,  j’ai entendu ma femme dire : Mais qui a ouvert cette porte ? Je lui  ai répondu : C’est moi qui suis là, je suis venu pour prendre les piles.  En fait elle se trouvait là parce qu’elle avait un colis venant de Brazzaville  à déposer à cet endroit. En arrivant, elle était étonnée de voir la porte de la  maison ouverte. Comme nous discutions un peu, le temps passait et il était 20h.  Je lui disais que lorsque j’étais sur la route carrossable qui part de la gare  à la forêt que vous connaissez, j’ai entendu les gens dire en LINGALA  :<<C’est ici >> Et les autres ont répondu <<oui c’est  ici>>. Comme je savais que c’est moi qu’ils venaient chercher, j’ai  ajouté ceci à ma femme :<<Mes ennemis sont arrivés ici et ils  cherchent à me tuer>>. Ma femme ne me croyait pas car elle était  persuadée que ce n’étaient pas mes ennemis mais les gens qui viennent à KIBOSSI  pour travailler dans les champs. Elle argumentait que c’est certainement ces  gens dont la majorité est constituée d’hommes, rentrant des champs et étant  entrain de discuter entre eux d’un autre sujet, puisqu’ils se dirigeaient vers  la gare, leurs conversations n’avaient donc pas de rapport avec ce que je lui  disais. Je lui ai dit : NON, en lui signifiant à nouveau que j’étais sûr  que c’étaient mes ennemis. Nous discutions encore chacun défendant sa thèse,  elle me disait, puisque tu sais que ce sont tes ennemis, pourquoi ne t’échappes  tu pas ? Je lui répondais par la négation, en lui stipulant  que :<<Il y a fort longtemps qu’ils me cherchent, qu’ils cherchent à  me supprimer, maintenant qu’ils sont proches, qu’ils viennent je les attends,  je ne m’échapperai pas je resterai ici, qu’ils viennent me tuer>>  puisqu’ils me cherchent depuis longtemps maintenant que l’occasion se présente,  qu’ils fassent ce qu’ils ont projeté de faire. Je lui ai encore dit que je  n’irai nulle part je resterai là pour qu’ils viennent me tuer ! Elle me  dira : Comme ils sont encore dans la rue, va-t-en…Je lui ai  dit :<< je n’irai nulle part, je resterai ici pour qu’ils viennent  me tuer>>. Elle finira par me dire : puisque tu restes, moi aussi,  je ne vais pas te laisser seul, qu’ils nous tuent tous les deux, je ne  retournerai pas. 
  Nous  attendions tous les deux, moi, j’étais très attentif tendant mes oreilles vers  la porte pour détecter les moindres mouvements jusqu’à ce qu’ils avaient  encerclé la maison, c’étaient des militaires accompagnés d’une milice appelée  les NINJAS.
  Selon  ce que j’avais entendu dire de la part de ces militaires c’est qu’ils étaient  nombreux y compris les NINJAS : <<c’est ton neveu qui nous a  envoyé ; Ici à KIBOSSI il y a beaucoup de petites forêts dans lesquelles  nous avons été placés jusqu’à ton village natal MAKAKA. Tu ne peux plus te  sauver car nous avons investi toutes les forêts pour te chercher, l’ordre nous  a été donné de te tuer à la première vue>>, c’est ce qu’ils m’avaient dit  au matin, quand ils avaient arrêté de tirer sur moi. 
  C’est  à 8h du soir qu’ils s’étaient mis à se repartir autour de la maison où j’étais,  située à YALA NSANGAMANI KIBOSSI Gare CFCO. Ils attendaient qu’ils fassent  vraiment nuit et à 3h du matin, je dis bien 3h du matin, comme ma maison leur  avait déjà été montrée par mon neveu MPASSI MOUNZEMBELE, sa mère et les autres  qui étaient avec eux, les hommes armés savaient où était leur objectif. Au  matin surpris que je ne sois pas mort, j’ai vu ceux qui faisaient partie de ma  famille venir en l’occurrence MPASSI MOUNZEMBELLE, pour me dire qu’ils venaient  pour me demander pardon. Je lui avais dit ceci : Mais pour quelle raison  viens tu me demander pardon ? Pourquoi me demandes tu Pardon ?  Curieusement, NDEBANI Angélique qui était ma belle sœur, les autres dont Jean  tombaient par terre en pleurant et disaient : Nous étions entrain de te  chercher. Leurs larmes coulaient à flot c’est comme ci ils étaient surpris de  ce qui m’était arrivés.
  Je  qualifie ces larmes comme celles de sorciers ! Ils criaient : Ah  notre grand frère….J’étais resté perplexe et je les regardais faire leur  cinéma. 
  Après  tout cela, je leur avais dit ceci : Si c’est vrai, fondé et justifié ce  que vous êtes entrain de faire que Dieu rende justice mais si c’est de la  supercherie, du cinéma… Vous le payerez cher ! Après avoir discuté avec  leurs militaires, ils sont partis.
  Le  05 février, quand on m’avait envoyé les militaires pour me tuer, MPASSI  MOUNZEBELLE en faisait partie aussi (il conduisait les troupes). Je ne mens  pas, je l’avais vu de mes propres yeux avant l’aurore. 
  Ce  05 février 2002, ils étaient arrivés à 8h du soir et attendaient. Ce n’est qu’à  3h du matin qu’ils ont ouvert le feu. Ils étaient très proches de la maison,  une petite maison en tôle sans résistance et sans importance, voyez-vous !  Imaginez ce qui se passait ! Une petite maison constituée de tôle du bas  en haut ! Ils tiraient sur cette maison, les cartouches traversaient de  partout <<tro, tro, tro, tro, tro…>> Et j’implorais Dieu en disant  ceci : Mon Dieu ! Je n’ai rien fait, je n’ai jamais volé mon  prochain, je ne mens jamais si je suis menteur, que je meurs ! Si je ne  fais pas correctement le travail que tu m’as confié et qu’il n’y ait pas de  bénéfices de tout genre au niveau de l’humanité souffrante, fais justice !  Que je meurs ! Pendant ce temps ils tiraient avec tout genre d’armes de  guerre, c’était une véritable guerre <<tro, tro, tro, tro…>>. Ils  ont tiré sur moi de 3h du matin jusqu’à 5H. 
  A  5h du matin, ils ont arrêtés le feu et disaient :<< Si tu es  toujours là sort immédiatement sinon nous allons jeter une grenade pour en  finir>>. Ma femme leur répondait :<< ne jetez pas votre grenade  sur nous, nous allons sortir>>. Ils nous avaient donné une minute pour  sortir. Et elle dira: accordez nous au moins un peu plus de temps, une minute  ne nous suffit pas pour sortir. Ma femme me précédait, arrivée au niveau de la  porte. Comme ils étaient juste au seuil, voyant un militaire pointé son arme  sur ma femme pour la tuer, j’avais bousculé ma femme pour la faire tomber,  c’est juste au moment où elle était tombée que le coup de feu était parti droit  sur moi. La balle m’a atteint, j’étais sérieusement blessé. Si je n’avais pas  fait tomber ma femme, elle serait morte. Il fallait que je trouve une solution  pour lui éviter de mourir.
  Lorsque  la balle avait pénétrée mon corps, ne savant pas que mon sang giclait tellement  (ce n’est que plus tard après que je réalisa que mon sang avait beaucoup  coulé),  je leur disais : Mais  pourquoi voulez vous me tuer ? Pour quelle raison voulez vous me  supprimer ? Je ne fais pas de politique, je ne fais que prier, Dieu  m’avait confié une mission que j’accomplis tous les jours de ma vie sur terre.  J’ai un grand travail à faire sur l’humanité toute entière ! Car tous les  hommes de tous les continents seront sauvés grâce à cette mission. 
  C’est  pourquoi, quand Jésus reviendra, il me demandera des comptes sur la gestion du  travail qu’il m’a confié sur toutes les âmes ! Que ce soit ceux qui sont à  LOUZOLO ou non ! Qu’ils soient Catholiques, Protestants, Salutistes  bref ! Toutes les religions qui existent sur cette terre ainsi que les  non-croyants ou les païens au dernier jour quand Jésus reviendra pour juger le  monde, c’est à moi qu’il questionnera au sujet de toutes ces âmes, je serai  << l’accusé répondez>>, autrement dit je répondrai devant lui. Je  suis le petit CAPITA de l’Eternel Dieu, depuis le ventre de ma mère, Jésus  lui-même m’avait confiée sa mission qu’il avait commencée ici sur terre et qui  n’était pas finie.
  En  effet, selon les dires de ma mère de son vivant, MAMA MAZONZEKA Julienne  originaire de TIATABONDA aux frères et sœurs de Pointe Noire et de Brazzaville  qui venaient la voir, Je suis né sans PLACENTA, Emile que vous voyez était né  sans placenta ! Ceux qui avaient entendu ces révélations, les avaient  enregistrées et réservées pour la postérité. En ce qui me concerne, je n’étais  pas au courant de ces révélations, ce sont les frères et sœurs qui venaient me  voir et qui les avaient écrit, à savoir ceux de la chorale de Brazzaville et de  Pointe Noire, qui m’en avaient informé. 
  En  grandissant, à l’âge de 3ans et plus tard…je ne veux pas m’étendre sur les  explications car vous les connaissez déjà puisque vous les donner, que ceux qui  veulent vous écouter, vous écoute.
  Je  poursuivais ma plaidoirie avec les militaires en disant ceci : Pourquoi  êtes vous venu me tuer ? Je ne fais pas de politique ! Mais quel est  le motif ? 
  Ils  me répondaient en ces termes :
  Si  nous sommes arrivés jusqu’ici pour te tuer, c’est parce que ton neveu PASSI  MOUNZEBELLE André et sa mère NDEBANI Angélique, tes neveux et tes grands frères  NTSIOLA LEON et KEBIA Jean s’étaient entretenus, et nous ont confié la mission  de te t’assassiner pour le motif suivant : Ils nous ont avancé que tu es  un grand sorcier et que tu as entamé toute la famille (tu as sacrifié toute la  famille en les mangeant). Ils s’étaient dits, puisqu’il y a la guerre dans le  pays, et que les armes circulent, profitons de le tuer pour que l’on dise qu’il  est mort pendant la guerre. C’est la raison pour laquelle nous sommes venus te  tuer, parce que tu es un sorcier.
  Je  leur répondais ceci :
  Mais  soit disant que je suis sorcier, donnez moi une preuve que j’ai mangé  quelqu’un !
  Ils  rétorquaient :
  Que  tu manges les gens ou pas, ce n’est pas notre histoire, ce qui nous intéresse  c’est l’exécution de l’ordre et de la mission qui nous a été confiée pour vous  supprimer tous les deux (toi et ta femme).
  Je  prenais encore la parole pour leur dire ceci :
  Vous  voulez exécuter quelqu’un sans chef d’accusation ? 
  Ils  me répondaient que ce n’est pas notre affaire puisque nous avons été envoyé par  ta famille. Je leur posais la question de savoir s’ils avaient eux aussi de la  famille, vous connaissez ce qui peut se passer dans une famille, sans  réfléchir, parce que vous avez été soudoyés, vous avez accepté que l’on vous  mente pour tuer gratuitement quelqu’un sur qui vous n’avez fait aucune enquête !
  Ils  me diront par la suite qu’ils n’étaient pas seuls, mais toute une garnison  était éparpillée. Ils vont m’avancer d’autres choses encore. Nous avions  discuté longtemps, longtemps, longtemps, c’était houleux ! Moi je parlais,  eux me répondaient et vis versa.      
  Par  ailleurs, au moment où nous discutions, les enfants qui habitaient avec ma  femme à quelques centaines de mètres plus bas, en entendant le bruit  accouraient vers l’endroit où nous étions. E me voyant, ils pleuraient en  poussant des cris :<<Notre père, notre père>>. Un enfant parmi  eux dont une fille, leur disait, pourquoi vous voulez vous tuer notre  père ? Pourquoi faites vous cela ? Un militaire, exacerbé de voir  cette petite fille se plaindre au sujet de moi, la frappa avec son arme et lui  donna plusieurs coups de pieds. Il continua à la frapper, marchant sur elle  sans pitié quoiqu’elle souffrait, pleurait et disait : ayez pitié !  Pitié ! La situation devenait de plus en plus compliquée, Je leur répétais  que moi Emile, n’avait jamais fait du mal à autrui, je ne fais jamais de  politique ; Ce que les MPASSI vous ont dit ne sont que des allégations  mensongères. Je ne me reconnais pas dans ces accusations. Ils me répondront, si  tu ne te reconnais dans ces accusations, pourquoi te caches tu dans les forêts,  pourquoi n’habites tu pas comme les autres dans le village ? 
  Sur  cette question voilà ma réponse :
  Tous  les habitants du village savent que l’Eternel Dieu m’a donnée une loi, une  recommandation depuis 1988 de m’éloigner des humains pour son service. Je dois  dorénavant rester seul pour bien accomplir les missions qu’il m’a confiées.  C’est une LOI dictée par l’Eternel Dieu lui-même !  Si je n’avais pas obéi à cette loi, l’Eternel  Dieu n’allait pas descendre pour construire KARI-KARI. Effectivement, c’est au  mont KARI-KARI que l’Eternel Dieu que nous prions, le Dieu que nos ancêtres et  toutes les religions nous enseignent,   que ce soit les Catholiques, les Protestants, les Salutistes bref !  Tous ceux qui prient Dieu, Ce Dieu là, l’unique, est venu construire une belle  cité Sainte à KARI-KARI. C’est grâce à mon obéissance à cette Loi que tout cela  s’est réalisé, j’habite bien ici à KIBOSSI gare, c’est parce que j’y habite que  Dieu a choisi cette localité pour y demeurer Eternellement. Il y demeurera Eternellement  avec toute sa famille céleste que vous connaissez, celle dont la  Bible parle comme les pères : ABRAHAM, MOISE, NOE, JACOB, ISAAC,  ELIE, HENOCH et autres, actuellement, ils sont tous là bas. Papa Elie était  monté au Ciel avec son corps (il ne connut point la mort). Dieu y habite avec  tous ses anges c'est-à-dire il est à KARI-KARI avec tout son gouvernement qu’il  a lui-même crée, toutes ses créatures y sont, y compris lui-même Dieu, son fils  Jésus et l’Esprit saint, puisque les trois forment qu’un seul Dieu.
  C’est  à KARI-KARI qu’il est venu construire cette belle demeure, vous connaissez tous  KARI-KARI, c’est une montagne où habitaient les dieux de kari-kari (kari kari  était au départ un lieu satanique mais Dieu l’a purifié). Il a choisi ce lieu  et est venu construire sa cité le 20 mai 1992. Il y est arrivé à 8h du soir et  s’est mis à tourner, tourner, tourner autours de toute la montagne de KARI-KARI  balayant tous les coins et les recoins et s’est posé à 3H du matin. J’ai vu une  Grande Lumière et je me posais la question de savoir si c’était la fin du monde  or j’avais oublié que Dieu m’avait au préalable envoyé un ange les mois passés  ou les jours passés…je ne me rappelle plus !
  Cet  ange m’avait été envoyé pour me livrer ce message :
  Dans  peu de temps, Dieu viendra réaliser tout son mystérieux projet comme il te  l’avait déjà signifié. L’Eternel Dieu m’avait dit beaucoup de choses depuis mon  enfance que je ne peux pas détailler manque de temps car il faudrait beaucoup  de cassettes…C’est ce que je révélais aux militaires et nous discutions. 
  Finalement,  ils me diront : 
  Puisque  nous avons beau tiré sur toi toute la nuit et que tu n’es pas mort, alors donne  nous de l’argent ! Sache le bien ! Tu ne peux pas t’en sortir car ton  neveu MPASSI MOUNZEBELLE André ainsi que sa mère NDEBANI Angélique, tous tes  neveux, tes frères et sœurs, et tous tes amis ont pris la décision de te  supprimer ; c’est pourquoi, étant nombreux, y compris les NINJAS, nous  nous sommes postés dans toutes les forêts pour t’exécuter comme cela nous a été  recommandé. Ils ajouteront que c’est bien ton neveu MPASSI MOUNZEBELLE André  qui nous a soudoyé pour accomplir cette mission, il ne sera tranquille, lui et  toute ta famille que lorsque nous aurons accompli notre mission de te liquider  puisque tu ne cesse de <<manger>> les membres de ta famille !
  Après  qu’ils avaient fini de parler, je prenais la parole en leur disant :
  J’ai  bien pris acte de l’accusation de ma famille, mais je ne me reconnais pas dans  toute cette histoire et je ne mourrais pas non plus ! Je ne mourais pas  parce que je connais rien et je ne suis ni de près ni de loin coupable !  Si c’est vrai ce qu’ils ont dit, je mourais, mais si c’est faux, vous aller  beau faire mais je ne mourais pas non plus !
  Alors,  ils me redemandaient de l’argent et je leur avais clairement dit que je n’avais  pas d’argent.
  Ils  prirent eux même l’initiative de piller cette fameuse petite maison. Ils  prirent ce qui leur était utile, moi et ma femme sommes allés vers une autre  forêt et j’y suis resté toute la journée. 
  Revenons  un peu en arrière, ce matin là, au moment où je discutais avec les militaires,  j’avais vu près de la petite forêt qui est juste à coté mon neveu MPASSI  MOUNZEBELLE. Je voulais aller vers lui pour lui dire pourquoi as tu fait cela  mais, les militaires m’ont empêché et MPASSI s’était enfui. Je l’avais bine vu  à cet endroit. Il était venu pour voir sa proie dans l’espoir de partager ma  chair avec ses complices : KEBIA Jean, NTSIOLA Léon ainsi que sa maman et  autres. Il croyait que je ne me lèverai plus après que je sois tombé, atteint  d’une balle dans mon corps ! C’est pour cela qu’il est revenu avec un  cercueil qu’il était parti chercher à Brazzaville… vous le savez car je vous  l’ai déjà dit.
  Les  militaires, après avoir pris l’initiative de piller ma modeste maison,  s’étaient donc servis et moi et ma femme étions partis. 
  Après  que je sois parti, MPASSI et ses acolytes ne m’ont pas laissé en paix, ils ont  continué à me chercher saisissant les médias. Ils véhiculaient via les journaux  et même la Radio locale des messages comme : une récompense sera donnée à  quiconque nous livrera l’information sur l’endroit où Emile se cache, de  l’argent sera donné à toute personne le livrant...
  Ce  sont des frères comme TATA YOULOU Antoine que vous connaissez qui lançaient ce  genre de communiqués à la Radio Congo. Je ne comprends pas ! Même TATA  YOULOU qui n’est pas de ma famille, lui qui est entré à LOUZOLO parce qu’il  avait beaucoup de problèmes, maintenant que ses problèmes pour lesquels il  allait mourir sont résolus, je vous rappelle qu’il y a longtemps que ce dernier  ne devait plus être de ce monde! Je dis bien qu’il doit sa vie à LOUZOLO ;  Même lui est devenu complice au même tire que MPASSI MOUNZEMBELLET et d’autres  membres de ma famille en tout cas, ceux qui voulaient me supprimer. 
  Moi  Emile je ne mourais pas aussi puisque je ne reconnais pas ce pourquoi vous  voulez me tuer. Je ne mourais pas parce que je suis le serviteur de Dieu, je  travail fidèlement pour lui afin de conduire toutes les âmes au Ciel. C’est la  mission que Dieu m’a confiée, celle de faire accéder au Royaume des Cieux  toutes les âmes croyantes ou non croyantes ; Qu’il soit à LOUZOLO ou non,  qu’il soit païen ou même féticheur ! Ou n’importe quelle âme ! Toutes  ces âmes sont sous ma responsabilité, quand Jésus reviendra au dernier jour  pour juger les morts et les vivants, il me demandera des comptes. C’est moi  qu’il questionnera ! Car il m’a établi comme un médiateur pour toutes les  âmes. C’est pourquoi je ne cesse de vous recommander de vous aimer les uns les  autres d’un amour sincère. C’est seulement en aimant son prochain que l’on peut  entrer au Ciel ! C’est l’amour qui efface la multitude des péchés, il  permet à Dieu de pardonner les humains, il facilite le pardon de Dieu. Si quelqu’un  demeure dans le mal, tout le temps dans le mal, en ne faisant que du mal, au  dernier jour lorsque votre heure de jugement arrivera, même si je plaide votre  cause, le seigneur me dira : Mais cette âme que tu défends, sais tu ce  qu’elle faisait de sa vie, regarde Emile ce qu’elle faisait ! Tout ce que  nous faisons ici sur terre est écrit, enregistré et gardé pour le jugement  dernier. Tout est filmé là bas au Ciel. Il faut que l’homme fasse un effort  tant qu’il est encore ici sur terre pour changer de vie, s’il ne faisait que du  mal c'est-à-dire s’il volait, tuait, mangeait les gens, était sorcier, était  féticheur, était magicien…S’il abandonne cela, aime sincèrement son prochain,  s’il s’applique sans faille à aimer ses semblables jusqu’au jour où Dieu  viendra le chercher, Quand on me posera la question sur cet homme, je parlerai  du bien de lui et Dieu lui pardonnera, il entrera ensuite dans son Royaume.  C’est A KARI-KARI qu’il y a un nouveau Ciel, l’association LOUZOLO AMOUR c’est  la deuxième nation que lui-même Dieu a choisi. La première nation avait désobéi  à Dieu en refusant de respecter les lois, cette première nation était celle des  enfants d’Israël. Jusqu’aujourd’hui ils attendent la venue du fils de Dieu  alors que le fils de Dieu était né là bas chez eux, c’est ce Jésus Christ que  nous prions, ils l’ont rejeté en croyant qu’il n’était qu’un aventurier, un  bandit…, un simple citoyen, l’enfant de Marie et de Joseph le charpentier…Ils  l’ont tué croyant qu’il n’était pas le fils de Dieu. Ils l’avaient accusé pour  qu’on le tue ! On leur a demandé pourquoi voulaient-ils le tuer alors  qu’il n’avait rien fait de mal qui mérite la mort ! Malgré cela ils ont  demandé qu’il soit tué en prétextant avec insistance qu’il était un  bandit, Puis ils ont ajouté, que son sang retombe sur nous et sur nos enfants  de génération en génération. C’est pour cela que vous apprenez qu’Israël, les  enfants d’Israël n’ont pas de paix ! Ils vivent toujours dans les  interminables guerres parce qu’ils les avaient eux-mêmes voulu. 
  C’est  la même chose que les MPASSI m’ont fait en disant : << tuez le car  c’est un sorcier>>. Me tuer ! MPASSI avec ta petite famille dont je  ne sais même pas le nombre de personnes, allez vous pouvoir payer la lourde  dette à Dieu (pourriez vous supporter le fardeau) !
  Qu’il  sache bien que ceux qui ont attenté à ma vie, ceux là qui étaient de ma  famille, ne sont plus les miens, je ne fait désormais plus partie de la même  famille qu’eux. MPASSI MOUNZEBELLE, NDEBANI Angélique, NTSIOLA Léon, KEBIA Jean  ainsi que tous leurs enfants ne font plus partie de ma famille. Je ne peux plus  moi Emile LOUFOUA CETIKOUABO être de la même famille qu’eux jamais !
  Ils  sont libres de revenir à LOUZOLO mais en ce qui me concerne, je ne serai pas  avec eux parce qu’ils m’avaient déjà tué, ils m’avaient envoyé des militaires  et même jusqu’aujourd’hui…
  Jamais  au grand jamais ! MPASSI ne peut plus revenir à LOUZOLO, jamais ! Je  le dis haut et fort, il ne revient plus à LOUZOLO d’Emile. De même pour son  ami, son complice M. HOMBESSA KABOU Antoine.
  En  dehors de ces deux personnes, les autres peuvent revenir mais, ce n’est pas  parce qu’ils reviennent qu’ils pourront à nouveau être de ma famille,  Non ! Ils ne peuvent plus faire partie de ma famille jusqu’à ma mort.  C’est au juge de juger lui qui m’a confié la mission, c’est à lui que revient  le droit de juger pour savoir qui a tort ou qui a raison ! C’est devant  Dieu que nous répondrons. S’ils reviennent à LOUZOLO je ne veux plus les  entendre dire : Maintenant que nous sommes revenus à LOUZOLO, Guy Emile  est notre frère, notre ami, notre oncle, je ne veux plus qu’ils parlent ainsi. 
  En  ce qui concerne mes biens, vous qui m’écoutez les chefs du village, si vous  savez que cette parcelle m’appartient, cette chose là m’appartient, cette  propriété là m’appartient…et que vous les voyez (ceux de ma famille qui ont  attenté à ma vie) s’en approprier, vous avez mon accord pour les expulser sans  les brutaliser et sans bagarre ! 
  Enfin !  Même toi TATA MAKANDA quand même, tu étais au courant de ce que ma famille  voulait me faire, tu as laissé faire et quand il y avait des coups de feu, soit  disant que je suis un de tes enfants que faisais tu ? 
  (…)  Je te respecte beaucoup TATA MAKANDA, je ne veux entendre ce qu’ils m’ont fait,  ce qu’ils ont pris suffit, ils ont déjà pillé ma maison, vendu les tôles et ils  l’ont brûlée, tout cela me suffit !
  Mes  biens personnels reviennent à LOUZOLO, c’est à LOUZOLO que je les ai donné,  LOUZOLO est ma première et dernière famille. Si j’ai agi ainsi, c’est pour que  les membres de LOUZOLO travaillent, qu’ils produisent des biens en  abondance ! C’est pour que ça profite aux membres de LOUZOLO et non à  NTSIOLA Léon, KEBIA Jean. Nous ne naissons pas tous le même jour, chacun doit  fournir des efforts pour s’en sortir. Il y a un proverbe qui dit  que  n’envie pas à autrui fais toi aussi un effort pour réussir ! Mais eux  n’ont fait aucun effort et veulent hériter de mes biens après ma mort. Ils se  disent allons y le tuer pour que l’on hérite ses biens, <<pour que l’on  mange>>. Mais manger, manger, manger, est ce leurs biens ?  <<on mange le fruit de sa sueur>>. Ce sont les biens de  l’association LOUZOLO de tous les pays car Dieu m’a confié la mission de  diriger tous les pays qu’il a crées, tous les hommes qu’il a crées. 
  Les  âmes de tous les hommes de la terre seront comptées sur ma tête et quand Jésus  reviendra pour le dernier jugement, c’est sur ma tête que Dieu comptera les  âmes, c’est moi qu’il a établi comme médiateur, comme avocat, je ne vous  l’avais pas encore dit mais je vous le signifie parce que le temps est arrivé.  Le temps est arrivé pour vous dire les vérités que Dieu m’a révélées.
  Le  nouveau Ciel de Dieu est à KARI-KARI, il est descendu et y est actuellement.  C’est à KARI-KARI qu’il est venu construire une Cité, Dieu y est et ils y sont  et y resteront Eternellement de génération en génération. C’est ce Dieu qui  nous prions, celui que les religions nous enseignent, le Dieu d’Abraham,  d’Isaac, de Jacob. Ce Dieu qui parlait avec Moïse, les apôtres comme Paul, ce  Dieu qui a crée la terre, le ciel, les luminaires, la lune, le soleil, les  étoiles, les hommes, les océans, les fleuves, la mer, les animaux, les poissons  les oiseaux…est venu construire sa Cité à   KARI-KARI avec tout son gouvernement et c’est là bas qu’il demeurera  Eternellement.
  Quand  nous allons mourir, quand Jésus reviendra pour juger le monde, ceux qui  vaincront, vivront Eternellement là bas à KARI-KARI qui est la Cité de Dieu.  Les gagnants auront la vie Eternelle et vivront dans cette nouvelle Cité  appelée LA NOUVELLE JERUSALEM.
  Cette  nouvelle Jérusalem a quitté les Cieux, est descendu et s’est posé ici sur terre  et elle y restera Eternellement.
  Dans  ma précédente cassette je vous avais dit qu’à l’endroit où était né Jésus à  Bethléem en Judée, l’étoile qui guidait les Rois mages était restée suspendue  au Ciel à l’endroit où était né le fils de Dieu. A l’endroit où elle était  suspendue, les Rois mages trouvèrent Marie, Joseph et l’enfant qu’on appelle  Jésus Christ. Cette étoile n’était pas descendue sur terre, cette étoile qui  venait de loin, des années lumières, était à la recherche d’un endroit où se  poser, autrement dit un endroit où elle descendra pour construire une Cité et  demeurer. Comme l’Eternel sait que je suis son serviteur et qu’il m’avait  confié une mission, des lois, des recommandations, des règlements à respecter,  ayant constaté que je lui ai obéi, je n’ai nullement désobéi aux  recommandations, que j’ai suivi à la lettre ses commandements, puisque cette  génération qui est la quatrième Génération et la dernière, << la première  génération était celle de NOE celle qui était engloutie par les eaux du déluge,  la deuxième génération était celle des prophètes comme Elie, la troisième est  celle en laquelle est né le fils de Dieu Jésus Christ elle a pris fin le 31  décembre 1999 à O heure précise, à partir du 1er Janvier 2000 nous  sommes entrés dans la quatrième génération qui est revenue aux mains de Dieu  lui-même la dirige et la conduit. Je répète :
  La  première génération fut celle de Noé, la deuxième celle des prophètes, la  troisième celle du Messie Jésus Christ et la quatrième et dernière génération  est celle de Dieu le Père lui-même.
  C’est  en cette génération qu’il y aura la fin du monde comme on nous l’enseigne dans  la Bible et dans nos  religions telles  que Catholique, Protestante, Kimbanguiste, Salutiste, Ngounziste.  
  C’est  en cette génération que Jésus reviendra pour juger le monde ! C’est en  cette quatrième génération qui est revenue à Dieu le père lui-même. 
  Je  ne sais pas combien de jours, de mois, d’années encore pour qu’il vienne pour  le jugement dernier.    
  C’est  là bas qu’ils sont actuellement, Jésus Christ le fils de Dieu est actuellement  là bas à KARI-KARI. Il y habite avec son père, l’Esprit et tout son  gouvernement. C’est sur cette Montagne Terrible et Sainte qu’ils sont venus  construire leur Cité. C’est à KIBOSSI-gare que vous connaissez ils y sont avec  tous leurs anges y compris ses serviteurs pris parmi les hommes (comme nous  l’apprenons dans la Bible). Ils y resteront éternellement, ce Jésus y est et  l’Eternel Dieu a-t-il installé sa famille à KARI-KARI ? La réponse est  OUI.
  Dieu  est-il partout y compris dans les cœurs des hommes qu’il a crées ? Je  réponds que OUI mais il y a une chose qu’il faut savoir : Dans ces  endroits, il se promène seulement mais le lieu exact où il habite est bien  réelle : Une Cité que lui-même a construit.
  En  effet, Dieu avait installé sa Cité au Mont Sinaï, c’est à cet endroit précis  qu’il habitait, d’où il parlait à Moïse à qui il avait donné les 10  Commandements. Cette Cité la Bible l’appelait Mont Sinaï tout court. Dieu ne  construit que sur les hauts lieux (montagnes). Il avait quitté le Mont  Sinaï….(fin du message nous n’avons pas la suite du message)   
Traduit et écrit par : La sœur Liliane MIKOUNGUI et le frère Baz MIKOUNGUI inspecteurs spirituels et itinérants Union Européenne.
-Avertissements de l'Eternel Dieu: Risque de la précipitation du dernier jour du Seigneur
Message du GM du 01 février 2006
A  mes très, très, très chers aimés et Respectés,
  A  mes très, très, très chers aimés et Respectés,
  A  mes très, très, très chers aimés et Respectés,
  Mes  gros, gros, gros des gros Chefs,
  Mes  gros, gros, gros des gros Chefs,
  Mes  gros, gros, gros des gros Chefs,
  Les  gros Chefs de l’ASLA OPH.
  Les  gros Kalakas,
  Mes  Gros des gros,
  Mes  bien-aimés en Christ de l’ASLA du Congo et du monde entier,
  Recevez  mes vives salutations,
  Recevez  mes salutations distinguées,
  Bonjour,  Bonne fête, Bonne année le matin,
  Bonjour,  Bonne fête, Bonne année à midi,
  Bonjour,  Bonne fête, Bonne année à 18h,
  Bonjour,  Bonne fête à 0h, Bonne année à 0h,
  Bonjour,  Bonne fête, Bonne année le lendemain matin,
  Bonjour,  Bonne fête, Bonne année éternellement,
  Que  Dieu Vous bénisse !
Je  suis Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO que vous connaissez tous : Président  fondateur de l’Association LOUZOLO AMOUR OPH, Association de bienfaisance à  caractère spirituel, et le Grand Maître de l’OPH.
  Aujourd’hui  nous sommes le 01 février 2006 il est 9h moins le quart du matin (8h45).
  Premièrement,
  Recevez  mes meilleurs vœux de bonheur, de prospérité, de parfaite santé, de longévité  et de paix, une vraie paix de Dieu.
  A  vous mes gros Chefs, mes gros responsables de l’Association LOUZOLO Amour OPH,  à tous mes frères et sœurs en Christ du Congo et du monde entier ainsi que tous  ceux qui ne sont pas à LOUZOLO ;
   A tous les gros Chefs qui êtes venus me voir  et avez insisté pour venir aujourd’hui ici pour célébrer une sorte de  retrait de deuil, pour mettre fin à la tristesse que vous aviez pour moi car du  04 au 05 février 2002, il eut un attentat sur ma personne.
  Aujourd’hui,  c’est une journée de grande joie pour tous ceux qui m’aiment. En revanche, pour  tous ceux qui ne m’aiment pas, c’est une journée de honte car ils souhaitaient  ma mort et croient que je suis mort alors que je vis encore.
  C’est  cette grande joie que nous allons tous partager avec, ceux qui m’aiment ou qui  ne m’aiment pas, nous qui sommes à LOUZOLO ainsi que ceux qui ne sont pas à LOUZOLO  c'est-à-dire tous les humains du monde entier : Je vous ai toujours dit  que je suis venu pour le monde entier.
  C’est  une joie importante pour moi de vous livre un message extraordinaire, puissant,  douloureux et grandiose en même temps.
  En  effet, Dieu m’avait dit le 05 février à 6h15mn du matin après l’attentat qui  s’était déroulé du 04 au 05 février 2002 du   3h à 5h du matin à l’endroit appelé YALA NTSANGAMANI (KIBOSSI).
  Après  l’attentat, je criais pour demander pardon à Dieu pour ceux qui étaient venus  me tuer car Dieu s’était mis en colère.
  Je  criais, je criais, je criais jusqu’à 6h15. Le chagrin et la douleur m’avaient  tellement envahis que je plaidais pour ceux qui étaient venus me faire du mal.  J’intercédais parce que Dieu était sérieusement irrité ce jour là et c’est  pourquoi je lui demandais de pardonner à tous ceux qui étaient venus me faire  du mal car ils ne savaient pas ce qu’ils faisaient.
  A  6h15 précises, le Ciel s’ouvrit et une grande lumière blanche venant du Ciel se  jeta sur moi et j’entendis la voix de Dieu dire : 
  Dis  à tous les humains d’arrêter de me provoquer, 
  Dis  leur d’arrêter de me provoquer, 
  Dis  leur d’arrêter de me provoquer 
  Et  que cela soit la dernière fois qu’ils te touchent !
  S’ils  te touchent encore,
  Je  n’écouterai plus tes prières,
  Je  n’écouterai plus tes supplications,
  Je  n’exhausserai plus tes pardons,
  Je  ne t’écouterai plus, 
  Je  vais changer d’avis,
  Dis  cela à tous les humains
  Je  vais changer d’avis,
  C'est-à-dire,  je vais précipiter le jour du Seigneur pour qu’on en finisse avec eux,
  Si  jusqu’ici j’accorde beaucoup de jours, de temps aux humains c’est pour que ceux  qui n’ont pas encore changé changent de comportements et, à ceux qui ne me  connaissent pas de me connaître.
  Voilà  pourquoi je patiente,
  Je  patiente encore à cause de tes pardons,
  Dis  aux hommes du monde entier qu’ils retiennent ceci une bonne fois pour  toute !
  Que  ce soit une dernière fois qu’ils me provoquent, Moi l’Eternel Dieu !
  C'est-à-dire,  il faut qu’ils te laissent tranquilles !
  S’ils  te touchent encore, 
  Moi,  Dieu, je n’écouterai plus tes prières et tes pardons…
  Je  vais changer d’avis et précipiter le Jour dernier du Seigneur !
  Advienne  que pourra : peu importe le nombre d’humains que nous élirons, que ce soit  2 ou 3 ce nombre sera suffisant !
  Car  ils me provoquent tout le temps et toi, tu n’arrêtes pas de me demander  pardon ! Je t’écoute et je pardonne !
  Mais  cette fois ci, c’est la première fois et la dernière fois que tu vas dire aux  humains qu’ils arrêtent de me provoquer, Moi l’Eternel Dieu.
  Il  me l’avait dit le 05 février 2002 à 6h15mn.
  Referez  vous au message que j’avais envoyé à mes Gros Chefs habitants de BOKO pour  savoir ce que je leur avais dit à mon sujet. En effet, pour répondre à une  question éventuelle, concernant ce que je suis et pourquoi j’envoie la lumière,  je leur ai répondu qu’il fallait lire le passage dans Jean 16 : 10-15. 
  C’est  ma réponse pour que vous sachiez ce que je suis.
  Si  vous voulez savoir ce que je suis referez-vous à ce passage.
  Cette  fois ci, ça ne se passera plus comme Dieu avait fait dans le passé, aux temps  du prophète Elisée et aux temps de Datan : 
  En  lisant dans la Bible, on apprend que les petits enfants se moquaient du  prophète Elisée parce qu’il était chauve, Dieu ouvrit la terre et enterra tout  le monde car il fut irrité (2 ourses sortirent de la forêt et dévora les  enfants).
  Dieu  fit la même chose aux temps de Moïse, les enfants d’Israël se moquaient de  Moïse en adorant le veau d’or, Dieu fit irrité et ouvrit la terre pour les  enterrer. Datan et ses complices furent enterrés vivants jusqu’à ce jour.
  Mais  cette fois ci Dieu a dit qu’il ne procédera plus de la même façon. C’est pour  cela qu’il a insisté que ce soit la dernière fois !
  La  prochaine fois, ce sera le jugement dernier dit-il ? Il me dira : dis  leur ce que je te dis.
  Je  n’écouterai plus tes prières et tes pardons Emile, dit l’Eternel. Je ne  prêterais plus attention  à tes  supplications ! Je changerai d’avis et je précipiterai le dernier jour du  Seigneur pour le monde entier afin que tout le monde sache que c’est moi qui  t’ai choisi et envoyé pour véhiculer mon message dans le monde entier.
  Voilà  mes gros chefs, le message extraordinaire, puissant, douloureux, grandiose et  de joie en même temps que notre père m’avait dit pour vous annoncer.
  En  cette date du 05 février 2002 à 6h15 du matin, Dieu m’a dit que le jour où ils  me provoqueront à nouveau, je n’écouterai plus des prières et tes  supplications, je changerai d’avis et je vais précipiter le dernier jour du  Seigneur c'est-à-dire le jugement dernier. C’est ce que Dieu m’a dit le 05  février 2002 à 6h15 du matin.
  Si  les gens vous posent la question de savoir qui est t-il pour nous annoncer ce  que Dieu lui dit ? Pour répondre à leur question, demandez leur de lire  dans Jean 16 : 10-15.
  Voilà  mes très chers aimés et respectés, les gros, gros, gros chefs, Papa DP, les  Maman Afrika, Gabon, Bucobrazza, Bucopen, Bucoco, Bucodol, tous mes gros chefs  de toutes les  structures de l’ASLA-OPH,  mes gros chefs, mes frères et sœurs de l’ASLA-OPH et ceux qui sont venus nous  visiter, nos gros chefs Politico administratifs et militaires, voilà ce que  Dieu m’avait dit de vous annoncer.
  Que  Dieu vous aide et vous accorde le bonheur, la prospérité, longévité et la paix  à vous-même et à toutes vos familles.
  Que  cette fête accorde à tout un chacun bénédiction et réussite à toutes les  entreprises et accorde la chance et la joie pour que tous ceux qui sont  stériles soient fécondes, que ceux qui ne travaillent pas, travaillent, que  ceux qui ne se marient jamais, se marient.
  Que  tout le bonheur que tout un chacun cherche dans ce monde lui soit accordé à  partir de cette fête du 04 au 05 février 2006.
  Quelque  soient les maladies et les difficultés, à partir de cette fête de retrait de  deuil, à tous qui m’aiment ou ne m’aiment pas…puisque Dieu a pardonné…Car mon  sang a racheté de nouveau…Alors les gens vont être scandalisés par mes dires  mais, puisque je suis un petit KAPITA, puisque je suis son petit KAPITA, mon  sang a coulé et versé sur terre rachetant de nouveau les humains du monde entier,  l’humanité toute entière, quelque soient les races, les couleurs, les langues,  grands, petits, vieux, vieillards que sais-je encore.
  Car  je suis venu pour le monde entier, Dieu m’a confié sa mission secrète afin que  tous les humains soient sauvés.
  Donc,  mes gros chefs voilà le message de joie que j’avais à vous annoncer pour les  jours du 04 au 05 février 2006.
  Que  Dieu soit avec vous et vous aide aujourd’hui, demain et tout le temps.
  Louons  notre Dieu qui nous aime car s’il ne nous aimait pas, un événement malheureux  devait subvenir du 04 au 05 février 2002, nombreux seraient surpris car ce  serait la fin du monde.
  Comme  nous sommes des orgueilleux, nous nous disons mais, Oh ! Qu’est ce qu’il  est entrain de dire celui là, il raconte des bêtises !
  Mais  le jour viendra où tous le monde sera surpris et ne constateront plus que je  raconte ma vie !
  C’est  une vérité que je dis ici, et je l’énonce pour le monde entier. J’annonce au  monde entier qu’il ne faut pas provoquer Dieu ; c'est-à-dire qu’il ne faut  pas toucher à son serviteur, son envoyé, non ce n’est pas le mot que je veux  dire, je veux dire son messager, voilà le mot ! En fait son missionné je  voulais dire, je suis son missionné. Dieu m’a averti en disant que ce soit pour  la dernière fois.
  Si  les gens te touchent encore, je n’écouterai plus tes prières et tes pardons  Emile, je changerai d’avis et je vais précipiter la fin des temps et le  jugement dernier subviendra précipitamment pour qu’on en découdre avec les  humains. Ceux qui m’aiment, seront avec moi et ceux qui ne m’aiment pas seront  à coté.
  Voilà  mes gros chefs le message extraordinaire, important, grandiose, douloureux et  joyeux que je tenais à vous livrer.
  Je  m’arrête là, Bonne fête, Bonne année, bonne année, bonne année, maintenant,  demain et toujours au nom du Christ, c’était Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO qui  habite à KIBOSSI à quelques 38 km de Brazzaville.
  Chant  salutiste : le GM chante en KONGO (YESUS YI FUMU WA NENE, YESUS YI  FUMU WA NGOLO, WA KEDIKA, MU NGE SI YA  NUNGANGA).
  C’est  une vieille chanson salutiste que l’on chantait autrefois, j’ai oublié les  autres couplets. Il me semble qu’il y a trois ou 4 couplets. Veuillez m’excusez  si j’ai commis des erreurs.
  En  fait, je voulais dire que Jésus est le Seigneur Puissant et Redoutable (Grand)  ce n’est que par lui que nous pouvons être sauvés car son précieux sang a coulé  pour racheter le monde entier. Alors les gens se poseront la question de savoir  mais comment se fait t-il que mon sang aussi a racheté le monde entier?  Mais Oui puisque je suis son petit KAPITA, son petit missionné. Ils m’ont fait  du mal et Dieu était irrité et voulais changer d’avis c’est pourquoi je n’ai  cessé de pleurer toute la nuit pour plaider la cause du monde entier. 
  Alors  que ce ne sont que quelques hommes qui m’avaient fait du mal ! Pour cela  l’humanité toute entière devait payer, le Seigneur voulait changer sa décision  pour précipiter le dernier jour du Seigneur et tout le monde serait surpris.
  Mais,  à cause de mes pleures toute la nuit, j’avais donc pleuré toute la nuit et  jusqu’au matin ! Que Dieu me pardonne car j’avais vu l’atmosphère des  Cieux toute la nuit jusqu’au matin, l’aspect des Cieux avait changé. Par mes  pleurs, les Cieux se sont ouverts et une grande lumière blanche partit des  Cieux et est venue m’envelopper, elle a enveloppé tout mon corps et une voix  retentit du Ciel disant : dit aux humains du monde entier que ce soit la  dernière fois.
  J’entendis  sa voix à 6h15mn du matin le 05 février 2002. Les Cieux s’ouvrirent et une  grande lumière blanche y sortit et enveloppa tout mon corps. Elle jaillissait  comme l’eau jaillit d’une pompe (robinet).
  Si  je répète mes dires, c’est pour préciser les points que j’ai entendus.
  Merci !
Traduit et écrit par : La sœur Liliane MIKOUNGUI et le frère Baz MIKOUNGUI inspecteurs spirituels et itinérants Union Européenne.
6) Renoncement de Dieu à la précipitation du dernier jugement, Remission des péchés
ASSOCIATION LOUZOLO AMOUR-OPH Amour sincère * Unité * Paix 
  Association de Bienfaisance à caractère spirituel 
Loi de 1901/Récépissé N° 884/MINT/SAGT/DEC/SAG 
  Siège social : KIBOSSI-GARE ; B.P. : KIBOSSI-GARE ; Tél. : 6 
  République du Congo Brazzaville 
Président Fondateur 
  Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO 
  Grand Maître de l’OPH 
---------------------------------------------------Kibossi, le 8 juin 2007
N° 033 /GELC/GM-OPH/PF-AS.L.A./07
NOTE CIRCULAIRE
A L’ATTENTION DES FRERES ET SOEURS EN CHRIST 
  DU CONGO ET DU MONDE ENTIER 
OBJET : Fête de pardon de Dieu 
  Et de remerciement 
Mes Bien-aimés en Christ,
Je vous rappelle que le 5 février  2002 de 3 heures à 5 heures du matin, j’avais été victime d’un attentat armé  qui a occasionné l’effusion de mon sang. 
  Ce grave péché commis à mon  égard, en tant que petit capita de l’Eternel Dieu, avait suscité la colère de  Dieu qui finalement, décida d’en finir avec les hommes de la terre. 
  Sa décision était de précipiter  le dernier jour du jugement des nations ; tout le monde devrait mourir ce 5  février 2002. C’est cela, la punition que Dieu avait destinée à tous les  humains de la terre. 
  Mais, moi Emile, en tant que  petit capita de l’Eternel Dieu, j’avais prié, j’avais plaidé la cause des  humains de la terre, pour que Dieu les pardonne car ils ne savent pas ce qu’ils  font. 
  Et, Dieu dans son amour a écouté  et exhaussé ma prière, et le pardon nous fût accordé ce même jour 5 février  2002 à 6 H00, heure à laquelle j’avais supplié Dieu de nous pardonner. 
  Cependant, frères et soeurs en  Christ, mes bien aimés dans le Seigneur, sachez-le bien, que Dieu nous avait  accordé son pardon suite à mes supplications, mais Il n’avait toutefois pas  renoncé à exécuter sa décision de nous punir en précipitant le dernier jour du  jugement des nations. 
  Cette décision de punir  l’humanité de façon précipitée, était toujours dans ses intentions, Dieu n’y  avait pas renoncé malgré le pardon qu’Il nous avait accordé suite à mes  supplications du 5 février 2002 à 6 heures du matin. 
  Qui pouvait alors conseiller  l’Eternel Dieu et apaiser sa colère pour qu’Il change sa décision et renoncer à  nous punir ? 
  Frères et soeurs en Christ, la  situation était difficile pour nous, car Dieu avait déjà proclamé sa 
  Sentence : précipiter le dernier  jugement et faire mourir les humains de la terre. 
  Mais en tant qu’Emile, en tant  que petit capita de l’Eternel, Dieu n’avait pas oublié mes supplications du 5  février 2002 à 6 heures du matin. Il avait écouté, exhaussé ma prière et la  grâce et le pardon nous sont aujourd’hui accordés. 
  En effet, frères et soeurs en  Christ, le samedi 5 mai 2007 à 4 Heures 00 du matin, l’Eternel OPH-Sebaoth m’a  annoncé, à moi Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO son missionné, qu’Il a renoncé à sa  décision de punir l’humanité tout entière par la précipitation du jour du  dernier jugement qu’Il avait résolu d’accomplir lors de mon attentat le 5  février 2002. 
  Alors, frères et soeurs en  Christ, puisque Dieu a retiré sa décision de précipiter le dernier jour du  jugement, soyons donc dans la joie et remercions-le, car Il nous a accordé son  pardon. 
  Acclamons-le et louons-le pour  cette miséricorde ; souvenons-nous frères et soeurs en Christ, que les enfants  d’Israël ayant commis le grave péché du veau d’or, n’avaient pas obtenu ce  pardon malgré les supplications de Moïse. Dieu avait maintenu et exécuté sa  décision (Exode 32 V : 30 – 35). 
  Or pour nous, Dieu est revenu sur  sa décision de nous punir grâce à mes supplications. Soyons donc dans  l’allégresse et rendons-Lui un culte joyeux. 
  A cet effet, étant donné que Dieu  nous a pardonné, Il nous demande de ne plus revenir sur nos fautes, de ne plus  recommencer. C’est pourquoi, tous les humains de la terre, Louzolifiés ou non,  chrétiens ou païens qui se sont rendus coupables d’un péché quelconque (mensonge  à l’égard de sa femme, de son mari, de ses enfants, de son père, de sa mère, de  son employeur, … avortement, meurtre etc.) sont conviés à la grande fête du  pardon des péchés ( Lev 23 : 26 – 32) et de remerciement à l’OPH notre Dieu,  qui se déroulera du vendredi 27 au dimanche 29 juillet 2007, à la belle cité du  Mont Kari-Kari à Kibossi gare CFCO. 
  Ce grand dambage de pardon et de remerciement sera célébré  de génération en génération. 
  J’insiste et je répète, que tous ceux qui se sont rendus  coupables d’un péché quelconque, ceux qui veulent, doivent se rendre à cette  grandiose fête du pardon des péchés pour obtenir le pardon de 
  Dieu, et pour remercier le Seigneur pour avoir changé sa  décision de précipiter le dernier jour du jugement. 
  Dieu pardonnera au cours de cette fête, tous les péchés que  nous avons commis depuis notre naissance, à nous de ne plus y revenir. A la  suite de ce pardon de Dieu, les frères et soeurs doivent aussi se pardonner les  uns les autres. 
  En conséquence, vu la grandeur et l’importance de cette  fête, les frères et soeurs qui s’y rendront doivent nécessairement payer la  biéramycine y relative deux (2) semaines avant la fête pour permettre une bonne  préparation des festivités. 
  Par ailleurs, un nsinsani sera organisé à cette occasion. Frères  et soeurs, sachant donner à 
  Dieu, car Lui, Il saura nou s le rendre au-delà comme cela  est écrit dans les écritures de 2 corinthiens 9 : 6–8, je cite : «  Rappelez-vous ceci : celui qui sème peu, récoltera peu ; celui qui sème  beaucoup, récoltera beaucoup. Il faut donc que chacun donne comme il l’a  décidé, non pas à regret ou par obligation ; car Dieu aime celui qui donne avec  joie. Et Dieu a le pouvoir de vous accorder en abondance toutes sortes de bien,  afin que vous ayez toujours tout ce qui vous est nécessaire et qu’il vous reste  encore assez pour toutes œuvres bonnes.
  Voilà frères et sœurs ce que j’avais à vous dire.
  Que L’Eternel YAHVE SEBAOTH OPH vous accorde ses grâces et  tout dont vous avez besoin pour accomplir son œuvre au Nom de Notre Seigneur  Jésus Christ. 
  Amen, Amen, Amen.
  Votre frère en Christ le Représentant Légal de l’OPH sur  terre.
  Guy Emile LUFOUA CETIKOUABO